Combien de vies ont été sauvées par les vaccins contre la Covid-19 ?

Combien de vies ont été sauvées par les vaccins contre la Covid-19 ?
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par Zachary Stieber

Dans la suite de notre enquête sur les causes de la surmortalité, nous nous penchons un peu plus sur les données relatives à la vaccination afin de déterminer le nombre de vies sauvées par les vaccins contre la Covid.

Dans un article précédent de cette série (Il est impossible que les vaccins aient sauvé 14 millions de vies en 2021), nous avons utilisé diverses informations publiées concernant les taux de mortalité de la Covid pour établir qu’il est tout à fait impossible que les vaccins aient empêché 14 millions de décès dus à la Covid. Nous avons ensuite utilisé les résultats des essais cliniques de Pfizer pour montrer que la limite supérieure des décès de la Covid évités grâce au déploiement du vaccin était probablement légèrement inférieure à 74 000. Comme promis, nous reviendrons sur ce sujet dans le but de creuser un peu plus les données pour voir à quel point le chiffre réel est proche de cette limite supérieure.

Il convient de commencer par expliquer pourquoi nous avons dit que 73 384 est la limite supérieure. Pour rappel, ce chiffre a été obtenu en supposant que les 4,5 milliards de personnes ayant reçu un vaccin Covid au cours de l’année 2021 ont toutes reçu le vaccin de Pfizer. Or, tout le monde n’a pas reçu cette marque. Tout le monde n’a pas non plus reçu les deux doses recommandées par Pfizer. Plus précisément, les vaccins produits par les autres fabricants sont généralement considérés comme moins efficaces,. Bien que l’efficacité vaccinale (EV) du vaccin Moderna soit généralement considérée comme équivalente à celle du vaccin Pfizer, les vaccins produits par Johnson & Johnson ou Novavax n’ont pas obtenu d’aussi bons résultats dans les essais cliniques. En outre, on s’interroge sur la fiabilité des données issues de ces essais. Quoi qu’il en soit, en appliquant les données de Pfizer à l’ensemble de la cohorte, nous avons surestimé le nombre de décès évités grâce aux vaccins anti-Covid. Le nombre réel devrait être inférieur à 74 000.

La deuxième raison est que «l’efficacité du vaccin diminue progressivement», comme Pfizer l’a déclaré dans son rapport semestriel. Parfois, cette efficacité est devenue nulle en l’espace de quelques mois seulement. Naturellement, étant donné que toutes les personnes vaccinées ne sont pas confrontées au virus au moment idéal après l’injection, il s’ensuit que certaines d’entre elles peuvent connaître la triste réalité d’une injection dont l’efficacité est nulle.

Dans quelle mesure les vaccins se sont-ils rapprochés de cette limite supérieure ? Pour répondre à cette question, il est nécessaire d’examiner l’un des principaux problèmes liés au calcul de l’efficacité des vaccins Covid. Le problème est qu’un nombre important de personnes (en plus de ce qui était attendu sur la base des taux de base des cas de la Covid dans la communauté locale) ont été infectées par la Covid au cours de la première ou des deux premières semaines suivant l’injection ; notamment, ces cas supplémentaires ont généralement été ignorés dans les calculs de l’efficacité vaccinale.

Nous commençons par examiner les infections supplémentaires. Une étude réalisée au Royaume-Uni et impliquant plus d’un million de participants a révélé qu’un pourcentage presque inimaginable de 33,8% des personnes vaccinées ont signalé des symptômes semblables à ceux du à la Covid au cours de la première semaine suivant l’injection. Bien entendu, tous ces symptômes n’indiquaient pas un cas de Covid, mais la conclusion de cette étude était que «les symptômes ne peuvent pas en soi être différenciés de la Covid-19 avec une robustesse clinique». En d’autres termes, un tiers des personnes vaccinées ont souffert (en l’espace d’une semaine) des mêmes symptômes que ceux qu’elles cherchaient à éviter. Aussi grave que cela puisse paraître, nous ne discutons pas ici des effets secondaires. Nous cherchons plutôt à déterminer si les injections ont permis d’éviter des décès dus à la Covid.

Naturellement, certaines personnes ayant reçu l’injection contre la Covid seraient tombées malades, qu’elles aient été vaccinées ou non, et d’autres auraient pu présenter des symptômes similaires sans être réellement infectées par le virus SARS-CoV-2 à l’origine de la Covid. Mais étant donné que 33,8% des personnes ayant reçu les injections ont fini par présenter des symptômes semblables à ceux de la covid, il est tout à fait plausible que certaines personnes aient développé la covid alors qu’elles ne l’auraient pas fait autrement. La vraie question est de savoir combien en ont développé. Malheureusement, cette étude n’a pas été conçue pour répondre à la question de la fréquence des infections à Covid après la vaccination, et les données ne sont pas suffisamment solides pour fournir ne serait-ce qu’une estimation. Par exemple, seule une infime partie (<4%) des personnes présentant des symptômes ont effectivement effectué un test, et la conclusion de l’article est qu’il n’a pas été possible de mettre au point une méthode permettant de distinguer (sur la base des seuls symptômes) les symptômes induits par le vaccin de ceux causés par l’infection.

On se souviendra, en lisant un précédent article de cette série[1], que Pfizer affirmait que ses vaccins permettaient d’éviter 154 cas symptomatiques de la Covid pour 21 720 personnes ayant reçu le produit. Par conséquent, si le pourcentage de personnes supplémentaires infectées par la Covid symptomatique au cours de la première semaine suivant l’injection n’est que de 0,7%, la piqûre de Pfizer perd alors tout l’intérêt qu’on lui prête. À ce stade, le fait que la VE s’estompe ou non avec le temps n’a plus aucune importance fonctionnelle. Bien entendu, si l’injection de Pfizer a augmenté le nombre de personnes contractant la Covid au cours de la première semaine de plus de 0,7% (comme le suggère fortement l’étude susmentionnée), elle présente un avantage négatif et peut avoir augmenté le nombre de décès dus à la Covid.

Nous n’avons pas l’intention de discréditer le déploiement du vaccin sur la base d’une seule étude. D’autres études ont-elles vérifié qu’une vague importante de la Covid se produit au cours de la première ou des deux premières semaines suivant le vaccin contre la Covid ? Certainement, l’effet est bien documenté. Une autre étude britannique, par exemple, a révélé que «les participants âgés de 80 ans et plus vaccinés avec le BNT162b2 … avaient plus de chances d’être testés positifs à la Covid-19 dans les neuf premiers jours suivant la vaccination. (…) L’efficacité du vaccin a donc été comparée à la période post-vaccinale de référence». En d’autres termes, en raison de toutes les infections supplémentaires survenues au cours des neuf premiers jours, ils ont exclu cette période de leur calcul de l’efficacité.

De même, un article du BMJ affirme qu’il y a eu «une véritable augmentation du risque de contracter une infection après la vaccination», en particulier au cours des deux premières semaines. Il est inutile de préciser que si l’injection vaccinale contre la Covid augmente le risque d’être infecté, même s’il s’agit d’infections survenues au cours des quatorze premiers jours, elle ne devrait pas être considérée comme un «vaccin». Selon la Britannica, «un vaccin … est administré principalement pour prévenir une maladie».

Qu’en est-il de l’utilisation des injections de rappel pour «renforcer l’immunité» ? Il a été observé que les injections de rappel provoquent également une augmentation immédiate des infections. Par exemple, une étude portant sur 1,2 million de personnes en Israël a tenté de comparer l’efficacité de la dose 3 à celle de la dose 4. Pour ce faire, ils ont défini un «groupe de contrôle interne» comme étant la période comprise entre le jour 3 et le jour 8 après la quatrième dose. Ils ont constaté que les personnes appartenant à ce «groupe de contrôle» étaient plus de deux fois plus susceptibles d’être infectées par la Covid, et presque trois fois plus susceptibles de souffrir d’une «Covid grave» que les personnes suivies après le huitième jour. De même, une étude portant sur 50 000 personnes travaillant dans des cliniques de l’Ohio a révélé que «plus le nombre de vaccins reçus est élevé, plus le risque de contracter la COVID-19 est important».

Cet effet d’augmentation des infections au cours des deux premières semaines suivant l’administration des vaccins expérimentaux contre la Covid est si bien établi que les médias ont fait état des conséquences désastreuses de cet effet,, et que des groupes médicaux ont écrit des articles à ce sujet.

On ne saurait trop insister sur l’importance du fait que les injections ont provoqué une augmentation des infections au cours de la première ou des deux premières semaines. Comment cela se fait-il ? Comme nous l’avons laissé entendre plus haut, l’importance réside dans le fait que la plupart des études portant sur l’efficacité des vaccins partaient du principe qu’il fallait au moins une semaine pour que le vaccin fasse effet. Par conséquent, toutes les personnes qui ont contracté la Covid peu de temps après avoir reçu l’injection ont été classées comme non vaccinées.

Si les injections provoquent une vague notable d’infections au cours de la première semaine suivant l’injection, et si cette vague est exclue des calculs, l’EV apparaîtra naturellement plus élevée qu’elle ne l’est. En outre, au fur et à mesure que le temps passe et que les cas de percée se multiplient, l’importance relative de cette vague initiale diminuera. Par conséquent, l’efficacité du vaccin semblera diminuer. En d’autres termes, les chiffres de l’EV et leur diminution ultérieure ne sont ni plus ni moins que des illusions statistiques causées par l’ignorance de la vague initiale d’infections. La possibilité de cette «illusion» est bien établie et a été ouvertement discutée. Le problème est si grave qu’il peut faire apparaître un vaccin totalement inutile, dont l’efficacité connue est précisément nulle, comme ayant une efficacité de 70% ou plus.,

Mathématiquement, si le vaccin provoque quelques infections au cours de la première semaine, si l’on n’en tient pas compte et si l’EV diminue jusqu’à zéro, alors, par définition, les vaccins doivent avoir provoqué plus d’infections qu’il n’y en aurait eu en l’absence de vaccins.

Il est important de rappeler que les vaccins expérimentaux contre la Covid ont reçu une «autorisation d’utilisation d’urgence» sur la base d’essais cliniques qui prétendaient que le produit prévenait les infections symptomatiques. Lorsque ces affirmations se sont avérées fausses sur la base d’études d’observation en vie réelle, le déploiement des vaccins aurait dû être interrompu immédiatement jusqu’à ce que des essais de contrôle randomisés soient en mesure d’établir un autre avantage. Au lieu de cela, le discours a été modifié. La nouvelle affirmation était que les vaccins permettaient d’éviter des maladies graves et des décès. De nombreuses études ont été publiées et ont montré que, malgré une baisse d’efficacité en termes d’infections, les vaccins maintenaient des valeurs VE stables pour les Covid graves et les décès par Covid.

Ce nouveau récit est-il vrai ? Il ne l’est pas. Tout d’abord, toutes les études dont nous avons connaissance et qui affirment que l’EV reste stable en termes de maladie grave ou de décès présentent le même défaut inhérent mentionné plus haut, à savoir que les personnes vaccinées ont été traitées comme si elles n’étaient pas vaccinées ou comme si elles faisaient partie d’un groupe «témoin» au cours de la semaine suivant l’injection. Il est utile d’examiner une étude particulière à titre d’exemple. Johnson et al. ont conclu qu’entre octobre et novembre 2021, «les personnes non vaccinées avaient […] 12,7 fois plus de risques de […] décès associés à la Covid-19 que les personnes entièrement vaccinées». [Malgré ces résultats élogieux, les auteurs notent expressément que «les personnes partiellement vaccinées ont été exclues». Cela signifie que chaque personne vaccinée décédée avec un statut Covid positif a été exclue si l’échantillon utilisé pour le test a été prélevé entre la date de la première dose et 14 jours après la deuxième dose. Comme nous savons que cette fenêtre temporelle a donné lieu à deux pics distincts d’infections (un après chaque dose), les conclusions de cette étude sont dénuées de sens si l’on n’apporte pas la preuve d’une réduction massive du taux d’infection mortelle (IFR) au cours de cette même période. C’est ce qu’ils n’ont pas réussi à faire.

En effet, une étude qui a suivi cinq millions de personnes recevant deux doses de vaccinations expérimentales contre la Covid a révélé que 96% des décès dus à la Covid (1950 sur 2031) se sont produits avant le 14ème jour suivant la deuxième dose. Cette étude ne cherchait pas à calculer la VE, mais plutôt le risque de décès par la Covid après la vaccination. Ils ont expressément exclu les décès de la Covid au cours des 14 jours suivant la première dose : «Les personnes sont entrées dans la cohorte 14 jours après leur première dose de vaccination». Nous ne disposons donc pas d’un décompte complet des décès survenus après la dose 1. Ce qui est certain, en revanche, c’est qu’il est facile de comprendre pourquoi le fait d’ignorer ces périodes permet d’obtenir un score d’efficacité favorable.

D’aucuns pourraient affirmer que, puisque seulement 4% des décès sont survenus après que «les vaccins ont fait effet», cela prouve que les vaccins ont fonctionné. Est-ce le cas ? Certainement pas, car il n’est pas juste d’ignorer des infections ou des décès supplémentaires uniquement parce qu’ils se sont produits peu de temps après l’injection. En outre, cette étude n’a suivi les personnes que pendant 35 jours (en moyenne) après les 14 jours suivant la deuxième injection. Il s’agit d’une période trop courte pour affirmer quoi que ce soit. De plus, la période d’étude s’est achevée le 15 juin 2021, à un moment où le taux de décès dus à la Covid en Angleterre était pratiquement nul depuis deux mois entiers.

Deuxièmement, le calcul de l’efficacité du vaccin en termes de maladies graves ou de décès implique généralement l’utilisation de chiffres incorrects ou peu fiables. Comme nous l’avons déjà mentionné, les essais contrôlés randomisés ont été réalisés pour établir une réduction des infections. Ils n’ont pas été réalisés pour établir une réduction des maladies graves ou des décès. Les chercheurs ont donc été contraints de s’appuyer sur des données d’observation et des données «réelles». Même si ces données étaient exactes, il est particulièrement difficile de les utiliser pour calculer la VE, et ce pour plusieurs raisons. Par exemple, il n’est pas facile de déterminer le nombre de personnes non vaccinées dans une population. Si compter le nombre de personnes vaccinées est aussi simple que d’enregistrer toutes celles qui ont reçu une injection, compter les personnes qui n’ont jamais reçu d’injection est une toute autre histoire. De même, une diminution du taux d’infection de fond au cours du déploiement, ou le déploiement d’un vaccin sur une période de plusieurs mois, ont tous deux tendance à gonfler artificiellement l’EV[19]. Un autre facteur de confusion est que les personnes non vaccinées peuvent avoir été soumises à davantage de tests que les personnes vaccinées, ce qui a entraîné un biais à la hausse du nombre de cas de Covid parmi les personnes non vaccinées.

Troisièmement, nous avons déjà établi que les vaccins contre la Covid augmentaient les chances d’être infecté par la Covid. Pour que les vaccins augmentent simultanément le nombre d’infections et préviennent les décès, il faudrait qu’ils entraînent une baisse significative de l’IFR de la Covid chez les vaccinés. Une étude menée par Ophir et al. a examiné de nombreux documents à la recherche de preuves d’une telle baisse, mais n’en a trouvé aucune. Ils ont conclu que «le récit médical largement accepté aujourd’hui, comme si les doses de rappel des vaccins à ARNm empêchaient les maladies graves et les décès malgré leur incapacité à protéger contre les infections, manque de soutien scientifique».

Quatrièmement, les décès attribués à la Covid continuent d’être enregistrés dans les pays fortement vaccinés à des taux similaires à ceux observés avant le déploiement des injections. Par exemple, un graphique des décès dus à Covid au Chili et au Canada ne révèle pas de baisse des taux de mortalité, mais plutôt une pente relativement constante jusqu’en 2021 et 2022, malgré les taux de vaccination élevés dans les deux pays (Canada : 83%, Chili : 88%, d’ici la fin de 2021).

Conclusion

En résumé, puisque nous savons que les vaccinations expérimentales contre la Covid ont augmenté les taux d’infection chez les vaccinés et qu’il n’existe aucune preuve scientifique d’une réduction correspondante de l’IFR, (taux de mortalité par infection) il est fort probable que le déploiement des vaccins Covid ait en fait augmenté le nombre de décès chez les patients atteints de la Covid. Toutefois, par prudence, pour donner aux injections tout le bénéfice possible du doute, et parce que la littérature scientifique manque de données factuelles et spécifiques à cet égard, il est préférable de dire que les injections n’ont probablement pas empêché de décès de Covid.

Aussi surprenante que puisse être une telle conclusion, il convient de souligner que le Dr Fauci lui-même a récemment contribué à un document qui observe assez crûment, à propos des vaccins en général et des vaccins Covid en particulier, que «les tentatives infructueuses passées pour obtenir une protection solide contre les virus respiratoires des muqueuses et pour contrôler les épidémies et les pandémies mortelles qu’ils provoquent ont été un échec scientifique et de santé publique auquel il faut remédier de toute urgence». Il s’agit très certainement d’un «échec de santé publique» lorsqu’un vaccin est déployé à un coût énorme et injecté dans des milliards de bras, et qu’il n’empêche aucun décès.

Pour replacer les choses dans leur contexte, l’aspect étrange de ces dernières années n’est pas que les vaccins aient été un échec lamentable. Ce qui est plutôt étrange, c’est qu’aucun fabricant n’ait prétendu avoir mis au point un vaccin contre la Covid. Nous rappelons que malgré des années de recherche et d’efforts avant décembre 2020, «aucun vaccin efficace n’a encore été approuvé pour la prévention de l’infection par le coronavirus humain». En effet, en juin 2020, Moderna a publié un document soulignant qu’«aucun médicament à ARNm n’a été approuvé dans cette nouvelle classe potentielle de médicaments, et pourrait ne jamais être approuvé à la suite des efforts déployés par d’autres ou par nous. Le développement de médicaments à ARNm comporte des risques importants en matière de développement clinique et de réglementation en raison de la nature nouvelle et sans précédent de cette nouvelle classe de médicaments».

Les vaccins ont peut-être été inutiles pour prévenir les décès dus à la Covid, mais étaient-ils totalement inoffensifs ? Ces injections ont-elles entraîné des effets indésirables ? Nous avons déjà noté qu’un pourcentage significatif de personnes a développé des symptômes similaires à ceux de la Covid. Quelqu’un en est-il mort ? C’est cette question importante que nous espérons aborder dans la prochaine partie de cette série.

source : Panda via Le Blog Sam la Touch
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Source : Lire l'article complet par Réseau International

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À propos de l'auteur Réseau International

Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

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