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par Philippe Bergerac
Nombreux sont ceux qui critiquent ouvertement et souvent Pfizer et/ou son PDG aussi bien pour le sang qu’ils ont sur les mains que pour leur corruption, leurs mensonges, les produits en test injectés de force et pour l’argent détourné lors de la crise Covid.
Examinons ceci dans le détail, sous la métaphore d’un jeu de poupées russes (sans jeu de mots), et d’un débat impossible à propos d’un agenda et de certains intérêts.
Les protagonistes de notre propos :
• V. Zelensky ;
• I. Kolomoisky, ex-patron de Zelensky ;
• R. Lauder, patron d’un certain Congrès mondial ;
• A. Bourla, PDG de Pfizer.
La plupart de ces personnes appartiennent, bien entendu, à ce que l’on qualifie généralement «Le camp du bien». Lire surtout la 2ème partie de l’article.
«(…) L’homme derrière Zelensky est le milliardaire ukrainien Ihgor Kolomoisky, un mafieux notoire (…)».
«(…) I. Kolomoisky a construit sa fortune en employant des tactiques musclées pour prendre le contrôle d’entreprises dans le pays le plus corrompu d’Europe (…)».
I. Kolomoïsky est lui-même chapeauté par son partenaire Ronald Lauder, patron d’un certain Congrès Mondial, qui lui a mis le pied à l’étrier dans les médias en rachetant la chaîne Studio 1+1 en Ukraine ; chaîne qui va propulser la carrière politique de Zelensky.
Avec Benjamin Netanyahou, Ronald Lauder est quand même le seul homme a avoir été nominé 13 fois sur 13 au palmarès du Jérusalem Post des personnalités les plus influentes au monde (voir article cité «Le camp du bien», deuxième partie).
Dans l’affaire Epstein, Ronald Lauder fournissait le/les faux passeports à Epstein.
R. Lauder joua également un rôle clé dans l’attribution, en juillet 2001, du World Trade Center aux promoteurs Larry Silvertein et Frank Lowy, grands amis de Netanyahou. Lauder, néoconservateur pur et dur, était alors président de la Commission de la privatisation de l’État de New York, et du Conseil de recherche de l’État de New York sur la privatisation.
Nous invitions ici le lecteur à s’informer du rôle des néoconservateurs dans les attentats du 11/09.
C’est encore et surtout Ronald Lauder qui a donc remis en 2021 le Prix Théodore Herzl au PDG de Pfizer, Albert Bourla.
Petit zoom sur l’entreprise Pfizer, état au 9 mai 2023 : sur environ 20 ans, 96 condamnations et 10 milliards de dollars d’amende pour corruption, falsification des données, charlatanisme, essais illégaux dans des pays du tiers-monde ayant causé la mort de personnes, … Détail ici.
Traduction : en agissant comme il l’a fait, Albert Bourla a donc particulièrement bien servi l’agenda et/ou les intérêts dudit Congrès. D’où l’obtention de ce prix honorifique.
Une telle cérémonie n’est en effet pas neutre ; c’est un symbole, un message lourd de sens : gratitude et honneur pour services rendus. En l’occurrence, manifestement au sionisme.
Ces services sont pourtant objectivement critiquables, même condamnables.
Nous pensons ici :
• aux effets secondaires anormalement nombreux des produits Pfizer anti-Covid-19 en test et aux condamnations de l’entreprise mentionnées ci-dessus ;
• à l’aveu du 10 octobre 2022 de la société via sa représentante Janine Small que le vaccin ne protège pas de la transmission : «(…) Janine Small, présidente des marchés internationaux chez Pfizer, a reconnu que le laboratoire n’avait fait aucune étude permettant de déterminer que le vaccin contre le Covid-19 était vraiment efficace contre la transmission (…)»
«Faites-vous vacciner pour protéger les autres» a toujours été un mensonge. La seule raison pour laquelle des passeports vaccinaux ont été imposés : pour forcer les gens à se faire vacciner ;
• la corruption de Ursula von der Leyen (SMS entre elle et Bourla) ;
• Etc.
Pour ainsi dire personne n’ose pourtant débattre de l’agenda et des intérêts dudit Congrès : plafond de verre et angoisse d’être à jamais banni obligent ? Autre ? On sent insidieusement la chape de plomb qui pèse : l’accusation suprême d’antisémitisme ! Depuis peu, semble-t-il, l’antisionisme est assimilé en France à de l’antisémitisme : pourquoi ? Pour éviter la moindre critique du sionisme et/ou de l’état Israël ? Autre ?
La dictature de la bien-pensance, du «politiquement correct», chers à l’École de Frankfort, a donc été, ici également et une fois de plus, parfaitement instillée : vous sentez comme l’autocensure s’exerce d’elle-même et très naturellement ? Quid de ce fameux «camp du bien»[1] qui s’impose et mortifie l’humanité sans qu’on ait la liberté ne serait-ce que de le nommer sans être fustigé et/ou se sentir mal à l’aise, juste en y pensant ?
envoyé par Dominique Delawarde
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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