L’expérience de contrôle mental la plus obscène jamais organisée par les États-Unis contre une nation souveraine : l’Opération Crimson Mist

L’expérience de contrôle mental la plus obscène jamais organisée par les États-Unis contre une nation souveraine : l’Opération Crimson Mist

J’ai récemment publié deux articles au sujet du fameux programme de recherches sur le contrôle de l’esprit élaboré par la Central Intelligence Agency (CIA), nommé Projet MK-ULTRA. Un premier article intitulé “Guy Boulianne publie en français le document secret du célèbre magicien John Mulholland,— “MK-Ultra : Sous-projet 4″—, datant de mai 1953” (lire ici) concernait la traduction et la publication en français du document secret rédigé en 1953 par le magicien John Mulholland (1898-1970) sous le nom de code “Subproject 4” (Sous-projet 4). Le second article intitulé “La quête secrète de la CIA pour le contrôle de l’esprit : torture, LSD et un « empoisonneur en chef ». Entrevues avec l’auteur Stephen Kinzer” (lire ici) partageait deux entrevues que le journaliste et universitaire américain Stephen Kinzer donna pour le National Public Radio (NPR) et pour Yahoo News en 2019 et 2020. Celui-ci est l’auteur du livre “Poisoner in Chief: Sidney Gottlieb and the CIA Search for Mind Control” (Empoisonneur en chef : Sidney Gottlieb et la recherche de contrôle mental de la CIA), publié en 2019 par la maison d’édition Henry Holt and Co. Afin de poursuivre dans la même veine, je partage maintenant avec vous un article daté de 2003, écrit par le défunt journaliste et auteur Joe Vialls, intitulé en anglais : Spooks use technology “proved” on one-million dead Africans (Les espions utilisent une technologie “prouvée” sur un million d’Africains morts). — [Internet Archive].

Joe Vialls (1944 – 17 juillet 2005) était un journaliste Internet et un enquêteur privé, vivant à Perth, en Australie occidentale. Ses affirmations les plus célèbres étaient que le massacre de Port Arthur, les attentats terroristes à Bali et Jakarta, et le tremblement de terre et le tsunami de 2004 dans l’océan Indien étaient le travail conjoint d’agents de renseignement américains et israéliens pour gagner en notoriété en Australie, en Amérique et en Indonésie (ingénierie politico-sociale).

Joe Vialls a auto-publié plusieurs livres, dont “Deadly Deception at Port Arthur” [Internet Archive], “The Murder of Policewoman Yvonne Fletcher and Lockerbie and the Bombing of Pan Am 103”, et a été l’auteur de centaines d’articles sur Internet.

Les principales enquêtes de Joe Vialls :

Joe Vialls (1944 – 2005)
  1. Sa première grande enquête a eu lieu en 1984 sur le meurtre de l’officier de police Yvonne Fletcher devant l’ambassade de Libye sur la place Saint-James. Joe a conclu que le coup de feu mortel avait été tiré non pas à l’intérieur de l’ambassade mais depuis un bâtiment voisin, et que le tireur était un agent de la CIA/Mossad.
  2. Sa deuxième enquête a eu lieu en 1988 sur le bombardement du vol Pan Am 103. Vialls a développé des théories alternatives sur les véritables causes de l’explosion. Une fois de plus, Vialls a lié la CIA et le Mossad au crime.
  3. Sa troisième enquête portait sur le massacre de Port Arthur en Tasmanie, en Australie. Vialls a accusé un homme, Martin Bryant, d’avoir été reconnu coupable du crime sans avoir bénéficié d’un procès équitable. Vialls affirme qu’il a été réalisé par les Mista’arvim.
  4. En ce qui concerne les attentats terroristes du 11 septembre 2001, Vialls déclare que les avions ont été détournés par télécommande avec la technologie de terminaison de vol de la société de l’homme d’affaires Dov S. Zakheim, ancien fonctionnaire du gouvernement des États-Unis (System Planning Corporation et SPC International).

Vialls est également connu pour avoir tenté d’expliquer que les causes du tsunami de 2004 en Asie ne pouvaient pas être naturelles, car un mouvement de plaques tectoniques ne peut pas produire un déplacement d’eau similaire, comme cela a été vérifié des mois plus tard avec un tremblement de terre plus important dans la même zone et n’a pas causé de telles conséquences. Vialls a défendu la théorie selon laquelle le gouvernement américain aurait fait exploser une bombe à hydrogène dans l’océan pour éliminer des cibles militaires indiennes et lancer un avertissement à cette nation et à ses alliés. En 1945, la Nouvelle-Zélande et les États-Unis dans le cadre du Seal Project ont testé plus de 3 700 bombes en juin 1944 dans la mer au large de la Nouvelle-Calédonie et d’Auckland pour prouver que la “bombe tsunami” était faisable. L’objectif était de provoquer des vagues géantes et de détruire la côte de diverses villes ennemies pendant la Seconde Guerre mondiale. De plus, les résultats des tests ont indiqué que pour créer un tsunami de 10 mètres capable de détruire la côte d’une ville ennemie, deux millions de kilos d’explosifs et une série de dix explosions à environ huit kilomètres du rivage étaient nécessaires. Les plans de la bombe ont été découverts par l’auteur et cinéaste néo-zélandais Ray Waru, qui a passé au crible divers dossiers militaires parmi les archives nationales pour son nouveau livre. [Archive]

Ses détracteurs, notamment ceux qui ont été touchés par ses recherches, ont tenté de dénigrer son travail comme antisémite et anti-américain. Vialls est décédé au Royal Perth Hospital en Australie-Occidentale d’une crise cardiaque le 17 juillet 2005.

Voir la vidéo ICI

Lire la suite : Guy Boulianne

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À propos de l'auteur Profession Gendarme

L'Association Professionnelle Gendarmerie (APG) a pour objet l’expression, l’information et la défense des droits et intérêts matériels et moraux des personnels militaires de la gendarmerie et de toutes les Forces de l'ordre.Éditeur : Ronald Guillaumont

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