Les promoteurs de l’avortement mentent sur la mort d’une femme pour faire condamner le Salvador

Les promoteurs de l’avortement mentent sur la mort d’une femme pour faire condamner le Salvador


Palais présidentiel à San Salvador au Salvador.

Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie

Les groupes pro-avortement font pression sur la Cour interaméricaine des droits de l’homme (CIDH) pour qu’elle condamne le Salvador pour n’avoir pas autorisé une femme à se faire avorter en 2013 après que l’anencéphalie de sa fille à naître ait été diagnostiquée.

Les médias ont rapporté que l’avortement était médicalement nécessaire en raison du diagnostic de lupus de la femme et ont affirmé que la femme était décédée quatre ans plus tard après que son état de santé se soit dégradé. Cependant, son médecin n’a jamais déclaré qu’elle avait besoin d’un avortement et la mort de la femme a été causée par un accident de voiture. Le tribunal devrait se prononcer sur cette affaire d’ici le 23 mars.

Dans un communiqué de presse, le collectif pro-vie « Femmes libres et souveraines » a déclaré que l’affaire Beatriz v. El Salvador était utilisée par les groupes pro-avortement CEJIL, IPAS et Citizen Association for the Decriminalization of Therapeutic, Ethical, and Eugenic Abortion, pour faire pression sur le Salvador afin qu’il légalise le meurtre d’êtres humains à naître. Le collectif Femmes libres et souveraines a déclaré que « le document fondateur du système interaméricain ne reconnaît pas l’avortement comme un droit, puisqu’il ne l’est pas. En revanche, il reconnaît le droit à la vie dès la conception (art. 4) et le droit à la santé (art. 10 du protocole additionnel) ».

En outre, l’organisation pro-vie demande « que les juges de la CIDH n’utilisent pas la vie de deux Salvadoriennes décédées, Beatriz Garcia et sa fille Leilani, pour promouvoir et imposer l’avortement comme un droit sur le continent américain ».

Mme Garcia a demandé un avortement en 2013, déclarant qu’elle n’était « pas gravement malade, mais je me sens mal, parce que je suis très fatiguée et que j’ai le souffle court », ajoutant : « J’aimerais interrompre la grossesse maintenant ». Les enfants à naître sont protégés contre l’avortement au Salvador, mais Mme Garcia a enregistré une vidéo dans laquelle elle demande au président d’autoriser l’avortement dans son cas. Bien que le ministère de la Santé, les Nations unies et la Commission interaméricaine des droits de l’homme aient tous soutenu son désir d’avorter, les médecins avaient déclaré que sa vie n’était pas immédiatement en danger. La Cour suprême de justice a rejeté sa demande d’avortement.

Source : Lire l'article complet par Campagne Québec-Vie

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À propos de l'auteur Campagne Québec-Vie

Campagne Québec-Vie est une association québécoise qui travaille de concert avec tout individu ou association de bonne volonté, à l’établissement d’une société chrétienne qui protège la foi, la famille et la vie, de la conception à la mort naturelle.CQV a trois objectifs : i) Promouvoir la reconnaissance, par les représentants de tous les corps sociaux, y compris ceux de l’État, de la nécessité du christianisme, en tant que seule religion intégralement vraie, pour une réalisation pleine et entière du bien commun ; ii) Promouvoir la reconnaissance du fait que la foi chrétienne est raisonnable, et que la raison soutient la foi et la morale chrétiennes ; iii) Promouvoir le respect de la vie humaine depuis la conception jusqu’à la mort naturelle ainsi que les droits de la personne et de la famille ;CQV œuvre à instaurer une « Culture de Vie », c’est-à-dire que nous favorisons, en manifestant, en organisant des colloques, en diffusant des nouvelles par Internet et offrant de l’aide aux femmes enceintes en difficulté, le développement d’une société dont les lois et les mœurs concourent, entre autres, à la reconnaissance du droit à la vie de toute personne humaine, de la conception à la mort naturelle, ainsi qu’à la reconnaissance de la famille traditionnelle (homme, femme, et les enfants qui découlent de leur union aimante) comme lieu privilégié pour l’épanouissement de la personne humaine.

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