Cinéma: faudrait-il 2 cérémonies de remises de trophées séparées?

Cinéma: faudrait-il 2 cérémonies de remises de trophées séparées?

Honorer le mérite avant tout; non la race, l’ethnie, le genre, l’orientation

Pour Blancs et non-Blancs?

Dans les cérémonies de remise de trophées comme les Oscars ou les Golden Globes au cinéma, les Emmy pour la télévision ou les Grammy pour la musique qu’on voit aux États-Unis, de plus en plus de prix sont décernés en fonction de la race, de l’ethnie, du sexe, de l’orientation sexuelle, au lieu du véritable sens premier du geste: honorer le talent, l’originalité, la performance et le mérite.

Le résultat net de cette soumission aux caprices de l’air du temps est la dévalorisation du trophée en soi. Des gens qui ne le méritent pas en reçoivent, prenant la place de ceux qui le mériteraient plus qu’eux.

– Chaque fois qu’un Noir remporte quelque chose, les Wokes jubilent. Pas pour le talent reconnu, mais pour l’aspect politique de faire avancer leurs pions.

– Chaque fois qu’une femme remporte quelque chose, les néo-féministes poussent des cris hystériques.

– Chaque fois qu’un gai remporte quelque chose, toute la communauté lgbtelequ+-x~°þø descend se pavaner dans un défilé exhibitionniste dans la rue.

– Chaque fois qu’E.T. remporte un prix, tous les extra-terrestres applaudissent à tout rompre de leurs 6 mains.

On accorde les trophées en fonction des minorités politisées les plus bruyantes avides de reconnaissance et de visibilité. Mais surtout avides de puissance…

La solution au problème est simple: établir 2 listes de nommés qui recevront un trophée dans leur catégorie respective: les Blancs et les non-Blancs. Pour contenter tout le monde et son père.

Il y aurait 2 cérémonies présentées 2 soirs séparés. Et on devine d’avance celle qui sera la plus regardée et plébiscitée.

Au fait, avez-lu l’article fort intéressant de la revue Géo portant sur le cinéma chinois en pleine expansion?

On y a construit au pays qui nous a donné le Petit Livre Rouge d’immenses studios dotés de l’équipement technique le plus moderne. Mais l’épineux problème reconnu par les producteurs chinois eux-mêmes demeure: l’indigence des scénarios, et le jeu grotesque, grimaçant des acteurs (pourtant triés sur le volet parmi 1 milliard 400 millions de Tom Cruise potentiels).

Le talent individuel plutôt que collectif, la créativité, l’imagination, l’innovation, et surtout, l’originalité, ça ne se retrouve pas là où on se fait endoctriner en bas-âge au conformisme de l’esprit dépourvu de liberté, et à la mentalité de termitière dénuée de toute forme d’individualisme personnel. Mais ils sont pragmatiques ces sacrés Chinois. Leur solution: embaucher des spécialistes américains de Hollywood pour pondre les scénarios, et tenter d’enseigner toutes les nuances de l’art du jeu à leurs acteurs limités!

Dans le même ordre d’idées, durant les années soixante-dix, la Chine maoïste en mode hégémonique se vantait de pouvoir produire de grands virtuoses de musique classique à la douzaine, sélectionnés parmi les centaines de millions de candidats musiciens potentiels dressés et disciplinés dès l’enfance. À les en croire, l’Occident ne pouvait que trembler devant la force de l’esprit communiste. Virtuoses techniquement parfaits ils l’étaient, mais cela s’arrêtait là: aucune âme, aucune passion, aucune expressivité, aucune compréhension du sentiment juste à exprimer, aucun dépassement de soi, aucun sens de la direction de l’élan musical, aucun surgissement d’émotion, bref, aucune comparaison avec les nôtres. Des millions contre un, et c’est le un qui l’emporte haut la main sur le clavier ou le manche.

Photo ci-haut: le pianiste canadien de génie Glenn Gould, unique en son genre et non produit en série

Les Chinois s’étaient même mis à composer des oeuvres symphoniques collectivement, afin de démontrer la supériorité de l’idéologie communiste! Les résultats furent médiocres, une accumulation de clichés, et l’essai/échec devint la risée de la critique occidentale, l’équivalent navrant d’une peinture à numéros…

L’équivalent moderne de cette tentative d’endoctrinement propagandiste serait de chercher à imposer aux masses l’idéologie diversitaire…

On me pardonnera cette digression qui ne veut qu’illustrer le fait que si on se met à octroyer des trophées aux Chinois uniquement parce que ce sont des Chinois qui cherchent à tout prix à être glorifiés, admirés et applaudis, on se met le doigt dans l’oeil, bridé ou pas. De même pour toutes les autres catégories susnommées.

La même logique s’applique aux Jeux olympiques: la course du 100 m est raciste. En effet, elle ne montre que des coureurs noirs, excluant les autres. Il faudrait qu’il y ait 2 courses du 100 m: une pour les Noirs, une pour les non-Noirs de toutes races, pour donner la chance à tous d’y participer. Pour que les spectateurs de toutes les nations soient représentés.

En complément de lecture: le ridicule de la parité obligée

Note: cliquez sur les termes surlignés en bleu pour approfondir davantage votre réflexion sur le sujet

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Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec

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