Cryptomonnaies, NFT, web 3.0 : quel impact pour la planète ?

Cryptomonnaies, NFT, web 3.0 : quel impact pour la planète ?
  1. Campagne de dons Janvier 2023

    Chers amis lecteurs. 2023 devrait être une année majeure dans le dévoilement de tous les mensonges qui ont permis à certaines puissances de prendre le contrôle de toute l’humanité. Le Great Reset aura peut-être bien lieu cette année, mais pas comme le voudrait le WEF de Davos. En parallèle des guerres économique et militaire, la guerre médiatique est de plus en plus virulente et la nécessité pour les médias alternatifs d’être prêts à y faire face est plus qu’urgente. A Réseau International, nous avons décidé de passer à une étape supérieure avec tous les moyens nous permettant d’être au rendez-vous des grands chamboulements qui nous attendent. Pour cela, nous avons besoin de vous et de votre soutien.

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Les cryptomonnaies et les jetons non fongibles (NFT) se développent à un rythme rapide, mais il existe encore peu d’études sur leur impact environnemental. Une étude a révélé que l’extraction de bitcoins consomme plus d’énergie que des pays entiers comme l’Autriche ou le Danemark. Les résultats suggèrent que des recherches supplémentaires sont nécessaires pour déterminer la quantité d’émissions de carbone pouvant être générées par l’extraction de cryptomonnaies ainsi que par d’autres technologies blockchain.

Ces technologies ne sont pas aussi vertes qu’on pourrait le croire

La blockchain présente de nombreux problèmes. Elle est en effet un énorme consommateur d’énergie et l’un des principaux contributeurs au changement climatique. Les cryptomonnaies ne sont pas aussi vertes qu’elles le prétendent, le bitcoin consommant autant d’énergie par transaction que l’Irlande en 2017 ou 2,15 foyers par an (pour mettre les choses en perspective).

Mais il existe un moyen de rendre les blockchains et les cryptos plus écologiques, tout en continuant à suivre le cours du bitcoin en direct ! Nous pouvons utiliser des énergies renouvelables comme l’énergie solaire et éolienne ou des pompes à chaleur géothermiques qui tirent parti des températures du sol dans le monde entier. En outre, nous pouvons utiliser des techniques informatiques vertes telles que l’informatique en cloud (qui réduit le besoin de matériel lourd) et s’assurer que vous avez suffisamment d’espace sur votre disque dur avant de télécharger autre chose par-dessus).

Il semble également que les NFT posent de sérieux problèmes car ils requièrent des ordinateurs/appareils très puissants juste pour pouvoir jouer à des jeux en ligne : cela signifie plus d’électricité consommée par les joueurs du monde entier ! Cela signifie également des factures d’électricité plus élevées pour les utilisateurs eux-mêmes. Une fois de plus, nous voyons comment ces technologies ne nous aident pas vraiment à économiser de l’argent ni à contribuer positivement à la réduction des niveaux de dioxyde de carbone dans notre atmosphère.

Bitcoin : une monnaie grande consommatrice d’énergie

Le terme « cryptomonnaie » vous est peut-être familier, mais savez-vous ce qu’il signifie ? Les cryptomonnaies sont des actifs numériques qui peuvent être envoyés entre des personnes et utilisés pour échanger des biens et des services. Elles utilisent la cryptographie (processus consistant à utiliser des algorithmes mathématiques pour crypter des informations) comme mesure de sécurité.

Le réseau Bitcoin consomme plus d’électricité que 159 pays, dont l’Irlande ! Il consomme également plus d’électricité que 12 États des États-Unis, par exemple : Vermont, New Hampshire et Oregon. La quantité d’énergie requise pour créer des bitcoins sera probablement trop chère pour qu’ils deviennent une monnaie courante à l’avenir.

Ethereum : l’énergie verte… à l’avenir ?

Ethereum est une blockchain publique qui utilise le protocole Proof of Stake (PoS) pour le minage. PoS est plus économe en énergie que PoW, et il est utilisé dans d’autres applications depuis longtemps. Ethereum utilise également le sharding, qui permet au réseau de s’étendre.

Le sharding divise la blockchain en plus petits morceaux afin que seule une petite partie de celle-ci existe sur chaque nœud du réseau, ce qui facilite le traitement rapide des transactions. Cette technologie est encore en cours de développement et de test, mais si les choses se passent bien avec le sharding, ils pourront facilement passer à l’utilisation de PoS au lieu de PoW comme principal protocole de minage. Cela permettrait à Ethereum de faire un pas de plus vers l’utilisation de l’énergie verte !

Les NFT sont de nouveau à la mode avec la montée en puissance des jetons mèmes

Vous avez peut-être remarqué qu’il y a une nouvelle vague de crypto qui arrive avec la montée des tokens mèmes. Ce sont les NFT, ou jetons non fongibles. Et ils reviennent à la mode après avoir été éclipsés pendant des années par le bitcoin et d’autres cryptomonnaies.

La principale différence entre fongible et non fongible est que l’un peut être remplacé par un autre sans perte de valeur, alors que l’autre ne le peut pas. S’il est vrai que tous les actifs numériques sont techniquement uniques, ils ne sont pas tous considérés comme non fongibles car ils n’ont pas de valeur réelle en dehors de leur cas d’utilisation initial, comme une adresse Ethereum ou une adresse de portefeuille Bitcoin.

En revanche, un jeton mème n’existera jamais que sous sa forme originale (et ne pourra donc jamais être dupliqué). Les monnaies mèmes ont été créées en tant que monnaies de plaisanterie, mais elles ont rapidement été adoptées par les amateurs de cryptomonnaies qui aiment collectionner des objets rares et s’en vanter sur des plateformes de réseaux sociaux comme Reddit et Discord – et maintenant même sur Instagram ! Les créateurs de ces mèmes veulent que les gens les partagent librement afin qu’ils deviennent assez populaires pour devenir des formes légitimes de paiement au lieu de simples blagues ; de plus, cela leur permet de gagner un peu d’argent réel en vendant leurs propres marchandises en ville !

Web 3.0, la prochaine frontière du web décentralisé ?

Le Web 3.0 est une nouvelle phase du développement de l’Internet qui promet de transformer radicalement nos vies et la société telle que nous la connaissons en décentralisant les services Web et en les remettant entre les mains des utilisateurs. Il s’agit d’un modèle à code source ouvert qui permet à quiconque de contribuer aux applications décentralisées (DApps) sans avoir à passer par des autorités centralisées telles que Google ou Facebook. Les DApps peuvent être construites en utilisant des protocoles peer-to-peer comme Bit Torrent pour le partage de fichiers ou Ethereum pour le transfert d’argent et des fonctions plus compliquées, comme le vote ou les plateformes de networking social comme Reddit l’ont fait depuis leur création (bien qu’elles ne soient pas entièrement décentralisées).

La blockchain est une technologie qui promet de changer la façon dont nous vivons, travaillons et interagissons les uns avec les autres. C’est une innovation incroyable qui a le potentiel de transformer la société d’une manière que nous ne pouvons même pas imaginer aujourd’hui. Cependant, elle a aussi ses propres limites en tant que système et il y a de nombreuses façons différentes dont cela pourrait mal tourner si nous ne faisons pas attention.
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Source : Lire l'article complet par Réseau International

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À propos de l'auteur Réseau International

Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

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