Justice, justesse et judicieusité

Justice, justesse et judicieusité

par Marie-France de Meuron.

Actuellement, on donne beaucoup de place à la justice. De multiples structures dirigeantes ou différents corps sociaux l’utilisent pour leurs lois et leurs règlements comme une sorte d’échafaudage pour imposer leurs visions et leurs volontés.

Toutefois, ces arrêtés, décrets et statuts ressortent-ils de la justesse qui donne une charpente, une solidification interne à une construction ?

Correspondent-ils vraiment à la nature profonde des êtres humains dans leur globalité corps, âme, esprit autrement dit sont-ils porteurs de bon sens, discernement et sagesse ? Sont-ils judicieux au moment opportun ?

Ces trois dimensions se basent sur le vocablejuste. Il est intéressant de constater qu’en tant qu’adjectif, il a la même forme au féminin et au masculin, ce qui en dit long sur l’équilibre qu’il propose !

La justice a été utilisée dans de multiples situations lors de la covidémie.
https://docteur.nicoledelepine.fr/synthese-admirable-de-maitre-schroeter-aux-autorites-suisses-sur-la-gestion-trompeuse-du-covid19/

Par exemple, était-ce juste de faire porter des masques sous prétexte de protection ? https://www.kla.tv/index.php?a=showlanguage&lang=fr&id=23694&date=2022-09-24&autoplay=true

et de surcroît pour les enfants ? https://reinfocovid.fr/articles_video/dr-saban-sur-le-masque-obligatoire-dans-les-ecoles/

Je suis très perplexe quand je constate à quel point les dirigeants se sont appuyés sur des lois et des règlements pour se permettre d’imposer une vision très limitée de la médecine aux praticiens souvent riches de plusieurs années d’expérience, voire à des professeurs

Que penser de l’usage de cette justice pour priver de leurs activités et de leur gagne-pain bien des membres du monde médical ? «ALERTE : des soignants suspendus discrètement convoqués par la police»

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/11/10/alerte-des-soignants-suspendus-discretement-convoques-par-la-police/

La réponse à de tels usages de la justice qu’on peut même qualifier de détournements apparaît maintenant lors d’actions qui en découlent comme justes et judicieuses :

Le Droit a plusieurs moyens d’action. De ce fait, des avocats en sont aussi les porte-paroles : Plainte pénale contre Swissmedic : https://www.kla.tv/index.php?a=showlanguage&lang=fr

Lundi 14 novembre 2022, a eu lieu en Suisse une conférence de presse qui devrait être le point de départ d’une remise à plat de ce qui s’est passé lors de la crise du Covid. L’avocat Philipp Kruse a annoncé que lui et ses collaborateurs juridiques avaient déposé le 14 juillet 2022 une plainte pénale de 300 pages contre Swissmedic, l’autorité suisse d’autorisation et de surveillance des produits thérapeutiques, et contre cinq médecins vaccinateurs.

De quelle dimension de justice relève le fait de retirer l’autorité parentale à des parents qui refusent une transfusion de sang issu d’une personne vaccinée pour leur bébé qui souffre selon sa mère de sténose valvulaire pulmonaire, un problème cardiaque nécessitant une intervention chirurgicale ?

https://francais.rt.com/international/102841-parents-refusent-sang-vaccine-covid-pour-fils-autorites-appel-justice Ils ont sans doute appris que dans leur pays – la Nouvelle-Zélande – que «Probablement due à la vaccination» : un homme de 26 ans meurt d’une myocardite en Nouvelle-Zélande. Ce sont les autorités du pays qui saisissent la justice pour obtenir le droit de pratiquer selon des critères qui leur semblent justes. Mais est-ce judicieux par rapport aux multiples éléments de la situation globale du bébé et du fait que le corps médical n’est pas en mesure de garantir le résultat d’une telle opération ni d’une telle transfusion de sang?

L’autorité – qu’on peut aussi qualifier d’auteurité !- est aussi bafouée quand https://www.laminutedericardo.com/LMDR/fabrice-di-vizio-en-direct-dimanche-soir-20h45/

un parent est susceptible de prison s’il dit à son enfant de ne pas suivre les mesures sanitaires!

Tous les médecins n’ont pas la force de caractère de ce médecin réanimateur très conscient de l’aberration de la suspension de pratiquer dont il est victime : « Je ne changerai ma place pour rien au monde ! »https://www.youtube.com/watch?v=AN5zsLxCoC4

Ne se laissant pas abattre par le système officiel, il profite de sa situation pour pointer tout ce qui ne fonctionne pas dans le système médical, tout ce qui n’est pas judicieux. Dans son livre “Agonie et renouveau du système de Santé”, il tire les leçons de sa suspension et répond à ses détracteurs.

Le système de soin ne fonctionne plus. La grande question se situe entre l’artisanat et l’industrialisation . Aujourd’hui, notre système de santé est complètement industrialisé et cherche avant tout le profit et la rentabilité.

Cet adepte de l’art médical détecte (à la minute 8) une sorte de perversion dans les textes de la loi:

En 2002, loi sur ledroit des maladesqui devraient être autonomes, consentir avec un consentement libre et éclairé basé sur une information loyale, claire et appropriée , elle-même issue d’une science impeccable ! L’ensemble de ces éléments ont été pervertis.

Il souligne (à la minute 20) le mirage d’une santé algorythmique.

La société parfaite, ce serait un rouage d’horlogerie : jamais de heurts ! Il s’ensuit la transformation de la matière et des chaînes industrielles de montage où l’humain n’est plus un artisan au contact de la matière

Une exemple fort de ce qui se passe actuellement est celui de la loi sur l’avortement que différentes personnalités veulent introduire dans la Constitution française https://www.breizh-info.com/2022/12/04/211596/avortement-la-loi-veil-est-elle-un-moindre-mal/

Comme il est posé dans cette discussion des Hommes en noir, la constitutionnalisation de la loi Veil peut-elle être une solution ? Autrement dit, peut-on constitutionnaliser la relation immensément intime entre une femme et l’enfant qui se crée au fond de sa matrice ? Evidemment, les arguments sont multiples et variés. Celui qui m’a percutée vivement est le fait qu’avec une loi on va pouvoir obliger les médecins à pratiquer les avortements. Est-il vraiment judicieux de leur imposer ce geste qui est à l’inverse du principe Primum non nocere ? De plus, ce principe remonte à un passé lointain. Est-ce faire preuve de justesse de vouloir le minimiser ?

D’autre part, chaque femme a un vécu qui lui est propre et jouit de son libre-arbitre pour prendre une décision mais alors est-ce juste qu’elle dépende du corps médical pour mettre en œuvre son choix ? J’ai reçu différentes confidences qui m’ont enseigné que la première question à se poser est «Qu’est-ce que je veux vraiment ?».

Pour certaines, la réponse était très claire et elles ne tardaient pas à utiliser des moyens pour activer l’évacuation de l’embryon (Les femmes savent très bien ce qu’il faut éviter lorsqu’elles sont enceintes pour ne pas perdre leur enfant!).

Pour d’autres, la détermination psychique donne la solution. Je me souviens d’une mère de trois enfants qui était farouchement opposée à une 4e grossesse ; son refus était si ferme et univoque qu’une semaine après notre discussion, elle avorta spontanément.

La relation avec le géniteur peut s’avérer fondamentale. Prenons le cas des hommes qui menacent de quitter leur compagne leur annonçant sa grossesse. L’une d’elle, déjà mère d’un enfant, prit la décision de garder celui qui s’annonçait le matin même du rendez-vous de l’IVG. Effectivement, son mari la quitta. Une autre dans la même situation garda aussi son enfant alors que son compagnon partit très vite de leur foyer. Toutefois, la conscience de l’homme a fait du chemin et il a accepté d’assumer le rôle de père – comme un père divorcé – pour ses 2 fils, adolescents aujourd’hui.

D’autres ont suivi l’avis de leur compagnon, apparemment très sûres d’elles mais c’est à l’arrivée de la ménopause, quand elles se retrouvent seules sans enfant, que la souffrance de l’époque du choix peut revenir en force.

Dans quelle catégorie de justesse peut-on situer l’Ordre des Médecins ? https://laplumeducitoyen.org/2020/12/26/sont-ils-en-mesure-de-juger/

A la lecture du rapport 2019 de la cour des comptes concernant l’Ordre des médecins, une question peut venir à l’esprit de tout un chacun : sont-ils en mesure de « juger » ces grands spécialistes reconnus que sont les professeurs Raoûlt, Perronne et autres médecins qui refusent d’obéir aveuglément à l’autoritarisme gouvernemental ?

En Suise, ce sont les économistes de la faîtière des caisses-maladie qui s’appuient sur la justice pour parvenir à leurs fins. Ils se basent sur le principe de l’économicité qui se résume non pas à l’économie que fait un médecin en soignant adéquatement un patient mais aux coûts par patient et par an. Une émission du Droit Chemin explicite comment on manie les différentes dimensions de la justice : «Dr Pierre Antaki gagne contre SanteSuisse»

https://www.youtube.com/watch?v=cIX160EmDT4

Quels critères définissent le Droit ? Une entrevue entre un anthropologue, un chef d’entreprise et une avocate permettent de développer le sujet. https://www.breizh-info.com/2022/12/03/211464/sectes-et-derives-mafieuses-les-pieces-a-conviction/ : Ce qui est central dans l’ordre public, la moralité et la santé publique, c’est la dignité de l’individu. Il y a une telle discrimination entre les soignants suspendus et les non-vax qu’on ne peut pas parler d’une société démocratique. …

Actuellement, il y a des risques de dérives sectaires : déstabilisation mentale, premier critère qui remplit le caractère exorbitant des exigences financières : mise à mort des petites et moyennes entreprises, des personnes qui refusent le produit expérimental.

La suspension de salaire est contre le droit interne, le droit européen , le droit international

Un règlement de 2014 dit qu’on ne peut pas obliger quelqu’un à se soumettre à un traitement expérimental sous pression financière. Illégalité de toutes les règles sans parler de la moralité.

On demande à la justice de réglementer et de protéger des situations très nouvelles qui surgissent avec l’évolution de la société. Ne lui donne-t-on pas alors un rôle pour lequel elle n’est pas faite ?

Ainsi, le monde de la co-parentalité – partager un enfant avec un inconnu –

https://www.breizh-info.com/2022/12/02/211491/co-parentalite-couples/ insiste pour que l’accord parental soit établi par contrat et protégé par la loi, stipulant les lignes directrices éducatives communes, le montant de la contribution financière des signataires, la volonté ou non d’éduquer l’enfant religieusement, le lieu de résidence, la division du temps de présence etc. 

Il semblerait ainsi que tout mouvement de la société peut devenir légitime dans la mesure où la juridiction s’en mêle…

On en arrive de la sorte à vouloir réglementer les semences :

file:///C:/Users/admin/Downloads/LeCourrier_2021-10-04%20p4%20th%C3%A8se%20sur%20r%C3%A9glementation%20semences.pdf
«La réglementation sur les semences est anticonstitutionnelle.» Une thèse de la faculté de droit de Genève démontre que le système qui décide quelles variétés végétales peuvent être commercialisées en Suisse contredit les autres objectifs constitutionnels de l’agriculture comme la préservation de l’environnement, du paysage et de l’économie locale.

On utilise la loi pour encadrer des décisions d’apparence écologique sans tenir compte du contexte beaucoup plus complexe dans lequel la réglementation doit s’appliquer.

A partir de 2023 des radars pourront détecter les automobilistes seuls qui emprunteraient les voies réservées au covoiturage. Deux caméras pourront photographier la plaque d’immatriculation du véhicule et déterminer le nombre de passagers. Si l’automobiliste est seul, il sera verbalisé à hauteur de 135 euros. Les autorités mettent en place ce système à grands frais de personnel et d’appareils. Mais est-ce vraiment le sujet essentiel actuellement ?

Justement, dans la dimension écologique une question cruciale se pose : « Pollution numérique : qu’attendre de la loi ?»

https://www.breizh-info.com/2022/12/05/211600/frankenstream-ce-monstre-qui-nous-devore/

À cause de sa boulimie, cette technologie fait en outre exploser la consommation d’énergie et de matières premières

Ce documentaire retrace l’histoire du streaming et sa conquête du monde, parallèlement à la montée en intensité des alarmes des climatologues. Il interroge notre aveuglement face à la pollution numérique.

Il est intéressant aussi de constater à quel point la justice officielle jongle avec des lois. Prenons l’exemple du port du masque : https://www.village-justice.com/articles/fausse-info-port-masque%2C34732.html?debut_comments-list=5

La loi n°2010-1192 du 11 octobre 2010 a créé l’incrimination de port forcé d’une tenue dissimulant le visage : toute personne qui oblige quelqu’un d’autre à porter un masque sur la voie publique, peut être sanctionnée pénalement au titre de l’article 225-4-10 du code pénal, disposant que

« le fait pour toute personne d’imposer à une ou plusieurs autres personnes de dissimuler leur visage par menace, violence, contrainte, abus d’autorité ou abus de pouvoir, en raison de leur sexe, est puni d’un an d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende ».

En réalité, que se passe-t-il ? Les exceptions sont nombreuses :

– Toute personne représentant l’Etat (Gouvernement, préfets, policiers ou gendarmes, etc.) ou les communes (maires, policiers municipaux, etc.) ont le droit de donner un tel ordre.

– Non, un commerçant ne peut forcer à porter un masque. MAIS il peut interdire l’entrée à son établissement aux personnes n’en portant pas : c’est ce que prévoit l’article 27 du décret 2020-860 du 10 juillet 2020 [1], précisant que l’exploitant « peut limiter l’accès à l’établissement à cette fin (de respect des mesures sanitaires) ».

– L’article L.4122-1 du Code du travail dispose que

« les instructions de l’employeur précisent, en particulier lorsque la nature des risques le justifie, les conditions d’utilisation des équipements de travail, des moyens de protection, des substances et préparations dangereuses. Elles sont adaptées à la nature des tâches à accomplir ».

Quelle est la valeur des ordres juridictionnels ? Le cas de Martine Wonner, parlementaire et médecin, donne une réponse à cette question :

« C’est la première fois qu’il y a, à ce point, une chasse aux sorcières »

https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/martine-wonner-cest-la-premiere-fois-a-ce-point-chasse-aux-sorcieres

« La liberté d’opinion et d’expression d’un parlementaire se trouve sous l’emprise d’ordres juridictionnels qui portent atteinte à la fonction législative »,

On ne s’attendrait pas non plus à un laxisme judiciaire

https://www.breizh-info.com/2022/12/05/211673/general-philippe-schmitt-pere-dune-victime-du-laxisme-judiciaire/

Quinze ans après le meurtre de sa fille Anne-Lorraine dans le RER, le général Philippe Schmitt évoque au micro de Boulevard Voltaire son combat contre le laxisme judiciaire. Il déplore, sans s’en étonner, que ce sujet n’intéresse pas les féministes mais surtout qu’aucune décision n’ait été prise depuis lors pour lutter efficacement contre la récidive des crimes sexuels.

Est-ce que la justice est soumise elle-même à un certain assainissement ? L’entrevue avec un sociologue y répond :

https://staticmail.editionsbiosante.fr/2022/11/slb/entretien_laurentmucchielli.pdf

Vous parlez d’un espoir venu de la justice judiciaire… En quoi cela consiste-t-il exactement ?
L.M. : J’espère que la justice va passer sur ce scandale historique. J’entends la
justice judiciaire évidemment, la seule qui soit en partie indépendante. La justice administrative, celle du Conseil d’État et du Conseil constitutionnel, a au contraire démontré que sa consanguinité et ses conflits d’intérêts avec le pouvoir politique l’empêchaient de jouer réellement son rôle de contre-pouvoir juridictionnel.

Et que penser de la justice dans le cas du «Bloqueur de puberté : Qui est responsable de la mutilation des enfants ?»

https://reseauinternational.net/bloqueur-de-puberte-qui-est-responsable-de-la-mutilation-des-enfants/

«Chacun a le droit d’être ce qu’il souhaite et personne ne doit l’en empêcher, quelles qu’en soient les conséquences graves à long terme.» Avec cette idéologie à la Fifi Brindacier, chaque médecin, qui conduit un enfant à un traitement précoce avec des bloqueurs de puberté et qui risque ainsi de causer des dommages physiques massifs à l’enfant et de le rendre durablement stérile, est désormais impuni.

En revanche, un médecin est punissable s’il tente d’empêcher l’enfant de prendre des inhibiteurs de puberté, même s’il donne des conseils sans préjuger des résultats.

La justice a été tellement utilisée dans des extrêmes que des médecins, psychothérapeutes et dentistes déplorent que les principes d’une médecine responsable et d’une bonne pratique médicale aient été brisés lors de la crise du Covid de 2020 à 2022 :

«Des médecins d’Heidelberg dévoilent les abus» https://www.kla.tv/24337 Ils ont été outrés parce que l’accusation du Dr W s’appuie surtout sur la délivrance de certificats médicaux pour les enfants, car le médecin voulait protéger les plus jeunes. Le parquet requiert deux ans de prison et une amende ainsi qu’une interdiction d’exercer Le jugement a été rendu le 15 novembre 2022 : un an de prison avec sursis et 50 000 euros d’amende.

Un scandale juridique ! La justice rend ainsi un jugement politique, pour faire taire les médecins qui se sentent tenus par leur conscience et leur serment professionnel.

Il est vraiment temps de joindre les différentes dimensions de la justice et du droit (ces deux termes s’épousent – féminin et masculin -!) comme l’a fait cet avocat anthropologue et dont le bagage humain français, russe et géorgien lui a inspiré le système du Leadership Vertueux fondé sur la science de la vertu élaborée par les anciens Grecs. Il a compris que : « On arrive à la fin des mensonges » https://www.youtube.com/watch?v=pbJEywZtExk&t=21s

Il fait le bilan de la situation actuelle : ’ La force du totalitarisme moderne, c’est qu’on ne se rend plus compte qu’on est dedans.

La civilisation occidentale fait trop confiance au Droit. On pense qu’avec le Droit on peut régler tous les problèmes parce qu’on règle le problème des institutions. Par contre, le problème du Droit, c’est qu’il ne règle pas le problème de l’Homme.

Les institutions ne respectent pas les principes de la nature humaine . Elles aboutissent à un totalitarisme masqué, beaucoup plus dangereux qu’un démasqué .

On se trouve face à toute cette façade juridique qu’on appelle la démocratie, façade qui va bientôt s’effondrer complètement.

Et ça produit une civilisation de personnes dont le sens de la vie est la consommation, le rejet de toute transcendance (cogito ergo sum, ma pensée est le fruit de toute chose ). Ce qui est produit sur terre n’est que le produit de cette pensée donc il n’y a plus de place pour les valeurs transcendantes, pour le beau, le vrai, le bien, pour Dieu. L’aspect contemplatif de l’existence disparaît complètement. La vie devient pure action, pure communication.

Il semble opportun de revenir au respect des principes de la nature humaine avec son souffle de vie en perpétuel renouvellement alors que la justice tend à le figer.

Marie-France de Meuron
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Source : Lire l'article complet par Réseau International

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À propos de l'auteur Réseau International

Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

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