Revue de presse de la semaine du 5 décembre

Revue de presse de la semaine du 5 décembre

Réinfo Covid Québec a décidé de publier chaque semaine une revue de presse de la COVID-19. Elle rapporte différentes nouvelles peu ou pas traitées par les médias et permet donc de se forger une opinion différente de la crise sanitaire et démocratique que nous vivons.

Au programme :

  • Menace sur la liberté d’expression des médecins et scientifiques
  • Une médecine sans médecins?
  • Le retour du masque pourtant inutile et toxique
  • Censure et désinformation (la suite)
  • Quelques informations santé
  • Inefficacité des vaccins
  • Hausse de la mortalité
  • Contaminations COVID-19

 

« Tester gratuitement une thérapie génique expérimentale sur soi-même et ses enfants pour avoir le droit de boire un café en terrasse…  …celui qui a marketé ça est un génie. » Idriss J Aberkane

 

Emprisonner les médecins pour « désinformation »?

Les Ordres des médecins assassinent la médecine.

Selon le compte rendu de ce site indépendant, une nouvelle législation encadrant la pratique médicale en Colombie Britannique, le projet de loi 36 – Health Professions and Occupations Act (HPOA) -, pourrait rendre criminels et passibles d’emprisonnement les professionnels de la santé qui donneraient à leurs patients des conseils qui iraient à l’encontre du discours officiel du gouvernement sur des questions de santé publique. Rappelons qu’au cours de la pandémie, plusieurs médecins de cette province ont fait la une des journaux du monde entier pour s’être élevés contre les mesures gouvernementales anticovid.

Voici ce que l’on peut lire dans le projet actuel :

Penalties

518 (1) An individual who commits an offence listed in

(a) section 514 (1) [offences] is liable on conviction to a fine not exceeding $25 000 or to imprisonment for a term of not more than 6 months, or to both,

(b) section 514 (2) is liable on conviction to a fine not exceeding $200 000 or to imprisonment for a term of not more than 6 months, or to both, or

(c) section 514 (3) is liable on conviction to a fine not exceeding $200 000 or to imprisonment for a term of not more than 2 years, or to both.

Donc dans le point C on parle de 2 ans de prison.

C’est si on contrevient au point 514-3, que voici :

Offences

514 (1) A person who contravenes section 30 [unauthorized use of titles] or 34 [false or misleading information] commits an offence.

(2) A person who does any of the following commits an offence:

(a) knowingly discloses information in contravention of a provision of this Act or the regulations;

(b) knowingly provides false or misleading information to a person who is exercising a power or performing a duty under this Act, or a person acting under the order or direction of that person;

(c) wilfully interferes with or obstructs another person in the exercise of a power or performance of a duty under this Act or in carrying out an order made under this Act.

(3) A person who contravenes section 29 [unauthorized practice] commits an offence.

Le point 514-3 réfère au point 29, que voici:

29 Except as authorized under this Act, a person must not do any of the following:

(a) perform an aspect of practice that is identified for the purposes of this section in a regulation of the minister;

(b) perform a restricted activity;

(c) recover a fee, benefit or other type of compensation for performing an aspect of practice or a restricted activity in contravention of paragraph (a) or (b);

(d) employ a person, or enter into a business or other type of relationship with a person, to perform an aspect of practice or a restricted activity in contravention of paragraph (a) or (b).

Ici, ce serait le point a qui serait en cause. Sauf que cela ouvre à toute la loi au complet. Tout dépendra donc de l’interprétation qui en sera faite. Si elle est stricte (on se cantonne par exemple à des erreurs médicales manifestes ou des déclarations inadmissibles), il n’y aurait pas plus de risque qu’avant.
Par contre, si on fait une interprétation plus large (par exemple seraient concernés tous les médecins qui feraient la promotion d’un médicament (au hasard l’ivermectine) ou inversement en dénigreraient un autre (toujours au hasard : les vaccins anti-COVID-19)), il pourrait y avoir un véritable danger.
Il faut espérer que la situation sera clarifiée rapidement car les choses évoluent vite, très vite même. Ainsi, on se souvient de l’incitation récente du Collège des médecins de l’Ontario à médicaliser ou référer en psychiatrie leurs patients récalcitrants à la vaccination.
Ce même Collège des médecins de l’Ontario entend actuellement plusieurs médecins qu’il a suspendus parce qu’ils s’étaient exprimés contre les mesures sanitaires ou avaient traité leurs patients (par exemple avec de l’ivermectine)… plutôt que de les renvoyer chez eux sans rien faire. Il leur demande également l’accès aux dossiers médicaux des patients, ce que les médecins refusent, avec raison, au nom du secret médical.

Le Collège les a tous entendus une heure chacun, en plus de leur avocat, qui a conclu qu’en raison des restrictions [imposées], l’Ordre des médecins et chirurgiens de l’Ontario a empêché des millions de personnes d’obtenir un traitement efficace contre la COVID-19 et un traitement préventif contre la COVID-19. Et qu’en conséquence, d’innombrables personnes ont subi des blessures graves. « En plus de cela, ajoute-t-il, des gens sont morts alors qu’ils n’auraient pas dû mourir. »

C’est un procès essentiel car si le règlement est en faveur des médecins, cela signifie qu’aucun médecin canadien ne pourrait plus être rendu coupable de ne pas respecter les mesures sanitaires. On n’est donc pas surpris d’apprendre que le procès se tient presque à huit clos. Pour l’instant aucune décision ne semble avoir été prise.

Tout cela fait suite au rapport de la chaire Unesco sur le complotisme, qui déjà recommandait de créer un « observatoire du conspirationnisme » et de médicamenter les complotistes, voire de les envoyer dans des centres de rééducation (ce qui n’est pas sans rappeler le sort réservé aux opposants à la belle époque de l’URSS).
N’oublions pas non plus qu’en Californie, depuis quelques semaines, les médecins n’ont plus le droit de critiquer le discours officiel.
En France, plusieurs médecins, suite pourtant après la bonne nouvelle de la relaxe de Christian Perronne, ont été suspendus au cours des derniers jours. C’est le cas de Martine Wonner, psychiatre et ex-députée, qui s’est beaucoup mobilisée pour dénoncer les incohérences dans la gestion de cette crise sanitaire. Elle vient d’être condamnée par l’Ordre des médecins à un an de suspension « pour avoir diffusé des protocoles de soins contre le Covid sans fondement scientifique« . Elle fait appel.
Puis, après Martine Wonner, c’était au tour du Dr Éric Loridan de se confronter à ses pairs vendredi 2 décembre. Son crime ? Avoir eu le malheur de démontrer de manière parfaitement scientifique que le simple port d’un masque facial en polypropylène ne représentait absolument aucune protection contre la pénétration-expulsion respiratoire des virus. Qu’en plus, ce dispositif pouvait facilement menacer la sécurité de ses porteurs. Ce qui va se jouer à Lille sera capital : est-il dit dorénavant qu’en France, un médecin doit penser faux parce que son Ordre le lui commande ?
Tous ces signes sont très inquiétants et pointent vers une « soviétisation » de nos systèmes politiques.

La médecine sans médecins?

Louis Foucher, le fondateur de Réinfo Covid France, vient de publier le livre : « Agonie et renouveau du système de santé ». Il déclare :

« Les enjeux actuellement du pouvoir, c’est de tirer notre médecine vers une médecine sans médecin et sans patient, vers la e-santé », déclare Louis Fouché qui ne cesse de pointer les dangers d’une médecine sans clinique. Cependant, s’il dénonce certaines évolutions techniques dont il comprend les limite et les dangers, il ne rejette pas pour autant toutes les avancées de la médecine « institutionnelle », dont il salue certaines réussites, notamment dans les domaines de la chirurgie et de l’oncologie.

L’enjeu est réel car il existe déjà des intelligences artificielles, qui grâce à des caméras à reconnaissance faciale, sont capables de détecter les maladies et de poser des diagnistics. La médecine sans médecins pourrait donc être bientôt une réalité. La question est donc de savoir si la relation médecin-patient reste fondamentale. Ou si, comme le souhaitent les autorités et Big Tech, il est préférable de passer à l’ère des machines. Si c’est cette dernière voie qui l’emporte, il sera sans doute trop tard pour préserver le peu d’humanité qu’il nous reste…

En revanche, il invite ceux qui l’écoutent ou qui le lisent à découvrir d’autres médecines, comme la médecine traditionnelle chinoise, et d’autres pratiques de bien-être (yoga, méditation). Il souhaite également que l’on retrouve le chemin de la connaissance des savoirs traditionnels perdus, notamment l’usage des plantes dans le soin ou dans la prévention pour essayer « de rester en santé et non plus pour être dans une industrie de la maladie qui vend des médicaments ».

Pour le médecin, la crise que nous traversons est pour lui le moyen de saisir l’opportunité de rebâtir un système de soins guéri des dérives dont il est actuellement malade.

Louis Fouché ne restreint pas non plus sa réflexion au seul domaine de la santé. Avec un regard critique et constructif, cet adepte de la « pensée complexe » chère à Edgar Morin, appelle à tout repenser pour tout reconstruire : la santé, mais également l’éducation, les systèmes politiques et médiatiques. »

Malheureusement son livre n’est pas encore disponible au Québec.

 

Masques : le retour?

Cela parait à peine croyable… mais la France s’apprète à réimposer le masque :

Pourtant, comme l’a démontré le Dr Loridan, les masques sont inutiles et dangereux. Nous le démontrions également dans cet article : Le masque n’est pas la solution.

Voici un article scientifique qui fait une revue de la littérature de 65 publications à ce sujet : Kai Kisielinski et al. Is a Mask That Covers the Mouth and Nose Free from Undesirable Side Effects in Everyday Use and Free of Potential Hazards?

On notera que le Dr Anthony Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et maladies infectieuses (NIAID), n’a pu citer aucune étude montrant que les masques fonctionnent contre le COVID-19

Parmi ses nombreuses déclarations publiques et privées, il a écrit dans un courriel du 5 février 2020 que « le masque typique que vous achetez à la pharmacie n’est pas vraiment efficace pour empêcher le virus, qui est assez petit pour passer à travers le matériel« .

À peine quelques mois plus tard, Fauci et d’autres hauts responsables faisaient pourtant un virage à 180 degrés e recommandant soudainement le masquage généralisé, quels que soient les symptômes. Interrogé sur ce changement alors qu’il était sous serment le 23 novembre, Fauci n’a pu fournir aucune étude pour soutenir ce changement de cap, selon les avocats représentant les plaignants dans une poursuite contre le gouvernement fédéral.

 

La censure, plus que jamais

La censure fait rage. Dans un article revu par les pairs, des chercheurs étudient la censure dont ont été victimes les médecins et scientifiques qui allaient contre le discours officiel.

L’article est intitulé Censorship and Suppression of Covid-19 Heterodoxy: Tactics and Counter-Tactics.

Vous pourrez cependant trouver une version en français ici : « Censure et répression des scientifiques et médecins hétérodoxes durant la crise sanitaire« .

Résumé :

  • La Covid-19 a donné lieu à de nombreuses controverses. Pour contrer la menace que représentaient les médecins et les scientifiques contestant la position des autorités sanitaires gouvernementales et intergouvernementales, des partisans de l’orthodoxie ont entrepris de les censurer et de les réprimer.
  • Les résultats montrent le rôle central joué par les organisations médiatiques, et en particulier par les entreprises de technologie de l’information.
  • En lieu et place d’une discussion ouverte et équitable, elles ont porté atteinte à la réputation et à la carrière des médecins et des scientifiques dissidents.
  • Ceci a eu des implications délétères et de grande portée pour la médecine, la science et la santé publique.

 

Désinformation

En plus de censurer à tour de bras, médias sociaux, médias et autorités désinforment dans les grandes largeurs. Voici deux excellents articles sur la fraude COVID-19, à lire impérativement.

Le premier montre comment les autorités ont menti en prétendant notamment que les vaccins étaient efficaces contre la transmission alors qu’ils n’avaient aucune donnée pour le prouver :

  • Contrairement à ce qu’affirment de faux articles de «fact-checking», les pontes de la «santé publique» ont délibérément prétendu que les vaccins Covid 19 empêcheraient la transmission du virus.
  • Prétendant que l’immunité naturelle est faible, ils ont affirmé au contraire que celle conférée par les vaccins serait supérieure. Cela a améné au matraquage de la seule solution possible : se vacciner.
  • Les vaccins ont alors été acclamés et déclarés « efficace » avant même d’être autorisés.
  • L’injection a même été décrétée indispensable pour passer un hiver normal et contribuer à l’immunité collective.
  • S’en sont suivis les discours sur les « vaccinés non contagieux » et « l’épidémie de non-vaccinés ».
  • Seul le vaccin était censé offrir une « immunité durable » (qui s’est révélée d’être de seulement quelques semaines).
  • De l’annonce de la création des vaccins jusqu’à aujourd’hui, aucune recherche sérieuse et indépendante n’a prouvé que les vaccins empêchaient la transmission.

Dans un 2ème article, Vincent Pavan démontre justement que toutes les « études » qui « prouvaient » que les vaccins empêchaient la transmission, étaient en fait des faux. Pourtant, cela a été publié dans des revues « prestigieuses » (qui aujourd’hui ne valent plus grand chose) comme Nature et The Lancet. Les autorités n’ont donc jamais eu la preuve, à aucun moment, que les vaccins empêchaient la transmission.

C’est pourtant justement l’argument qu’elles ont utilisé pour imposer les passeports vaccinaux, ce qui a conduit à une discrimination sans précédent d’une partie de la population.

 

Concernant la désinformation, le PDG de Pfizer a été suprenamment accusé par le régulateur anglais pour avoir fait des déclarations « trompeuses » sur les vaccins pour enfants.

Le Dr Bourla avait en effet affirmé que les jeunes âgés de cinq à 11 ans avaient bénéficié de la vaccination. Mais le chien de garde pharmaceutique a déclaré que ses remarques avaient induit le public en erreur. Pas de sanctions en vue apparemment, mais espérons que cela sonne la fin de la récré sur les déclarations tapageuses de Big Pharma.

Les ennuis ne s’arrêtent pas là pour Pfizer en Angleterre puisqu’une nouvelle pétition importante a été créée dans le pays demandant au gouvernement britannique de lancer une enquête publique sur le processus d’approbation des vaccins contre le covid-19. Signez cette pétition sur le site officiel si vous êtes un citoyen britannique.

Un examen continu accéléré a été utilisé pour accorder des autorisations temporaires pour l’utilisation des vaccins contre le covid-19.
Les premiers vaccins contre le covid-19 ont été approuvés sur la base de l’efficacité réduisant la maladie due au covid-19, tandis que les rappels bivalents ont été approuvés sur la base de la réponse immunitaire. Le rappel bivalent Moderna a été approuvé malgré une efficacité inférieure à celle du vaccin original, et le booster Pfizer BA.4-5 a été approuvé à l’aide des données BA.1.
Les rapports d’évaluation publics des boosters bivalents n’ont été publiés que des mois après l’approbation des boosters.

Rappellons par exemple que ce même Bourla n’avait pas peur d’affirmer en avril 2021 que le vaccin de sa compagnie était efficace… à 100 %. On a vu ce qu’il en était réellement.

 

Après Pfizer, McKinsey est aussi dans l’eau chaude, en France cette fois-ci. En effet, le parquet national financier a annoncé ouvert trois enquêtes sur McKinsey. Certains esprits mal placés (des complotistes?) y voient un lien avec la gestion de la crise sanitaire par le cabinet de conseil. Ils accusent notamment le cabinet d’être à l’origine des suspensions des soignants non-vaccinés.

 

Conseils santé

Une nouvelle étude montre que les suppléments de zinc réduisent la COVID sévère chez près de 40 % des patients. 

On ne sait plus quoi faire de toutes ces publications revues par les pairs qui montrent les effets extrêmement bénéfiques de l’association de vitamine D et de zinc.

Nous vous rappelons le protocole que propose le Dr Ruelland pour renforcer votre système immunitaire :

  • 2 000 unités de vitamine D3  (au moins l’hiver);
  • 1 comprimé de 50 mg de zinc durant 3 mois;
  • 1 comprimé de 250 ou 500 mg de quercétine
  • 500 mg de vitamine C (1 000 mg en période infectieuse)

 

Si vous avez des symptomes d’une maladie respiratoire (grippe, COVID-19, VRs) , voici un article qui vous explique comment les distinguer.

 

(In)Efficacité des vaccins C19

De plus en plus d’articles et de lanceurs d’alerte montrent que les gens vaccinés meurent maintenant davantage de la COVID-19 que les non-vaccinés.

Libre Média a consacré deux articles à la question. Le 1er reprenait un article de Réinfo Covid Québec, qui grâce à la loi d’accès à l’information, a obtenu des données montrant que la plupart des gens qui décèdent de la COVID-19 sont vaccinés.

Le 2ème reprend une information révélée par le Washington Post, selon laquelle pour la première fois plus de vacinés décèdent que de non-vaccinés de la COVID-19.

« Nous ne pouvons plus dire qu’il s’agit d’une pandémie de personnes non vaccinées », a déclaré au Washington Post la vice-présidente de la Kaiser Family Foundation, Cynthia Cox, qui a mené l’analyse.

Pour sa part, le Dr John Campbell note « plus de décès Covid chez les vaccinés que chez les non vaccinés. Ce qui est confirmé par MedScape, qui remarque que « plus de personnes vaccinées meurent du COVID alors que moins de personnes reçoivent des rappels ».

Ainsi, les vaccinés décèdent davantage de la COVID-19 que les non-vaccinés (et en fait, si on en croit les données du Québec, cela a été le cas dès le début mais caché), ce qui a des conséquences sur la mortalité. Le Brownstone Institute constate ainsi que « les populations du monde entier perdent dramatiquement des années de vie ».

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Hausse de la mortalité

On constate actuellement une hausse inexpliquée de la mortalité partout dans le monde. Si celle-ci est particulièrement marquée dans les pays occidentaux (ceux qui ont le plus massivement vacciné et imposé de mesures sanitaires), le cas de l’Inde intrigue.

On constate en effet une augmentation de 300% de la mortalité toutes causes à l’été 2021 dans ce pays.

Une étude indienne réalisée dans 19 États, avec une population combinée de 1,27 milliard de personnes, observe qu’en 2020, il y a eu une légère augmentation de la mortalité toutes causes confondues d’août à octobre par rapport à 2019 (figure ci-dessous). L’augmentation la plus importante de la mortalité toutes causes confondues était évidente en avril et mai 2021, juste après les injections ARNm. Après mai 2021, les données disponibles suggèrent que les enregistrements de mortalité ont continué d’augmenter jusqu’en juin, puis ont commencé à diminuer par la suite.

Source; Leffler CT, et al. Preliminary Analysis of Excess Mortality in India During the COVID-19 Pandemic. The American Journal of Tropical Medicine and Hygiene. 2022;106(5):1507-1510. doi:10.4269/ajtmh.21-0864

Toujours en Inde, cette autre étude montre une augmentation de la mortalité non-due au Covid à l’été 2021

Jha P, et al. COVID mortality in India: National survey data and health facility deaths. Science. 2022 Feb 11;375(6581):667-671. doi: 10.1126/science.abm5154. Epub 2022 Jan 6. PMID: 34990216.

Joseph A Lewnard, et al. All-cause mortality during the COVID-19 pandemic in Chennai, India: an observational study. The Lancet. 22 dec 2021. DOI: https://doi.org/10.1016/S1473-3099(21)00746-5

 

Rappel

  • L’Inde a commencé l’administration des vaccins COVID-19 le 16 janvier 2021.
  • Au 1er août 2022, l’Inde a administré plus de 2,04 milliards de doses au total, y compris les première, deuxième et les doses de rappel (booster) des vaccins actuellement approuvés.
  • En Inde, 94 % de la population admissible (12+) a reçu au moins un vaccin, et 86 % de la population admissible (12+) est entièrement vaccinée. (Source : Wikipedia)

 

À ces données indiennes troublantes s’ajoute une étude réalisée par Github sur les cas de morts subites au Canada pour 2018-2022.

 Les données parlent d’elles-mêmes et il n’est pas nécessaire de commenter plus avant.

Tout cela fait douter des données des autorités et l’on peut légitimement se demander si le CDC (Centers for Disease Control) ment lorsqu’il indique sur sa page décrivant les événements indésirables signalés après la vaccination contre la COVID-19 au 28 nov 2022, que :

  • L’anaphylaxie après la vaccination contre la COVID-19 est rare.
  • La thrombose avec syndrome de thrombocytopénie (TTS) après la vaccination contre le COVID-19 de J&J/Janssen est rare.
  • Le syndrome de Guillain-Barré (SGB) chez les personnes qui ont reçu le vaccin J&J/Janssen COVID-19 est rare.
  • La myocardite et la péricardite après la vaccination contre la COVID-19 sont rares.
  • Les rapports de décès après la vaccination contre la COVID-19 sont rares.

Mais ces effets secondaires sont-ils si rares? On peut en douter quand on connait les taux de sous-déclaration, qui vont d’un taux de 1% à 10% d’évènements effectivement déclarés.

En outre, cette liste est publiée à la suite de déclarations mensongères comme « les vaccins sont surs et efficaces » (on a vu que c’était loin d’être le cas, cf. plus haut) et ne déclenchent de « sévères réactions que rarement » (le ministre de la Santé allemand reconnait un effet grave toutes les 5 000 doses). Comment alors s’y fier?

Il y a de quoi se montrer inquiet quand le CDC, en plus de désinformer, recommande dans le même temps de vacciner les enfants à partir de 6 mois.

 

Contamination COVID-19

Pratiquement tout le monde a eu le COVID-19, vacciné ou non.

Ainsi, une nouvelle étude menée par une équipe de chercheurs de l’Université Harvard et de l’Université de Yale estime que 94 % de la population américaine a été infectée par la COVID-19 au moins une fois, ne laissant qu’une personne sur 20 qui n’a jamais eu le virus.

On apprend aussi que 800 personnes sur un navire de croisière ont contracté la COVID-19. La plupart étaient pourtant probablement vaccinées, ce qui montre à nouveau que les vaccins n’empêchent ni la transmission ni la contamination.

Tout cela montre que lutter contre la transmission est une chimère et il est difficile de comprendre les 3 ans de folie de la politique chinoise « Zéro COVID », qui contraint des millions de chinois à rester enfermés chez eux. Malgré un contrôle ahurissant de la population (caméras à reconnaissance faciale partout, conversations écoutées, déplacements surveillés grâce aux cellulaires, etc.)… des émeutes commencent à éclater dans le pays.

Saluons le courage de ces personnes qui risquent leurs vies. Cela aurait pu être la même chose chez nous. Sans les « complotistes », qui ont eux mis en péril leur vie sociale (perte d’amis, plus le droit d’avoir des activités sociales comme aller au restaurant, faire du sport, etc.), où en serions-nous actuellement?

Alors que l’on voit de plus en plus d’appels à une « amnistie » et à une « réconciliation », les vaccinés devraient commencer par remercier les « complotistes » de ne pas avoir cédé. Sans eux, les vaccinés, qui ont accepté de renoncer à leurs droits et libertés aussi facilement, n’en auraient peut-être plus aujourd’hui.

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À propos de l'auteur Réinfo Covid Québec

QUESTIONNER - COMPRENDRE - AGIR Collectif de soignants, médecins et citoyens réunis autour d’une idée : le besoin d’une politique sanitaire juste et proportionnée au Québec et ailleurs dans le monde…

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