Meurtre de Lola – Léa Salamé : «Marion Maréchal, n’avez-vous pas honte ?»

Meurtre de Lola – Léa Salamé : «Marion Maréchal, n’avez-vous pas honte ?»

Machine à remonter le temps. Nous sommes le 26 octobre 2022 sur France Inter, la radio socialo-sioniste financée par tous les Français qui crache sur une majorité de Français (les socialo-sionistes sont ultra-minoritaires dans le pays). Léa Salamé-Glucksmann, nulle en interview mais placée partout par le réseau qui l’emploie, interroge comme une juge Marion Maréchal, cadre de Reconquête. Il ne manque plus que la chaise, les menottes, la lumière dans la gueule, et les instruments en fer.

Salamé  : Marion Maréchal, n’avez-vous pas honte ?

Maréchal  : Et vous, ne vous êtes-vous pas trompée de personne, ne devriez-vous pas poser cette question à Gérald Darmanin ? Parce que celui qui devrait avoir honte aujourd’hui, c’est le ministre de l’Intérieur, qui indirectement dans ce drame porte quand même une responsabilité, à savoir que le droit français n’a pas été correctement respecté, et que cette femme qui était illégalement sur le territoire français et frappée d’une obligation de quitter le territoire, se trouvait au moment du drame sur le territoire français en toute illégalité et donc a pu commettre l’acte atroce que nous connaissons.

Salamé  : Exploiter la mort de cette enfant avant qu’elle soit enterrée, avant qu’elle soit enterrée !, vous êtes mère de famille ?

Maréchal  : Vous avez fait une longue démonstration, donc je vais vous répondre. Et je suis d’autant plus choquée en ce qui concerne Gérald Darmanin, et je vais vous répondre juste après sur les accusations dont vous faites part, que non seulement il n’a pas honte, mais de surcroît il crache au visage de ceux, dont je fais partie, qui ont tenté de mettre la lumière sur cette affaire. Car s’il n’y avait pas eu des gens comme les membres de Reconquête et d’autres d’ailleurs pour mettre une pression sur le gouvernement, faire parler de ce sujet en dépit de l’injonction au silence, eh bien ça n’aurait été qu’une ligne de fait divers supplémentaire dans la presse locale ou la presse nationale.

Salamé  : C’était pas un fait divers, ça a ému toute la France.

Maréchal  : Et je vais vous le dire franchement, nous avons eu raison d’en parler, nous avons eu raison de faire ce rassemblement qui contrairement à ce que vous avez dit n’a pas du tout été condamné par la famille.

Salamé  : Si.

Maréchal  : Il n’y a eu aucune consigne de passée sur le fait qu’il ne devait pas y avoir de rassemblement, il y a eu 80 rassemblements, vous savez, partout en France et je ne crois pas qu’il y ait une quelconque indécence de la part de ces Français et de ces milliers de Français qui se sont rassemblés.

Salamé  : Donc vous n’entendez pas les parents. Les parents qui disent « je ne veux pas que le nom et l’image de ma fille soient utilisés », avant même qu’elle soit enterrée.

Maréchal  : Vous parlez d’un événement qui est arrivé après le rassemblement, donc ne racontez pas n’importe quoi, il y a eu 80 rassemblements…

Salamé  : J’ai dit le lendemain, je ne raconte pas n’importe quoi.

Maréchal  : … Qui ont eu lieu en France et en tant que citoyenne et en tant que mère de famille, merci de me le rappeler, j’ai deux petites filles et je n’ai pas envie que ce drame se reproduise, et donc il est de mon devoir non seulement de mère mais aussi de responsable politique de dénoncer ce drame et de demander des réponses et de pointer des responsabilités, et aussi, c’est vrai, parce que nous avions besoin, face à cette émotion et à cette colère, de nous rassembler en tant que citoyens, nous l’avons fait nous à Paris en toute dignité, pardon, et en toute discrétion comme des milliers de Français l’ont fait partout en France.

Salamé  : Avec les photos de Lola.

Maréchal  : C’est pas nous qui avons mis en place des pancartes avec les panneaux de Lola mais en l’occurrence, je comprends que des Français, dans cette émotion, aient pu avoir ce genre d’initiative, il n’y avait rien d’indécent à cela.

 

Dans la même veine que les interventions totalement idiotes ou décalées de Salamé, qui se trompe de criminelle et qui semble défendre la meurtrière, nous avons, sur la même station de service public confisquée par le pouvoir socialo-sioniste, la vieille Sophia Aram, humoriste de son état, mais qui n’a plus fait une chronique drôle depuis bien longtemps, si elle en a jamais fait. Comme beaucoup d’autres faux humoristes, le masque tombe assez vite, et on découvre à la première occasion une propagandiste haineuse.

À côté d’elle, Guillaume Meurice, qu’on charrie ici souvent pour son gauchisme infantile, est quand même drôle ! Ses interviews auto-commentées visent bien sûr toujours ces Français qui déplaisent à France inter, à sa directrice et à la patronne de Radio France, toutes du même réseau : il s’agit des ploucs, des réacs, des gens de droite, des bourgeois, des curés, des aristos, les salauds, quoi.

Sophia Aram a, elle, sauté à la gorge de Cyril Hanouna pour son émission à plus de 2 millions de téléspectateurs que toute l’équipe a fêtée comme il se doit (Yann Barthès doit se les bouffer, du moins ce qu’il en reste). Il est vrai que ce TPMP parlait du meurtre de Lola, mais pas que. Toute la bien-pensance – Aram n’est pas toute seule, un lynchage se fait en général en groupe – a sauté sur l’occasion pour dénoncer l’indécent, le salaud, le morbide. Mais pas pour dénoncer la meurtrière, exactement comme la Salamé-Glucksmann. Que voulez-vous, c’est inconscient, chez eux.

 

Aram n’a aucun humour, elle n’a que de la haine, et probablement de la jalousie pour le succès d’Hanouna, qui n’est pas là pour faire de la décence, comme elle, mais de la part de marché. La télé n’en a rien à foutre de l’émotion, mais elle l’utilise. Aram est trop haineuse pour faire de la télé, elle déplaira au grand public. Hanouna, lui, comme le dit Morillot, est quasiment le seul à autoriser le débat, par exemple sur le covidisme. On a vu Perronne, Raoult et toute la bande des bons chez lui, ce qui est remarquable. Même au milieu de chroniqueurs un peu faibles ou limités (sauf Paloma), ça fait du bien.

Inversement, on peut dire que le problème, c’est que la seule fenêtre d’expression libre se trouve chez Hanouna, qui n’est pas indépendant d’un gros réseau de pouvoir, on l’a vu avec l’affaire Bigard-Dieudonné. Hanouna a le mérite d’organiser des débats contradictoires, mais on peut aussi voir ça comme de l’opposition contrôlée. Aram, évidemment, ne pense pas aussi loin, c’est bien pour ça qu’elle a un emploi à vie, malgré sa médiocrité foncière, sur la radio de service public.

Décidément, le duo Aram-Salamé incarne parfaitement ce service public de la désinformation, de la haine et de la bêtise.

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Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation

À propos de l'auteur Égalité et Réconciliation

« Association trans-courants gauche du travail et droite des valeurs, contre la gauche bobo-libertaire et la droite libérale. »Égalité et Réconciliation (E&R) est une association politique « trans-courants » créée en juin 2007 par Alain Soral. Son objectif est de rassembler les citoyens qui font de la Nation le cadre déterminant de l’action politique et de la politique sociale un fondement de la Fraternité, composante essentielle de l’unité nationale.Nous nous réclamons de « la gauche du travail et de la droite des valeurs » contre le système composé de la gauche bobo-libertaire et de la droite libérale.

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