J’ai malheureusement perdu un enfant de 6 ans, la maladie… Aujourd’hui encore, des années après, c’est toujours là. J’ai toujours pensé qu’il y avait «pire», les gosses aux mains de fumiers défendus par toujours les mêmes (comme par hasard. Et cet ordure de Lelandais qui vit mieux en prison que dehors et qui baise des déviantes de circonstance en parloir discret…). A la vue de ce reportage, je me dis qu’il y a aussi d’autres strates dans l’horreur, le chagrin. Quant aux cellules psychologiques, je n’aurai jamais accepté qu’un larmoyant ou un expliquant vienne me faire chier. On en arrive alors à notre société actuelle, des nounours, des bougies… J’ai assumé comme j’ai pu, comme les gens de cette vidéo. Chacun sa croix. Je n’ai accepté de parler de «çà», depuis des années, qu’avec les gens qui ont connu «çà». Je vais me taper un truc bien tassé, et «optimiser» comme on dit. Sinon, des envies de meurtre pour certains…
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