Revue de presse de la semaine du 6 juin

Revue de presse de la semaine du 6 juin

Réinfo Covid Québec a décidé de publier chaque semaine une revue de presse de la COVID-19. Elle rapporte différentes nouvelles peu ou pas traitées par les médias et permet donc de se forger une opinion différente de la crise sanitaire et démocratique que nous vivons.

Au programme :

  • L’efficacité à long terme des vaccins
  • Leurs effets indésirables
  • Le double jeu de l’élite
  • La vitamine D
  • L’interdiction de prendre l’avion et le train pour les non-vaccinés
  • Les suites de la variole du singe

 

Vaccins à ARNm : pas de preuve d’efficacité à long terme

Une nouvelle étude a tenté d’expliquer pourquoi les vaccins à ARNm voient leur efficacité s’évanouir si rapidement. Les auteurs notent qu’

Il n’y a aucune preuve que ces vaccins induisent la production de cellules plasmatiques à longue durée de vie (LLPC, celles-ci sont présentes dans les niches de la moelle osseuse et y sécrètent en permanence des anticorps protecteurs qui circulent dans le sang) dans une population naïve du virus du CoV-2 du SRAS.

Cet obstacle, de notre point de vue, est causé par la présence, chez presque tous les sujets, d’une mémoire cellulaire T et B à réaction croisée produite lors d’expositions passées aux coronavirus du rhume. En raison de cette interférence, il est difficile qu’une vaccination avec la protéine Spike seule, sans adjuvants capables de prolonger la phase tardive de la génération de la mémoire immunologique, puisse déterminer la production de LLPCs protecteurs.

Cela expliquerait la possibilité que des sujets précédemment et complètement vaccinés soient infectés, déjà 4 à 6 mois après la fin du cycle de vaccination.

Giannotta G, Giannotta N. mRNA COVID-19 Vaccines and Long-Lived Plasma Cells: A Complicated Relationship. Vaccines (Basel). 2021 Dec 20;9(12):1503. doi: 10.3390/vaccines9121503. PMID: 34960249; PMCID: PMC8703557.

 

Effets indésirables des vaccins anti-covid

Bonne nouvelle, un homme de la Colombie-Britannique est le premier Canadien à recevoir une indemnité pour blessure causée par le vaccin COVID-19. Espérons que toutes les victimes pourront être indemnisées.

Peut-être est-ce du au fait qu’il aurait, comme plus d’un millier de personnes en France, reçu un vaccin anti-Covid périmé et injecté par erreur?

 

Anticorps facilitants des vaccins

Le phénomène des anticorps facilitants (ADE) est-il responsable des cas et des décès observés dans les pays à taux de vaccination élevé?

Ici, au Québec, comme le montre le tableau de bord de Réinfo Covid, les personnes vaccinées avec 3 doses sont surreprésentés parmi les nouvelles hospitalisations :

Cette surreprésentation serait-elle due au phénomène ADE (Antibody-dependent Enhancement ou facilitation de l’infection par des anticorps)?

Nous y faisions déjà référence la semaine passée en citant cette étude qui montre une chute des anticorps neutralisants chez les vaccinés.

 

Hausse des problèmes cardiaques en lien avec la vaccination?

France-Soir met en évidence une forte hausse des problèmes cardiaques en Israël, pendant la campagne vaccinale anti-covid.

Y aurait-il un lien, la vaccination entrainerait-elle une hausse des problèmes cardiaques? La prestigieuse revue de cardiologie Circulation rapportait en décembre 2021 une étude (censurée par Facebook) qui montrait une hausse de 11% à 25% des risques de crise cardiaque dans les 10 semaines suivant la vaccination.

Les autorités sanitaires affirment que la COVID-19 cause beaucoup plus de maladies cardiaques. Pourtant de nombreuses études montrent le contraire. On peut consulter plusieurs de celles-ci ici.

Alors, qu’est-ce qui cause le plus de maladies cardiaques : la COVID-19 ou les vaccins ?
Il y a d’autres éléments de réponse :

  • Les mortalités cardio-vasculaires des injections géniques anti-covid chez les joueurs de soccer sont bien réelles; il n’y a qu’un chance sur 400 milliards de se tromper (voir la démonstration magistrale du physicien Jean-Christophe De Mestral au CSI du 2 juin 2022)

 

 

Bref, les choses semblent de plus en plus clair.

 

Syndrome inflammatoire multisystémique de l’enfant

Dans le même temps, des études montrent que les vaccins anti-CVOCID-19 NE PROTÈGENT PAS les jeunes et les ados contre les PIMS (SIME en français pour Syndrome inflammatoire multisystémique de l’enfant).

Dans son rapport sur la Vaccination contre la COVID-19 chez les jeunes âgés de 5 à 11 ans au Québec, l’INSPQ explique que le « SIME est l’une des complications rares, mais graves de la COVID-19 chez les jeunes de moins de 18 ans. Ce syndrome fébrile se manifeste cliniquement par une fièvre persistante, une élévation des marqueurs d’inflammation et un dysfonctionnement de multiples organes. » L’Institut note cependant que sa « surveillance n’indiquait pas d’augmentation notable du nombre de cas de SIME, liés ou non à la COVID-19, entre le début de la pandémie et le 31 décembre 2020.

Rappelons que l’INSPQ avait donné son aval à la vaccination des enfants alors qu’il remarquait pourtant lui-même que seulement 18 enfants avaient été hospitalisés pour la COVID-19 jusque-là, et qu’aucun d’entre eux n’était décédé… tandis qu’il reconnaissait qu’il ne disposait « pas non plus de données concernant la capacité du vaccin à réduire la gravité de la maladie, à prévenir le SIME et la COVID longue. »

Bref, l’INSPQ avouait autoriser un produit pour une maladie qui ne touchait quasiment pas les enfants et dont l’efficacité était inconnue…

Maintenant, les deux études suivantes remettent en cause l’efficacité des vaccins contre le SIME :

Dans cette dernière étude, les auteurs concluent que « leurs recherches montrent que la vaccination anti-COVID-19 ne protège pas complètement les adolescents contre le Syndrome inflammatoire multisystémique. »

La position des autorités qui avançaient que les avantages de la vaccination sur les enfants l’emportaient sur les risques devient de plus en plus bancale…

 

Autre effet secondaire des vaccins : l’encéphalopathie nécrosante

Cette étude québécoise (on retrouve des chercheurs de l’Université Laval et de l’INSPQ) constate de rares cas d’encéphalopathie nécrosante aiguë après l’administration du vaccin COVID-19. C’est un trouble neurologique rare. Donc cette apparition est troublante.

Mais aucune inquiétude : l’étude montre qu’un traitement à haute dose de corticoïdes permet d’avoir un résultat favorable!

 

Le double jeu de l’élite

Nous en parlions déjà la semaine dernière, il apparait que des sportifs, artistes et hommes d’affaires (étonnamment il n’est pas question de politiques) ont utilisé des faux passeports vaccinaux. Le scandale a éclaté en Enspage et l’on en apprend davantage.

Ainsi, José María Fernández Sousa-Faro, président de PharmaMar, l’une des principales sociétés pharmaceutiques espagnoles, apparaît dans l’enquête sur les faux vaccins contre la COVID-19 menée par la police nationale, selon CASO ABIERTO, la chaîne d’enquête de Prensa Ibérica, un grand groupe de presse espagnol.

Ce scandale fait suite à celui des « restaurants illégaux » qui accueillaient en plein confinement des vedettes mais aussi et surtout des experts de plateau, journalistes et politiciens… le tout sans aucune mesure de protection (masque, distanciation). Et parfois dans les restaurants des médias eux-mêmes, ou les journalistes et experts de plateaux venaient de rappeler les consignes à respecter… mais qu’ils ne respectaient pas eux-mêmes.

Mais ce n’est pas tout : non-seulement on « découvre » que l’élite a donc massivement refusé la vaccination et n’a pas respecté les règles sanitaires, mais on apprend dans le même temps qu’Emmanuel Macron est en fait… pour les traitements!

S’il a tout fait contre (interdit l’ivermectine et l »hydroxychloroquine et mis sur pied le premier le passeport vaccinal, ce qui a lancé sa mise en oeuvre dans le monde entier)… C’est à cause du « système ». Le président français victime du système, heureusement que ce n’est pas un « complotiste » qui le dit!
Vu ce que l’on apprend, il n’est pas interdit de penser que politiciens et vedettes aient reçu des traitements tandis qu’ils faisaient vacciner le reste de la population à qui l’on interdisait ces mêmes traitements. L’avenir le dira peut-être.

 

Efficacité de la vitamine D à dose élevée sur la mortalité COVID-19

Un essai contrôlé randomisé (ECR), publiée dans Plos Medicine le 31 mai 2022, observe que l’administration précoce (dans les 72h) d’une unique forte dose de vitamine D3 (400 000 UI) par rapport à la dose standard (50 000 UI) à des patients âgés à risque atteints de COVID-19 diminue la mortalité globale au jour 14.

L’effet n’a plus été observé après 28 jours. Sans doute qu’une prise régulière aurait des effets bénéfiques à plus long terme. Cette dose élevée de cholécalciférol n’a pas entraîné d’effets indésirables plus fréquents que la dose standard.

Cette étude vient s’ajouter à de nombreuses autres qui montrent une efficacité de la vitamine D, comme celle réalisée par le Centre Hospitalier Universitaire d’Angers (France) qui montre une efficacité de la vitamine D dès les premiers symptômes de la COVID-19.

Cela vient après que les autorités françaises aient été à deux doigts en janvier 2022 d’interdire la vitamine D, qui songeaient à la classer comme perturbateur endocrinien. Les mêmes médias qui citent aujourd’hui l’étude réalisée à Angers rapportaient à l’époque les résultats d’une « étude canadienne » qui montrait que la vitamine D avait un effet négatif!

 

Pourtant, on connaissait ses bienfaits dès le début de la pandémie. Ainsi, en mai 2020, l’Académie de médecine (France) la recommandait déjà.

 

Ces « atermoiements » concernant la vitamine D sont révélateurs de la façon dont médias et autorités ont traité la crise sanitaire. C’est la même chose pour les masques, les confinements, les traitements, etc. Les exemples sont tellement légion qu’un livre ne suffirait pas à rencenser toutes les erreurs, manipulations et mensonges qui ont égrené les 2 dernières années.

 

Les masques : plus de mal que de bien

Selon une étude publiée dans Medicine le 18 février 2022, les masques sont responsables d’un plus grand nombre de décès de la COVID-19. Cela serait du à l’effet Foegen, un mécanisme par lequel les masques faciaux contribuent au taux de létalité des cas de COVID-19.

D’après les auteurs, « la réinhalation profonde de gouttelettes hypercondensées ou de virions purs capturés dans les masques faciaux car les gouttelettes [peut] aggraver le pronostic et pourrait être liée aux effets à long terme ». Ils en concluent que « les résultats de cette étude suggèrent fortement que le port du masque a en fait causé environ 1,5 fois le nombre de décès ou ∼50% de décès supplémentaires« 

Pour un résumé voir France Soir.

Encore une fois, ces données sont connues depuis quasiment les débuts de la crise. Le Dr. Arruda, alors Directeur de la Santé publique, nous avait bien expliqué que les masques étaient « inutiles » voire « dangereux ». En janvier 2022, on recensait au moins 167 et études et articles scientifiques qui montraient que les masques sont inefficaces et même néfastes.

 

Violations sans précédent de la Charte des droits des citoyens canadiens

(voir la vidéo du CCCA)

Le 6 octobre 2021, le Premier ministre canadien Justin Trudeau et la vice-Première ministre Chrystia Freeland ont annoncé des violations sans précédent de la Charte des droits des citoyens canadiens. Depuis, les personnes non-vaccinées n’ont plus le droit de prendre l’avion ou le train et cette interdiction vient d’être renouvelée. Cela concerne 3,4 millions de personnes.

Ces mesures ne dérangent pas les médias outre-mesure. Ainsi, Le Devoir, qui rapporte la nouvelle, ne trouve pas grand chose à redire, indiquant tout simplement que le gouvernement veut se montrer prudent : « On veut éviter de signaler à la population que la pandémie est finie. Là, ça risquerait d’influer sur le comportement des gens ».

La motion de l’opposition, présentée par la députée de Thornhill, Melissa Lantsman, demandait à la Chambre de revenir sur les mesures qui empêchent les Canadiens non vaccinés de voyager en train ou en avion dans leur propre pays. La motion a été rejetée par les libéraux, le NPD, le Bloc et les Verts.

Cependant, les arguments du gouvernement fédéral ne résistent pas à l’analyse, comme le montre cette vidéo de 2 minutes que nous vous invitons à regarder et partager : https://rumble.com/embed/vlpuq1/?pub=4
Ainsi, la Dr. Patricia Daly, vice-présidente de la Santé publique de Vancouver, déclare que les passeports vaccinaux n’ont pas pour but d’empêcher la transmission dans certains lieux comme les restaurants et les cinémas car ils sont à « haut risque ». En effet, d’après elle, « on ne voit actuellement aucune transmission de la COVID dans ces lieux. C’est vraiment pour créer un incitatif pour améliorer notre couverture vaccinale. »
Rappelons que dès juillet de l’an passé, la directrice des CDC (les centres de contrôle des maladies, USA), Rochelle Walensky, reconnaissait que les vaccins « ne peuvent plus prévenir la transmission ».
Ces deux déclarations contredisent totalement les discours des autorités fédérales qui doivent retirer l’obligation vaccinale dans les transports, comme c’est le cas quasiment partout ailleurs dans le monde.
En Angleterre, cela fait un an qu’il n’y a plus aucune mesure… et ils ne s’en portent pas plus mal.
Le fait que le Canada et la Hollande sont actuellement partenaires avec le World Economic Forum (WEF) dans le cadre du Projet pilote « Known Traveller Digital Identity » expliquerait-il cette obstination? Y-aurait-il un lien entre le maintien de l’obligation de présenter une preuve d’identification numérique (le passeport vaccinal) et ce projet pilote ?

La variole du singe : un écran de fumée pour le contrôle de la santé mondiale ?

Intéressant article du journal The Defender qui s’interroge à savoir si le moment de l’épidémie de variole du singe est idéal du point de vue de l’Organisation mondiale de la santé, qui exploitera la peur médiatique pour justifier son soutien à une gouvernance mondiale et centralisée de la santé

  • Les définitions de cas de l’OMS sont parfaitement configurées pour masquer la suppression immunitaire qui reflète la blessure par le vaccin COVID-19, comme la prévalence croissante du zona après l’injection de COVID-19.
  • Les images utilisées par les médias mondiaux ne sont pas représentatives des cas internationaux actuels de variole du singe et ont été enregistrées de manière incorrecte par les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC). Il s’agit d’images obtenues dans la banque de photos Getty Images.
  • Les vaccins antivarioliques de nouvelle génération sont presque prêts à être déployés à l’échelle mondiale et seront probablement justifiés comme nécessaires par les autorités sanitaires, malgré l’absence de preuves de leur innocuité, sans parler des interactions avec les « vaccins génétiques. »
  • Les agences internationales ont déjà réalisé une simulation de la variole du singe (avec les premiers cas qui devaient apparaitre vers le 15 mai, exactement au même moment que dans la réalité) qui s’inspire largement de la crise de la COVID-19 et du livre récemment publié par Bill Gates, « How to Prevent the Next Pandemic« . (Bill gates a émis « l’hypothèse » en novembre 2021 que la prochaine pandémie pourrait être due à « des terroristes [qui ameneraient de la variole dans 10 aéroports »)
  • Que la variole du singe prenne de l’ampleur ou qu’elle s’essouffle, le moment est idéal pour justifier un soutien accru à la gouvernance mondiale et centralisée de la santé orchestrée par l’OMS par le biais du Règlement sanitaire international et du « traité sur les pandémies » de l’OMS.

La définition actuelle de cas suspect de variole du singe de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) est suffisamment large pour inclure toute personne atteinte de COVID-19 ou d’un rhume ordinaire, qui présente également une éruption de zona.

La résultante est que les autorités commencent déjà à vacciner

 

L’OMS et les statistiques

Parlant de l’OMS, l’organisation reconnaît officiellement que ses gros chiffres sur la mortalité Covid étaient faux.

« En effet, en mai dernier, l’Organisation Mondiale de la Santé avait publié de nouveaux chiffres estimant que près de 15 millions de personnes avaient été tuées par le virus lors de la pandémie à Coronavirus.

Plus de trois semaines plus tard, un article de la revue scientifique Nature révèle que l’organisation reconnaît s’être trompée sur plusieurs pays, dont l’Allemagne et l’Inde. Concernant l’Allemagne, par exemple, l’OMS estimait le nombre de morts dans ce pays à 233 sur 100 000 habitants, soit plus que la France qui, d’après l’OMS, n’a enregistré que 125 décès sur 100 000 habitants. Des chiffres totalement faux qui ont immédiatement été contestés par les scientifiques de l’organisation. »

 

 

L’article Revue de presse de la semaine du 6 juin est apparu en premier sur Réinfo Covid Québec.

Source : Lire l'article complet par Réinfo Covid Québec

Source: Lire l'article complet de Réinfo Covid Québec

À propos de l'auteur Réinfo Covid Québec

QUESTIONNER - COMPRENDRE - AGIR Collectif de soignants, médecins et citoyens réunis autour d’une idée : le besoin d’une politique sanitaire juste et proportionnée au Québec et ailleurs dans le monde…

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Recommended For You