Pourquoi un tel déni des effets graves des vax anticovid chez les femmes enceintes ?

Pourquoi un tel déni des effets graves des vax anticovid chez les femmes enceintes ?

Business is business ? Volonté de réduire un peu l’Humanité ? Si ce n’est pas le but, en tous cas cela risque d’en être le résultat !

Et ce déni est aggravé par une publicité mensongère à large échelle et en particulier sur France info qui prétend qu’il n’y aurait aucun risque alors qu’aucun essai clinique randomisé de vaccins anti-Covid 19 sur cette population n’est terminé ! Qui va dénoncer cette publicité mensongère devant le CSA (bien que les plaintes soient le plus souvent jetées à la poubelle, mais il faut essayer tout de même) ?

On connaît depuis longtemps le danger des vaccins en général et particulièrement des pseudo vax covid pour les femmes enceintes : le VAERS l’avait objectivé très tôt. Nous publiions fin 21 dans le livre « Les enfants sacrifiés du covid » ces quelques mots à ce sujet :

« MORTS FŒTALES

Dans le Vaccine Adverse Events Registration System (VAERS) « ll y a eu 1 614 décès fœtaux enregistrés chez des femmes enceintes qui ont reçu une injection contre le Covid-19 ». Injectée et servant de cobaye non déclaré puis qu’aucune femme enceinte n’avait participé au moindre essai clinique officiel de vaccin anti-Covid 19.

Une recherche dans la base de données VAERS montre qu’il n’y a eu aucun décès fœtal chez les femmes enceintes recevant un vaccin antigrippal en 2021, et 16 décès fœtaux chez les femmes enceintes recevant un vaccin antigrippal en 2020.

Les pseudo vaccins anti-Covid représentent donc un risque de mort fœtale cent fois plus élevé que le vaccin contre la grippe. Pourquoi les autorités continuent-elles de recommander aux femmes enceintes de se faire vacciner contre le Covid-19 ?

Mort-nés et décès précoces de nourrissons[1]

2 620 bébés morts après les vaccins anticovid enregistrés dans le VAERS

Au 12 novembre 2021 : 2 015 décès de bébés après BioNTech/Pfizer et 689 après Moderna. Johnson & Johnson : 100 décès. Jusqu’à 91 % de fausses couches si le vaccin est administré avant la 20e semaine.

Les pompes funèbres britanniques signalent dix fois plus de décès de bébés.[2]

Au cours des 11 derniers mois, il y a donc eu plus de décès de bébés après vaccination contre le COVID-19 que les 2 225 cas totaux survenus en plus de 30 ans, tous vaccins confondus.

En octobre 2021, le New England Journal of Medicine a reconnu que l’étude initiale sur la base de laquelle les autorités sanitaires américaines CDC et la FDA ont recommandé les vaccins aux femmes enceintes était erronée.

Entre-temps, des chercheurs néo-zélandais ont mené une nouvelle étude et sont parvenus à la conclusion que les fausses couches étaient 7 à 8 fois plus fréquentes que ne le montraient les résultats initiaux.

Et pourtant, les CDC et la FDA continuent de recommander la vaccination aux femmes enceintes, bien qu’une analyse correcte des données initiales montre que 82 % à 91 % des femmes enceintes vaccinées dans les 20 premières semaines de leur grossesse subissent des fausses couches. »[3]

Et malheureusement la série noire continue…

Dans le fort intéressant article de Laurent Aventin dans le courrier des stratèges[4], de nombreuses informations nous inquiètent :

« En Occident, le taux « naturel » de fausses couches toutes choses égales par ailleurs, est environ de 10 à 13 % des grossesses, ce qui est déjà très élevé. Au cours d’une émission américaine The Ben Armstrong Show, Malcom Roberts du Queensland en Australie fait remonter les statistiques d’une clinique gynécologique où le taux de fausse couche a atteint 50 % chez les femmes enceintes vaccinées et jusqu’à 75 % chez celles qui ont été vaccinées au cours du 1er trimestre de la grossesse. »

Malgré l’absence de réaction de prudence de l’ANSM fin mars 2022[5], il est capital d’informer la population et singulièrement d’alerter les femmes enceintes.

Le Dr Peterson Pierre a présenté des statistiques montrant que le taux de mortalité fœtale après vaccin administré aux États-Unis avait en fait massivement augmenté (d’environ 2000 %) depuis la mise à disposition des vaccins COVID. (…)

Selon la section 10.4.2 du protocole d’essai de Pfizer BioNTech, les femmes enceintes ou susceptibles de devenir enceintes ne doivent pas prendre les injections d’ARNm. La section 10.4.1 avertit également les hommes prenant les injections d’ARNm de “s’abstenir de rapports hétérosexuels” et de ne pas donner de sperme.

Jusqu’à avril 2022, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont enregistré 550 millions d’injections de COVID administrées depuis la campagne de vaccination Covid (fin 2020), avec 3 725 morts fœtales déclarées, un décès fœtal pour 147 651 injections.

Il indique qu’il y a eu quatre milliards d’injections vaccinales administrées (autre que Covid) de 2006 à 2019, avec 1 368 décès fœtaux, soit un décès fœtal pour 3 millions d’injections.

Depuis que les injections de Covid sont disponibles, il y a eu une augmentation de 1 925 % des décès fœtaux ».

Déni collectif, mais la justice a imposé à Pfizer de rendre publics les documents classés secrets jusque là et les révélations tombent et changent les choses.

Un document de Pfizer  Wayback Machine (archive.org) exigé de la Federal Drug Administration (FDA) en 2021 dans le cadre du Freedom of Information Act (FOIA) montre des résultats inquiétants pour les femmes enceintes au cours de l’essai clinique de Pfizer (dans le cadre du Biological License Application, procédure permettant de valider la mise sur le marché du vaccin).

À la page 12 de ce document (Wayback Machine—archive.org) apparaissent les événements indésirables signalés chez les femmes enceintes ou allaitantes qui ont reçu l’injection sur la période du 1er décembre 2020 au 28 février 2021 dans différents pays à partir de sources diverses internes à Pfizer et d’autres sources extérieures :

23 des 32 grossesses au cours desquelles les parturientes ont reçu un vaccin Pfizer contre Covid se sont terminées par des avortements spontanés.

Le Dr Peterson Pierre rapporte une multiplication par plus de 50 du nombre de grossesses extra-utérines qui entraînent également la mort du fœtus.

« Pfizer est d’ailleurs parfaitement conscient des risques tout en dénigrant les principes de précaution qu’il a lui-même établis. »

Les femmes enceintes et allaitantes ayant été exclues de l’essai clinique transmis à la FDA pour obtenir l’autorisation de mise sur le marché, le vaccin n’a donc jamais été testé sur elles en amont de la campagne de vaccination. Les études viennent tout juste de commencer : les résultats ne seront pas connus avant août 2022 (Pfizer), 2024 (Moderna) et fin 2025 pour l’étude C-VIPER.[6]

Olivier Véran a pourtant expliqué, le 26 août 2021, qu’aucune agence sanitaire ne peut autoriser l’inoculation d’un produit en l’absence de données cliniques validées. Or il n’y en a pour l’instant aucune.

Le risque d’effets nocifs sur l’embryon ou le fœtus est clairement mentionné dans le Plan de gestion des risques du vaccin Comirnaty® Pfizer [35, p. 110] qui mentionne l’existence de cinq essais en cours visant à évaluer ses risques (le premier se terminera le 30 avril 2023) [35, p. 133, 146, 155].

Une étude parue en novembre 2021[7] met aussi en garde contre l’impact potentiel de la vaccination maternelle contre la COVID-19 sur le développement fœtal et néonatal :

  « Nous n’avons actuellement aucune donnée pour évaluer les résultats de la vaccination maternelle contre le COVID-19 sur la santé de la progéniture, et cela peut prendre des années à générer.»

Le Plan de management des risques du vaccin Pfizer est d’ailleurs formel :

« L’administration du vaccin ARNm COVID-19 pendant la grossesse ne doit être envisagée que lorsque les avantages potentiels l’emportent sur les risques possibles pour la mère et le fœtus. » [35, p. 86]

Comment peut-on entendre sur France info la publicité lancinante pour inciter à la vaccination des femmes enceintes en avril 2022 ? Comment en est-on arrivé là ?

L’ANSM indique qu’aucun signal de sécurité n’existe à ce jour fin mars 2022, et identifie 6 événements indésirables à surveiller : événements thromboemboliques, contractions utérines douloureuses, morts in utero, HELLP syndrome, métrorragies, mastites [38, p. 9].

L’Agence affirme que les données de pharmacovigilance française n’ont pas « montré de conséquences des vaccins à ARN messager sur le déroulement de la grossesse », mais réalise en parallèle une étude (Covacpreg) visant à suivre le déroulement des grossesses des femmes vaccinées.

Enfin, des médecins de l’armée américaine[8] attirent l’attention sur une explosion des effets délétères au sein de l’Armée américaine depuis le déploiement des vaccins anticovid :

  • Fausses couches : + 279 % (x 3,79) ;
  • Malformations congénitales : + 155 % (x 2,55) ;
  • Infertilité féminine : + 471 % (x 5,71) ;
  • Dysfonctionnement ovarien : + 437 % (x 5,37).

(Les mêmes constatations sont faites pour l’explosion des cancers, des accidents vasculaires, etc.)

Ainsi plus les mois passent, plus les données scientifiques sont inquiétantes, faisant craindre une baisse de la natalité mondiale. But recherché de l’injection covid ou conséquence inattendue de l’absence d’essai incluant les femmes enceintes ?

PROTÉGEZ VOS BÉBÉS !

Dre Nicole Delépine

Notes :

[1] 2 620 bébés morts après une vaccination et des rapports d’effets secondaires terribles — La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org)

[2] https://www.wochenblick.at/2-620-tote-babys-nach-impfung-und-berichte-schrecklicher-nebenwirkungen/

[3] Les enfants sacrifiés du covid

[4] https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/04/19/les-vaccins-covid-accroissent-ils-la-disparition-des-enfants-a-naitre/

[5] Au 25 mars 2022, l’ANSM indique qu’« À ce jour, aucun signal n’a été identifié chez les femmes enceintes et allaitantes avec l’ensemble des vaccins contre le Covid-19 disponibles en France », la HAS recommande la vaccination pour les femmes enceintes de plus de 35 ans notamment et celles qui pourraient être en contact avec des personnes infectées. » COMMENT EST-CE POSSIBLE ?

[6] Olivier Véran, marionnette de McKinsey ? — Le Point Critique article très complet à lire impérativement

[7] Karrow NA. Maternal COVID-19 Vaccination and its potential impact on fetal and neonatal development. vaccines. 2021 Nov 18; 9(11):1351. DOI:10.3390/vaccines9111351.

[8] Des données de l’armée américaine remettent en cause le discours sur la sécurité des vaccins — ANTIDOTES (wordpress.com)
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Source : Lire l'article complet par Mondialisation.ca

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