« Si on me confie la crise demain, elle est gérée en deux mois » : le professeur Perronne se confie sur la pandémie

« Si on me confie la crise demain, elle est gérée en deux mois » : le professeur Perronne se confie sur la pandémie
Le professeur Christian Perronne, ancien chef de service des maladies infectieuses et tropicales à l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches dans les Hauts-de-Seine. (Photo : Christian Perronne Officiel/ Facebook)

Le professeur Christian Perronne, médecin spécialisé dans les pathologies tropicales et les maladies infectieuses, est revenu sur sa convocation du 16 décembre dernier par le Conseil de l’Ordre et s’est exprimé sur la crise sanitaire dans les colonnes du magazine Valeurs actuelles.

« Tout ce que je dis, depuis le début de la pandémie, est sourcé et documenté », a déclaré le professeur Perronne, soulignant que « malheureusement, en France, on n’a pas le droit de dire la vérité », raison pour laquelle le professeur a été convoqué et sanctionné par le Conseil de l’Ordre, ce dernier lui ayant demandé de ne plus s’exprimer en tant que médecin et professeur, mais comme simple citoyen et de ne plus s’adresser aux Français, mais seulement au gouvernement.

« Du terrorisme intellectuel, pas de la science »

Après son passage sur le plateau des Grandes Gueules le 30 août 2020, le CSA a publiquement demandé à toutes les télés de ne plus inviter le professeur Perronne. « Depuis, des journalistes n’osent plus m’inviter dans leur émission, par peur d’être renvoyés. La terreur règne dans de nombreuses rédactions à mon sujet. La dictature sanitaire est partout », explique-t-il.

Pour le professeur Perronne, le fait que l’ensemble de la communauté scientifique semble s’opposer à son discours est « du terrorisme intellectuel, pas de la science ». Pour preuve, il reçoit sans cesse des témoignages de médecins généralistes et de spécialistes « qui n’osent pas prendre la parole par crainte d’être radiés par le conseil de l’Ordre ». Il précise : « Malgré toutes ces accusations disqualifiantes, je n’ai jamais eu une seule plainte d’un patient contre moi. »

Le médecin a le sentiment d’être « adoré par les Français » et ce qui lui importe, ce sont ses patients et « gérer les crises ». « Si on me confie la crise demain, elle est gérée en deux mois. Il suffit d’isoler les malades, de les traiter, comme on a pu le faire en Inde. En France, on interdit les traitements qui marchent », pointe-t-il encore.

« Le variant Omicron, c’est de la rigolade »

« Le variant Omicron, c’est de la rigolade. Le ministre de la Santé sud-africain lui-même expliquait qu’il ne fallait pas s’en inquiéter. D’ailleurs, si l’on observe les chiffres de ce pays, on s’aperçoit qu’il n’y a pas eu un seul mort de ce variant », car ce variant « perd de sa virulence avec le temps », poursuit le spécialiste des maladies infectieuses, qui estime que « l’immense majorité des Français est déjà immunisée à vie contre le coronavirus ».

Pour lui, vacciner des personnes ayant contracté le virus par le passé est donc un « non-sens scientifique » et il réclame que le gouvernement lui fournisse des explications sur ce point, via les données scientifiques. Il reproche d’ailleurs au gouvernement qu’il puisse « sortir du chapeau des mesures aussi terribles pour le peuple français, sans aucun support scientifique ».

« Des milliards de doses sont en stock et vont se périmer très prochainement »

Selon le professeur Perronne, si le gouvernement incite à l’administration d’une troisième dose de vaccin, c’est parce que « des milliards de doses sont en stock et vont se périmer très prochainement ». Il considère la vaccination comme « une nouvelle religion de bénéfice pour Big Pharma », il y aura d’ailleurs « une injection tous les six mois », ainsi que l’a expliqué le président de la République.

« Tout ça va se casser la figure à un moment donné, car tout est dans la démesure. […] Je pense que de plus en plus de Français, pas tous malheureusement, ouvrent les yeux. Ils n’ont pas retrouvé leur liberté malgré deux doses de vaccin, ils ne peuvent rien faire », relève-t-il.

« Il faut que les journalistes ouvrent les yeux et cessent de désinformer le peuple »

De surcroît, ce vaccin provoque des effets secondaires, mais nombre de ses confrères ne les déclarent pas à la pharmacovigilance, par peur du conseil de l’Ordre. « Même pas 10 % des effets secondaires du vaccin sont déclarés, cela me choque beaucoup », déplore-t-il, ajoutant : « J’ai neuf morts autour de moi suite à des vaccinations. »

Le médecin spécialisé dans les pathologies tropicales a également pointé du doigt la politique d’Emmanuel Macron, avec le camp pro et antivax. Il observe « des déchirures graves. D’autant plus lorsque des vaccinés tombent malades et pas les non-vaccinés ». « Nous vivons une crise terrible, toutes les libertés sont supprimées », a-t-il martelé, concluant : « Il faut que les journalistes ouvrent les yeux et cessent de désinformer le peuple. »

Source : epochtimes

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À propos de l'auteur Profession Gendarme

L'Association Professionnelle Gendarmerie (APG) a pour objet l’expression, l’information et la défense des droits et intérêts matériels et moraux des personnels militaires de la gendarmerie et de toutes les Forces de l'ordre.Éditeur : Ronald Guillaumont

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