par Karine Bechet-Golovko.
Hier, entre les fêtes de Noël et du Nouvel An, Macron et son Gouvernement n’ont pu se passer d’offrir leur cadeau au bon peuple français, vacciné, masqué et passé. Puisque le « tout-vaccinal » ne marche pas, il faut renforcer l’obligation vaccinale, autant que la pression sur la société et l’économie. Comme il est possible de faire encore pire pourquoi s’en priver ? La question qui m’intéresse vraiment aujourd’hui est de savoir jusqu’où il va pousser l’absurde totalitaire ? La réponse dépend uniquement de nous. De chacun d’entre nous.
Je n’entrerai pas dans les détails des nouvelles-anciennes mesures dites équilibrées à la situation sanitaire, comme si l’exigence d’un document spécial pour accéder à l’espace public pouvait être considéré comme quelque chose de mesuré.
N’oublions pas que le covid est un business extrêmement rentable pour certains (les autres n’ont manifestement aucune importance aujourd’hui, sauf dans leur état de consommateur dudit vaccin), donc puisque le vaccin est d’une efficacité à peine relative (omicron touchant principalement les vaccinés), il faut accélérer la vaccination. À la fois en transformant le pass sanitaire en pass vaccinal dans l’espace public – donc en exigeant et un vaccin et un test (la confiance dans le vaccin est fabuleuse), et en réduisant la période de vaccination à … 3 mois. Connaissez-vous un vaccin, je parle des véritables vaccins, de ceux qui ont été testés pendant des années avant d’être proposés au public, qui nécessite une revaccination plus fréquente que tous les ans ?
Que restera-t-il du système immunitaire et des hommes après cela ? Aussi peu que de l’économie nationale. Manifestement, cela n’a aucune importance. La « sécurité avant tout », mais la sécurité de qui ?
Et comme il faut renforcer la pression sur certains secteurs d’activité, des mesures totalement absurdes sont adoptées. Par exemple, les bars et les cafés ne pourront servir les clients … qu’assis. Ceci est une découverte fondamentale dans le combat contre le virus. Tout d’abord, nous avions appris que le virus aime danser, donc interdiction de danse jusqu’au 6 janvier (il ne danse que pendant les fêtes, il est finalement très bourgeois). Maintenant, nous apprenons que le virus vole à une certaine hauteur et quand vous êtes assis, vous restez en dessous de sa zone d’activité.
J’attends le moment, où l’on exigera des hommes qu’ils se déplacent à quatre pattes « pour leur sécurité ». Un peu comme dans la Fermes aux animaux, mais à l’envers.
Et vous, vous attendez quoi ?!
source : http://russiepolitics.blogspot.com
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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