Diane Leyre, Miss France 2022 : féministe, mais blanche, aussitôt attaquée par BFM TV

Diane Leyre, Miss France 2022 : féministe, mais blanche, aussitôt attaquée par BFM TV

On ne peut pas tout avoir. Après une période marquée par l’antiracisme et le sionisme dans l’attribution des couronnes et le trucage des votes, un peu à l’image du festival de Cannes qui ne prime plus que des navets, du moment qu’ils font la promo du LBGTisme ou du féminisme (oh, l’innommable dernière palme !), avec une louche de migrantisme et de connerisme, voici que le jury (on fait croire que ce sont les votes des Français qui décident, comme aux élections, LOL) a couronné une superbe poule à tronche française.

La beauté pure a quelque chose de la perfection mathématique dans la symétrie, mais avec de la sensualité qui, elle, n’est pas quantifiable. Après, on aime ou on n’aime pas. Mais si on est le mec d’une telle nana, on a intérêt à ne pas être jaloux. En même temps, on ne veut pas non plus d’une Lacombe ou d’une Bachelot histoire d’être tranquille question jalousie. Et encore, avec les « nouvelles » femmes, celles du post-féminisme, il y a toujours un risque partouzique.

Revenons à nos brebis : Diane, qui porte un nom divin, enfin, un prénom (si elle évite les poteaux), représentera la France pendant un an dans tous les raouts plus ou moins mondains, avec parfois des glissements dans des foires au saucisson ou au cochon, mais c’est le deal, on ne peut pas se pincer le nez, et puis, les traditions, on peut les prendre au second degré (et Diane en a), si on n’adhère pas. C’est toujours marrant de voir un jeune se faire encorner à Bayonne, ou un gros élu glisser dans une mare de harengs à Boulogne-sur-Mer.

On sort du poisson et on revient dans la Miss, qui est interviewée par une jalouse de BFM TV, qui essaye de se foutre de sa gueule, mais elle a perdu d’avance, vu son pedigree.

« On peut être miss et féministe ? »

On apprend que Diane est « promoteur immobilier et féministe », de la bouche de la fausse blonde d’où sort une voix horripilante. On savait pas que féministe était un job, quoique, avec la Caroline (de Haas), on a découvert qu’on pouvait gagner sa vie – pas honnêtement, attention, mais grâce aux subventions de l’État – avec le féminisme, c’est-à-dire la dénonciation et la dévalorisation permanente des hommes – y compris les mecs bien – et la survalorisation permanente des femmes – connasses comprises.

« Et c’est ringard du coup de critiquer Miss France, ça s’est renversé ? » demande le collègue de la fausse blonde, qui enfonce le clou : « Même la ministre, Élisabeth Moreno, a qualifié le règlement d’has been ». Ben oui, elle veut y inclure les trans, autant tuer le game. Pourvu que Bilal Hassani ne se présente pas…

Ce que ces trois ânes veulent dire, c’est que la bien-pensance, dont BFM est imprégné, ne peut pas supporter la moindre tradition, et que tout est bon pour dynamiter ce qui reste de France dans la France. BFM, on le sait, est une chaîne mondialiste, c’est-à-dire à idéologie libérale-libertaire ou, pour reprendre la théorie soralienne, de droite du travail et de gauche des valeurs, soit l’esclavage et le porno, pour être directs. Alors tout ce qui sort de ce cadre est considéré comme ringard ou dangereux. Le concours Miss France est ringard, car il célèbre la beauté des Françaises, et le site E&R est dangereux, car il célèbre le génie français.

Diane n’aurait pas dû répondre aux deux chiens de garde de BFM, mais c’est l’envers de la médaille, ou de la couronne. On peut aussi penser, en allant plus loin dans l’inconscient collectif, que l’élection d’une Miss France a quelque chose de la nostalgie d’une France royale, ce que les mondialistes au pouvoir dans notre système médiatico-politique veulent à tout prix effacer. Car quand on pense reine, on pense roi, on pense unité, on pense patrie, on pense souveraineté, on pense Dieu, foi, fierté, valeurs…

Voilà ce qui arrive quand on tire sur la robe de Miss France. La politique est partout, la révolution aussi.

Adblock test (Why?)

Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation

À propos de l'auteur Égalité et Réconciliation

« Association trans-courants gauche du travail et droite des valeurs, contre la gauche bobo-libertaire et la droite libérale. »Égalité et Réconciliation (E&R) est une association politique « trans-courants » créée en juin 2007 par Alain Soral. Son objectif est de rassembler les citoyens qui font de la Nation le cadre déterminant de l’action politique et de la politique sociale un fondement de la Fraternité, composante essentielle de l’unité nationale.Nous nous réclamons de « la gauche du travail et de la droite des valeurs » contre le système composé de la gauche bobo-libertaire et de la droite libérale.

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Recommended For You