L’Effet Boomerang et le rappel des faits + Témoignage du Dr Olivier Soulier

L’Effet Boomerang et le rappel des faits + Témoignage du Dr  Olivier Soulier

Par Henri Inoudjal le 17 novembre 2021

Passionné des liens entre santé, hygiène de vie et vécu émotionnel, Henri Inoudjal est le créateur de l’Immuno-relaxologie. Cette approche représente un ensemble de trois techniques, à savoir la relaxation instrumentale, le Life yoga et la bio-relaxation, dont l’objectif est la défense de son capital santé et le choix de son destin.
www.immuno-relaxologie.org

Henri Inoudjal

Le 17 Novembre 2021

L’Effet Boomerang

et le

Rappel des Faits

Remettre les pendules à l’heure paraît une nécessité, en cette période trouble de notre Histoire, eu égard aux conséquences catastrophiques des décisions prises par les plus hautes instances de ce que nous appellerons, désormais, Feu notre république et notre démocratie.

En réalité, ces concepts étaient la vitrine d’un fonctionnement social invisible mais, terriblement opérationnel, et contraire à l’intérêt du peuple français.

Nous dirons, qu’en lieu et place de cet intérêt, l’état profond, le marionnettiste, orientait la société en dictant sa loi, par le biais de ses milliardaires, les seuls à pouvoir, en pratique, modifier le système social à leur avantage. Nous soutiendrons cette idée en rappelant les faits chronologiques relatifs à cette escroquerie monumentale associée à une manipulation mentale, sans précédent, de la Covid19.

D’emblée, nous dirons qu’une telle réalité, imposée au plan mondial, ne peut être que l’œuvre d’une bande organisée, richissime, qui contrôle les principaux leviers de cet objectif à savoir les médias, les institutions internationales ad hoc du type OMS, les organismes de recherche et de fabrication des vaccins, le pouvoir institutionnel des états les plus utiles ainsi que de l’Europe.

D’aucuns appellent cette entité invisible l’état profond ou la toile d’araignée dont chaque fil a été tissé, avec soin, de telle manière que les peuples de la terre soient emprisonnés dans un schéma de perception du réel particulier et acceptent un conditionnement de leur psychisme, une altération de leur libre-arbitre, une séparation d’avec la réalité de l’Être, une soumission passive, une tendance à rejeter l’Autre dans ses différentes dimensions, ethniques, sociales, culturelles, cultuelles.., afin de provoquer un univers permanent de division et de conflits, soit le terreau sur lequel famine, guerre, pauvreté, maladies, lutte pour les ressources peuvent fleurir à merveille.

Cette introduction avait pour objet d’indiquer, grossièrement, les fondements sociaux sur lesquels se sont appuyés la bande organisée afin d’asseoir leur projet démoniaque. Hé oui, un crime contre l’humanité de cette ampleur est difficilement conciliable avec les valeurs humaines traditionnelles.

«Pleurer» au Mont Valérien est louable. Encore faut-il ne pas mettre son pays dans un état tel qu’il faille, de nouveau, le libérer. Les larmes, alors, s’apparentent à des larmes de crocodiles et, justement, ne valaient rien.

L’A.T.I.H, l’agence technique de l’information sur l’hospitalisation, révèle, ces derniers jours, que les hospitalisations relatives à la Covid19, en 2020 et en pourcentage, s’élèvent à 2% de toutes les hospitalisations. S’agissant des soins critiques, ce pourcentage augmente pour atteindre 5%. Que dire? A.T.I.H pourrait signifier, atterrés nous sommes. Tristes, en cet instant, est notre émotion. Invraisemblable était donc cette «pandémie». Horribles sont les conséquences de ces mensonges, trahisons, manipulations et, en définitive, et de manière incontestable, nous sommes en présence d’un génocide programmé, par des Initiés. Les autres participent à un crime contre l’humanité et leur inaction, dans le sens d’une absence de dénonciation, est non assistance à personnes en danger et cette participation les conduit à devenir des traîtres pour la Nation.

Commençons par le début. Le 13 janvier 2020, Dame Buzyn, afin de rendre le propos moins dramatique, dans un élan de générosité qui laissent pantois les bénévoles des restos du cœur, décide de mettre dans la catégorie des substances vénéneuses, une molécule vendue, jusqu’à présent, sans ordonnance et depuis des décennies. Je veux parler de la chloroquine et de son dérivé l’hydroxychloroquine.

Dame Buzyn, annonce, dans le même temps, que la Chine est un territoire lointain et que la probabilité de voir l’épidémie chinoise atteindre notre Chère France est faible. Il est vrai, que pour aboutir à un tel résultat, encore aurait-il fallu fermer les frontières avec ce pays.

Dame Buzyn et son équipe, dont celui qui deviendra un expert en comptabilité

mortuaire, ne se sont pas, en toute logique, intéressés à l’état du stock des masques et autres matériels protecteurs.

Son mari, qui a participé à l’élaboration du laboratoire de haute sécurité biologique de Wuhan, deviendra, pour un temps, conseiller extraordinaire auprès de Feu Monsieur le Président de la République. Hé oui, après un désastre pareil et des actions «inqualifiables», un tel homme ne peut plus prétendre à rien, excepté, sur le plan humain, à un emprisonnement à vie. La dimension spirituelle de l’existence peut, peut-être, lui venir en aide.

Voilà que les morts des personnes âgées et de celles présentant des comorbidités s’accumulent, dûment répertoriées, chaque soir, par un oiseau de mauvais augure.

Voilà que les médias s’accaparent du sujet et s’empressent de diffuser, à longueur de journée, un narratif angoissant et orienté conduisant la population à vivre dans la peur et à la sidérer, de telle manière qu’elle ne puisse plus réfléchir et se réfugie dans des mécanismes archaïques de comportements à savoir se soumette, corps et âme, à l’État protecteur.

Voilà que les déclarations les plus folles commencent à émerger et à induire un état psychologique proche de celui d’une troisième guerre mondiale. Nous sommes en guerre, dira 6 fois, Feu le Président de la République. Sûrement une guerre microbiologique, a-t-il omis de préciser.

Seul, un vaccin, dira-t-il, en substance, nous sortira de l’impasse, faisant fi du fait qu’un vaccin nécessite, au moins dix ans de recherches, afin d’être opérationnel. Comment pouvait-il savoir, que des vaccins verraient, malgré ce handicap temporel, le jour. Pourquoi, régulièrement, au cours du temps, cette préparation psychique à l’arrivée du vaccin salvateur. Ce qui n’est, manifestement, pas le cas. Les premiers pseudo-vaccins ont été injectés, en France, le 27 décembre 2020, soit 9 mois après la déclaration de guerre, prêts, emballés et présents en zone géographique. Réfléchissez!

Je vais dresser, à grands traits et de mémoire, les étapes les plus significatives de cette épreuve inqualifiable pour le peuple français et de cette manipulation mentale, orchestrée par des Initiés et soutenue par des complices, malgré eux ou non, épreuve associée à un enrichissement, sans précédent, de leurs amis, pendant que la population sombrait dans le désespoir, l’inquiétude, la perte des repères et la baisse des revenus.

Tout d’abord, l’absence de matériel de protection pour les soignants. Être en guerre, face à un ennemi viral inconnu, sans la protection minimale, généraliste, normalement nécessaire lors des épidémies est, tout simplement, suicidaire. Tant est si bien, que les soignants de première ligne, ont payé un lourd tribut, eu égard à cette invraisemblable «erreur» et impréparation.

Puis, les masques et les tests. Fallait-il dire que les masques étaient inutiles, en population générale, pour ensuite, les affubler d’un tel accoutrement, de longs mois durant, même sur la plage et, en conséquence, en extérieur, accoutrement faussement protecteur, en raison des modalités d’utilisation par la population.

Par ailleurs, interdire l’accès aux parcs des villes, sources de régénération, en période de confinement, aux personnes ne disposant pas de jardin privé, était-il, sur le plan de la santé, indiqué.

S’agissant des tests, fallait-il tester autant avec un instrument de mesure dont le cycle d’amplification était si élevé que le résultat positif fut, quasiment, la seule issue possible.

Fallait-il tester les personnes de moins de 60 ans, sans comorbidités, encombrer les laboratoires d’analyses médicales, appauvrir la sécurité sociale en connaissant pertinemment la cible privilégiée de ce coronavirus. Ne fallait-il pas, raison garder, devant l’évidence et de manière générale, à savoir que ce virus n’était mortel que pour une catégorie de personnes dont l’espérance de vie était quasi nulle.

Applaudir les soignants, les obliger de travailler, même contaminés, puis, plusieurs mois plus tard, les suspendre, les priver de salaire, alors que les moyens de protection sont là, que le virus est quasi absent et que sa dynamique et composition sont connues, est une injure à la profession et à son dévouement. Pourquoi un tel revirement? Simplement, parce qu’ils n’acceptent pas une «vaccination» avec un produit expérimental toxique et, ceux qui ont étudié sérieusement la question, le savent.

Afin de modérer la charge envers les décideurs, je dirais que les soignants savaient, également, que leurs services n’étaient pas saturés de patients malades de la covid19, l’A.T.I.H (Agence technique d’information sur l’hospitalisation), aujourd’hui, le confirme.

Ils n’ont rien dit et ont laissé faire cette mascarade. Oui, 5% seulement, sur le total des hospitalisations en soins critiques, étaient des personnes malades du covid19, et voilà qu’une fraction voyage en train, en avion, en hélicoptère, en bateau afin d’être soignée dans une autre région. Pourquoi a-t-on choisi de déplacer ces patients porteurs d’un virus, soi-disant si dangereux. C’est bien une mascarade qui a été largement médiatisée.

Je n’évoque pas, dans le détail et à dessein, la tentative de décrédibilisation de l’hydroxychloroquine, l’interdiction de prescrire les traitements précoces dont les médecins de terrain ont confirmé la validité, les décrets favorisant le rivotril, prescription devenant, de facto, l’antichambre de nombreux décès, décret favorisant la non admission à l’hôpital en raison d’un âge limite dépassé, les poursuites, avertissements voire les radiations opérés par le conseil de l’ordre des médecins vis à vis de collègues qui appliquaient les principes médicaux hippocratiques dans leur pratique quotidienne.

Je n’évoque pas, non plus, le scandale du Lancet, les médecins des plateaux TV, perclus de conflits d’intérêts, le conseil scientifique et le conseil de défense, outils du rouleau compresseur institutionnel et de la manipulation masquée des consciences.

Je n’évoque pas, non plus, l’achat de 10 000 respirateurs alors que nous savions, déjà, que le problème n’était pas respiratoire mais thrombotique. Je ne parle pas, non plus, de l’achat, par l’Europe, du Remdesivir pour un milliard d’euros, alors que sa toxicité rénale était connue et que l’OMS a, me semble-t-il, une semaine plus tard, contre-indiqué son usage? S’agissant des fluctuations boursières, beaucoup d’argent a été gagné avec cette fausse pandémie. Ce n’est pas, pour l’instant, le peuple français qui a bénéficié de ce tour de passe-passe. Ne parlons pas, non plus, de l’augmentation des tarifs des pseudo-vaccins, dans une période faste pour ces vendeurs. Enfin, bref, c’est invraisemblable, l’argent gagné sur le dos des peuples, qui vont payer dans tous les sens du terme leur crédulité, leur soumission, leur peur de la mort et leur croyance en l’État protecteur. Oui, il devrait l’être mais, malheureusement, ceux qui sont à sa tête, ont perdu le sens commun par l’ivresse du pouvoir, la corruption et l’agenda meurtrier des marionnettistes.

Je n’évoque pas, non plus, le fait que les médecins aient été rémunérés pour dire mort ou malade du covid19, ni la censure généralisée de l’opinion contraire à la doxa gouvernementale, par le biais de facebook et de youtube, ainsi que par l’accès aux ordinateurs privés.

Je n’évoque pas, non plus, les arrestations et internements d’opposants à cette dictature et génocide masqués ni le zèle de certains policiers ou maires aidés par les préfectures.

Je n’évoque pas, non plus, le changement de direction au sein des hôpitaux de Marseille permettant l’éviction de médecins de haute qualité professionnelle.

Je n’évoque pas, non plus, la fermeture de 5700 lits d’hospitalisation en pleine plan-démie. Votre état d’urgence sanitaire est une vaste fumisterie. Franchement, vous prenez le peuple de France pour des débiles mentaux. Vous, qui leur coûtez, députés, environ 26 000 euros par mois. Tout compris, me direz-vous.

Revenons à nos moutons et à cette pseudo-vaccination. Les moutons sont ceux qui oublient qu’être dépouillés de leur laine protectrice, en hiver, se forgent un avenir incertain voire sombre. En d’autres termes, se faire injecter un poison contribue à diminuer les défenses immunitaires et le pouvoir de l’organisme à se protéger. Les moutons sont ceux qui suivent, sans discernement et aveuglément, des décisions rendues obligatoires par le pouvoir institutionnel, tout en étant contraires aux principes constitutionnels, aux lois biologiques et au premier principe hippocratique à savoir «premièrement ne pas nuire».

Voyons, de plus près, la question de la pseudo-vaccination. Traditionnellement, un vaccin est l’injection dans l’organisme, d’un virus soit inactivé soit atténué. La méthodologie est maîtrisée et les effets à long terme sont connus. En revanche, injecter un ARN messager qui permette, ensuite, à l’organisme, lui-même, de fabriquer une protéine de surface d’un virus est, certes, novateur mais complètement incertain dans ses effets biologiques à long terme.

Nous savons déjà, que les effets à moyen terme sont monstrueux. Plus de 27000 morts en Europe et des centaines de milliers d’effets secondaires. Dans ces conditions et en sachant que le Sars-cov2 n’est préjudiciable qu’à une fraction de la population, est-il raisonnable de vouloir «vacciner» la terre entière et de poursuivre plus avant, dans cette direction, avec la troisième dose.

De plus, les études préalables à l’autorisation conditionnelle de mise sur le marché, semblent avoir été l’objet de malversations avérées. Un Pfizergate est né suite à des révélations de source interne à l’entreprise, rappelons-le, déjà condamnée pour fraudes.

Par ailleurs, «vacciner» sans connaître le statut sérologique de la personne, ni son éventuel état de contamination est une absurdité médicale.

De surcroît, certaines autorités scientifiques, affirment que ce virus est, en partie, une création humaine, avec rajout d’une séquence du VIH. Vous conviendrez que c’est la cerise sur le gâteau. C’est, vraisemblablement, la raison pour laquelle la digestion est si longue et laborieuse. L’effet boomerang risque de vous apporter de l’indigestion. Mais rassurez-vous, Pfizer, a sûrement, un médicament dont il a le secret qui devrait, définitivement, vous soulager. Ce sont des spécialistes de l’action radicale. Parfois, il faut attendre un peu. Mais, bientôt, vous aurez tout votre temps pour digérer ce que vous avez fait au peuple français.

Ne croyez-vous pas, qu’un gouvernement digne de ce nom, devrait stopper, sur le champ, toute «vaccination» avec un tel produit.

Rajoutons que la pseudo-vaccination est possible, uniquement, en raison de l’absence de traitement. Ce qui est faux. Cette absence est, institutionnellement, orchestrée. Des traitements efficaces existent et ils le savent. C’est la raison pour laquelle, ils combattent, de toutes leurs forces, toute tentative de le démontrer.

Dans ces conditions, force est de constater, une volonté d’agir, contrairement à l’intérêt général et pour des objectifs occultes. En raison de milliers de morts connues, de leur sous-évaluation, des contrats secrets qui lient les laboratoires à l’Europe, de la méconnaissance du contenu exact des flacons, de l’irresponsabilité desdits laboratoires envers les conséquences de ces injections, de l’absence objective de nécessité d’injecter toute une population, de l’obligation déguisée de se faire injecter sous peine de ne plus pouvoir vivre normalement, de perdre son salaire ou son emploi, de la pression sociale et institutionnelle, hors norme, exercée sur les citoyens, de l’emprise pathologique d’un groupe d’hommes et de femmes sur l’évolution sociétale, j’affirme, avec force et certitude, que nous vivons un génocide programmé par des Initiés et que d’autres participent à un crime contre l’humanité.

Qu’au demeurant et eu égard aux informations, aujourd’hui, disponibles, ces personnes, pleinement informées, n’aident pas le peuple de France à s’éveiller à la réalité et à la vérité.

Elles sont, en conséquence, préférant leurs intérêts privés à la sauvegarde de leurs concitoyens, des traîtres à la Nation et relèvent du droit, pour non assistance à personnes en danger et complicité de crime contre l’humanité.

Nous nous appuierons sur des faits tangibles pour démontrer que cette crise n’a rien de sanitaire mais conduit à une catastrophe humaine sans précédent. Nous comparerons les années 2020 et 2021 aux autres années sur des critères précis tels la perte du conjoint, le syndrome de glissement, l’état de confusion mentale, les décompensations psychiatriques, les suicides et les tentatives de suicide associés aux tranches d’âge, les demandes de consultation psychologique, chez les adultes et les enfants, les infarctus du myocarde, les AVC et leur rapport temporel avec la date de la «vaccination», les troubles neurologiques chez des sujets jeunes, les faillites, le dérèglement hospitalier et de la filière de soins…

Feu, monsieur le président de la république, a dit que le peuple français est uni. Pour être exact, Lui et ses amis sont unis afin de s’enrichir et, au passage, anéantir ce pays.

Ce message s’adresse directement à mesdames et messieurs les députés et sénateurs, mesdames et messieurs les journalistes, mesdames et messieurs les médecins et autres vaccinateurs.

La France n’a pas besoin de se protéger d’un virus selon les modalités que vous proposez mais, sans aucun doute, de se protéger de gens comme vous.

Je vous écris mais je n’attends rien de vous. Le mal est, déjà fait. Vous êtes indignes, à part quelques exceptions, de représenter quiconque et, surtout pas, le peuple français. Il semble, à l’évidence, que vos cerveaux soient entrés en dissonance cognitive et dans l’incapacité de reconnaître ce qui est, sous vos yeux, à savoir une violation totale, sur cette terre, des droits humains fondamentaux et de la réalité, telle que les gens normaux et lucides, la perçoivent.

Henri Inoudjal

PS:Peuple de France et de la terre, unissez-vous, sinon vous êtes perdus. Les Initiés sont impitoyables. Réfléchissez aux arguments exposés et aux vidéos transmises! Le pacifisme ne peut plus, malheureusement, être une solution gagnante, à moins que l’intelligence reprenne ses prérogatives. Saisissez que nous sommes dans une guerre à caractère biologique et insidieuse. Ils doivent partir, de gré ou de force, ou beaucoup d’entre-nous et, en particulier, les personnes âgées, mourrons sans avoir pu se défendre et sans avoir été défendues. J’ai une préférence pour l’option gré. Ce texte et les vidéos jointes, dans des conditions normales, devraient les inciter à choisir cette option mais, dans ce contexte, rien n’est normal et il semble qu’ils tiennent, mordicus, à leur agenda, quoi qu’il en coûte sur le plan humain.

Source: Lire l'article complet de Profession Gendarme

À propos de l'auteur Profession Gendarme

L'Association Professionnelle Gendarmerie (APG) a pour objet l’expression, l’information et la défense des droits et intérêts matériels et moraux des personnels militaires de la gendarmerie et de toutes les Forces de l'ordre.Éditeur : Ronald Guillaumont

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