Gros con causer & le retour du nucléaire (par Nicolas Casaux)

Gros con causer & le retour du nucléaire (par Nicolas Casaux)

Un titre sub­til, je sais. Comme une cen­trale nucléaire en plaine.

« Marine Le Pen veut rou­vrir la cen­trale nucléaire de Fes­sen­heim » (France bleu) et construire six EPR. Éric Zem­mour ren­ché­rit : il en pro­pose dix. Qui dit mieux ?! Pen­dant son allo­cu­tion du 9 novembre 2021, Emma­nuel Macron a confir­mé la construc­tion de nou­veaux réac­teurs nucléaires élec­triques en France, de type EPR, « dans l’op­tique de répondre aux ambi­tions cli­ma­tiques et éner­gé­tiques du pays ». Arnaud Mon­te­bourg se déclare éga­le­ment favo­rable à la construc­tion de nou­velles cen­trales nucléaires en France. Bref, le nucléaire s’invite dans la cam­pagne pestilentielle.

& pour ce faire, il s’est trou­vé des par­ti­sans-pro­mo­teurs tout à fait dans l’air (vicié) des temps cyber­né­tiques : les « you­tu­beurs » suf­fi­sam­ment sui­vis pour être qua­li­fiés d’« influen­ceurs ». Un des plus fameux d’entre eux (près d’un mil­lion de sui­veurs sur Face­book), Ludo­vic Tor­bey, figure de proue de la chaîne « Osons Cau­ser », s’est récem­ment fen­du de deux vidéos pro­nu­cléaires, et se réjouit : « la majo­ri­té des Fran­çais pen­sait que [le nucléaire] c’était mau­vais pour le cli­mat ; et cette opi­nion est en train de chan­ger, car les gens s’informent[1]. » Et s’informent en par­tie au tra­vers de son tra­vail, grâce à lui ! Quelle fier­té de pou­voir dire qu’on par­ti­cipe au déve­lop­pe­ment du glo­rieux nucléaire !

Inutile de reve­nir sur le gros de ce qu’il raconte dans ces récentes vidéos. À vrai dire, c’est parce qu’il passe tou­jours à côté de l’essentiel que ses pro­pos posent pro­blème. Peu importe que les déchets nucléaires soient moins nom­breux et moins dan­ge­reux que ne le croient cer­tains, peu importe que leur durée de vie soit moindre, etc.

Le pro­blème du nucléaire est pour par­tie (mais pas entiè­re­ment) le même que le pro­blème de toutes les autres sources indus­trielles de pro­duc­tion d’énergie. La cri­tique du nucléaire devrait donc tou­jours aller de pair avec une cri­tique de toutes les formes indus­trielles de pro­duc­tion d’énergie. Pour le com­prendre, onfray bien de prendre appui sur un très grand philosophe :

« Le nucléaire civil per­met le confort bour­geois auquel per­sonne ne s’op­pose, à droite comme à gauche […]. L’élec­tri­ci­té nour­rit les appa­reils domes­tiques qui sim­pli­fient la vie — la machine à laver au lieu du lavoir, le four au lieu de la che­mi­née, le radia­teur au lieu du mirus, le néon au lieu de la bou­gie, le réfri­gé­ra­teur au lieu du garde-man­ger… Elle ali­mente les ins­tru­ments de com­mu­ni­ca­tion — les bat­te­ries du télé­phone por­table, le sec­teur des ordi­na­teurs, le trans­for­ma­teur des télé­vi­sions. Qui ose­rait aujourd’­hui invi­ter à vivre sans électricité ?

Dès lors, la ques­tion est simple : soit on refuse l’élec­tri­ci­té et le pro­blème de sa pro­duc­tion nucléaire dis­pa­raît ; soit on est condam­né à sa pro­duc­tion. Et ses formes renou­ve­lables ? Sédui­santes, à la mode, dans le vent de l’é­co­lo­gie, certes, mais, semble-t-il, insuf­fi­santes pour les besoins quo­ti­diens et régu­liers de notre consom­ma­tion actuelle. Le pho­to­vol­taïque, la bio­masse, l’éo­lien, l’hy­drau­lique fonc­tionnent en appoint, mais ne suf­fisent pas à répondre à la tota­li­té du consi­dé­rable besoin d’éner­gie de nos civi­li­sa­tions.[2] »

« Qui ose­rait aujourd’­hui invi­ter à vivre sans élec­tri­ci­té » ? Qui ose­rait remettre en ques­tion le « confort bour­geois », l’idéologie bour­geoise de l’« éman­ci­pa­tion » (déli­vrance) ? Cer­tai­ne­ment pas Onfray, cer­tai­ne­ment aucun des soi-disant « phi­lo­sophes » média­tiques, cer­tai­ne­ment aucun « homme poli­tique », cer­tai­ne­ment aucun des innom­brables dévots de la reli­gion du Pro­grès, fana­tiques de l’aliénation, cham­pions d’une sou­mis­sion durable à l’ordre tech­no­lo­gique exis­tant. « Condam­nés » à pro­duire de l’électricité, à per­pé­tuer le sys­tème tech­no-indus­triel, nous nous y obligeons.

Et puis, notre vie se trouve tel­le­ment « sim­pli­fiée » par la tech­no­lo­gie, véri­table mer­veille de l’univers (de créa­tion humaine !). Grâce à elle, nous sommes tout de même pas­sés de la vie pénible, angois­sante, triste, terne, vio­lente, froide (gla­gla), haras­sante et com­pli­quée des chas­seurs-cueilleurs et des socié­tés pay­sannes à l’existence idyl­lique et lim­pide du chô­meur (Cer­fa N°12919*01) dépressif.

« En réa­li­té, comme le note Yves-Marie Abra­ham, la pour­suite de l’électrification du monde, qu’il s’agisse par exemple d’adopter la voi­ture élec­trique ou de sou­te­nir les pro­grès de l’Intelligence dite arti­fi­cielle, ne fait qu’aggraver le désastre auquel elle pré­tend remé­dier. Elle contri­bue en outre à nous rendre tou­jours plus dépendant·e·s de macro­sys­tèmes au sein des­quels nous finis­sons par jouer le rôle de simples rouages… ou de micro­pro­ces­seurs. Si nous tenons à la vie et à la liber­té, nous n’avons pas d’autre choix que d’entreprendre la dés­élec­tri­fi­ca­tion de nos socié­tés[3]. »

Parce qu’en effet, la vie élec­trique, c’est la vie sous domi­na­tion éta­tique, capi­ta­liste, tech­no­lo­gique. Par­mi les ques­tions que ne posent pas Ludo­vic Tor­bey, il y a donc : vou­lons-nous conti­nuer de vivre sous le règne de l’État et du capi­ta­lisme, de la tech­no­lo­gie ? Vou­lons-nous per­pé­tuer ce modèle sociétal ?

Bien enten­du, les dévots du Pro­grès objec­te­ront que la vie élec­trique pour­rait ne pas être syno­nyme de sys­tèmes de domi­na­tion. Voi­là une ques­tion qu’il serait inté­res­sant de poser : est-il pos­sible que les êtres humains évo­luent dans un monde hau­te­ment tech­no­lo­gique, élec­trique, et à la fois réel­le­ment démo­cra­tique, juste, éga­li­taire, favo­ri­sant au maxi­mum la liber­té de chacun ?

Mais avant de ten­ter d’esquisser une réponse, un bref rap­pel. Sur le plan éco­lo­gique, à l’instar de l’immense majo­ri­té des par­ti­sans du nucléaire aus­si bien que des éner­gies dites renou­ve­lables, Ludo­vic Tor­bey passe lar­ge­ment à côté de ce fait que la pro­duc­tion d’énergie est loin d’être (direc­te­ment, en elle-même) la seule source de dégra­da­tions envi­ron­ne­men­tales. Effec­ti­ve­ment, le ravage en cours de la pla­nète, de tous ses éco­sys­tèmes, ne découle pas uni­que­ment, ni même prin­ci­pa­le­ment, des impli­ca­tions directes de la pro­duc­tion ou de l’obtention d’énergie par la civi­li­sa­tion indus­trielle. Il résulte sur­tout de ses impli­ca­tions indi­rectes : de ses usages de l’énergie. Peu importe qu’une machine à rati­boi­ser des bas­sins ver­sants soit ali­men­tée par une pile à hydro­gène, des pan­neaux solaires hau­te­ment per­for­mants ou un mini-réac­teur nucléaire ; peu importe que les exca­va­trices fonc­tionnent à l’éolien, à la bio­masse ou au nucléaire ; peu importe que l’armée et l’industrie de l’armement uti­lisent plu­tôt des éner­gies dites « vertes » que du nucléaire ; peu importe les sources d’énergie qu’utilisent les dif­fé­rents sec­teurs indus­triels res­pon­sables d’un éven­tail très divers de pol­lu­tions et des­truc­tions éco­lo­giques. Les usages de l’énergie que pro­duit ou qu’obtient la civi­li­sa­tion indus­trielle (peu importe sa pro­ve­nance) ne sont qua­si­ment jamais béné­fiques pour la nature, tout au contraire. Dès lors, il appa­raît ter­ri­ble­ment absurde de recher­cher une source d’énergie abon­dante, voire illi­mi­tée. Si la civi­li­sa­tion par­ve­nait à mettre la main sur une telle chose, cela indui­rait pro­ba­ble­ment une dévas­ta­tion envi­ron­ne­men­tale sans précédent.

Ber­trand Louart remarque à ce propos :

« Ima­gi­nons un ins­tant qu’ITER fonc­tionne et que l’on dis­pose effec­ti­ve­ment d’une éner­gie abon­dante pour presque rien et presque pas de déchets ; bref, que se réa­lisent toutes les pro­messes de la pro­pa­gande tech­nos­cien­ti­fique. Il ne serait alors pas exa­gé­ré de dire que nous connaî­trions la plus grande catas­trophe de tous les temps ; rien ne pour­rait arri­ver de pire pour com­pro­mettre l’avenir de l’humanité et de la vie sur Terre. En effet, qu’est-ce que l’énergie, sinon ce qui nous donne un pou­voir sur la matière ? Or la matière n’est rien d’autre que la sub­stance du monde : c’est vous et moi, la nature dans laquelle nous vivons et le sup­port de la vie elle-même. L’énergie est en fin de compte la capa­ci­té à trans­for­mer le monde.

Si ITER réa­lise la fusion nucléaire, qui donc maî­tri­se­ra l’énergie consi­dé­rable qu’il pro­dui­ra ? Ni vous ni moi, bien évi­dem­ment, mais avant tout les États et les indus­triels qui ont inves­ti des mil­liards d’euros dans ce pro­jet. Et que feront-ils de l’énergie illi­mi­tée dont ils dis­po­se­ront alors ? Peut-on croire un seul ins­tant que, lorsque plus rien ne les retien­dra, ils se mon­tre­ront plus rai­son­nables et pré­cau­tion­neux dans son usage qu’ils ne l’ont été jusqu’à présent ?

Si les États et les grands groupes indus­triels dis­po­saient enfin d’une éner­gie illi­mi­tée, ils s’en ser­vi­raient de la même manière qu’ils l’ont fait ces cin­quante der­nières années : la logique d’accumulation abs­traite de puis­sance propre à ces orga­ni­sa­tions déme­su­rées pren­drait un nou­vel essor, et les ten­dances des­truc­trices que l’on a vues à l’œuvre depuis les débuts de l’ère nucléaire seraient por­tées à leur paroxysme. Ces grands appa­reils seraient alors tota­le­ment affran­chis des puis­sances — la nature et la socié­té — qui limi­taient jusqu’alors tant bien que mal (et en réa­li­té de plus en plus mal) leur ambi­tion et leur pré­ten­tion à déte­nir la toute-puis­sance. Plus aucune contrainte ne vien­drait limi­ter leur capa­ci­té à trans­for­mer le monde, c’est-à-dire à exploi­ter la nature et à domi­ner les hommes pour leur avan­tage. ITER serait alors réel­le­ment la fabrique du capi­ta­lisme et de l’État sous leur forme abso­lue, c’est-à-dire tota­li­taire[4]. »

Sur le plan social, effec­ti­ve­ment, toutes les tech­no­lo­gies modernes, toutes les machines (y com­pris celles qui servent à pro­duire ou obte­nir de l’énergie), sont autant de pro­duits du sys­tème éco­no­mique, poli­tique et tech­no­lo­gique issu de la conjonc­tion de la puis­sance de l’État et de celle du capi­ta­lisme. Sys­tème qui, comme beau­coup l’ont remar­qué, écrase et dépos­sède les êtres humains, par­tout sur Terre. Or, selon toute pro­ba­bi­li­té, toute logique, toutes les tech­no­lo­gies modernes, toutes les machines (y com­pris celles qui servent à pro­duire ou obte­nir de l’énergie), sont indis­so­ciables de l’existence de ce sys­tème — du moins d’un cer­tain nombre de ses carac­té­ris­tiques fon­da­men­tales (déme­sure, divi­sion hié­rar­chique et tech­nique du tra­vail, com­plexi­té socio­tech­nique, etc.) — et par-là même incom­pa­tibles avec la démo­cra­tie réelle, la jus­tice, l’équité, la liber­té. La ques­tion est donc : sou­hai­tons-nous la per­pé­tua­tion d’un tel sys­tème ? Le génie d’Osons Cau­ser répond : oui. L’important, à ses yeux : « assu­rer nos sys­tèmes sociaux, relan­cer l’économie après la crise du Covid[5] ». Bien enten­du, si l’économie n’était pas relan­cée, si le sys­tème s’effondrait, il per­drait sa clien­tèle. Voi­là le drame.

La réponse que donnent nombre de popu­la­tions indi­gènes de par le monde, sou­hai­tant sim­ple­ment qu’on les laisse tran­quilles, pou­voir conti­nuer de vivre et de se gou­ver­ner comme elles l’entendent : « Nous nous bat­tons pour ne pas avoir de routes et d’électricité — cette forme d’autodestruction qui est appe­lée “déve­lop­pe­ment” c’est pré­ci­sé­ment ce que nous essayons d’éviter[6]. »

La cheffe Caleen Sisk, de la tri­bu Win­ne­mem Win­tu, ori­gi­naire de Cali­for­nie du Nord, souligne :

« Croyez-le ou non, nous pou­vons vivre sans élec­tri­ci­té, c’est ain­si que nous avons vécu pen­dant de nom­breuses années, avant qu’elle n’arrive. L’électricité est acces­soire. Cepen­dant, per­sonne au monde, rien au monde, ne sau­rait vivre sans eau, sans une eau propre[7]. »

***

Dans le monde indus­tria­li­sé, les prin­ci­paux oppo­sants au nucléaire dénoncent depuis long­temps le fait qu’il requiert et favo­rise tout par­ti­cu­liè­re­ment la domi­na­tion éta­tique. Comme on pou­vait le lire dans la Pla­te­forme du comi­té « Irra­diés de tous les pays, unis­sons-nous ! » en 1987 :

« […] l’exploitation et la ges­tion des ins­tal­la­tions nucléaires, tant civiles que mili­taires, ren­forcent la main­mise tota­li­taire de l’État sur la socié­té et ce quelle que soit la nature affi­chée des régimes consi­dé­rés, à l’Ouest comme à l’Est. »

Et ain­si que le notait Roger Bel­béoch, ingé­nieur anti­nu­cléaire, le déve­lop­pe­ment mas­sif du nucléaire en France est issu de « la struc­ture par­ti­cu­liè­re­ment cen­tra­li­sée de l’État fran­çais, la for­ma­tion de ses cadres tech­niques et de ceux de la grande indus­trie par le sys­tème des grandes écoles (Poly­tech­nique), l’existence des corps d’ingénieurs (corps des Mines)[8] ».

Autre­ment dit, la spé­ci­fi­ci­té du nucléaire, en regard des autres formes de pro­duc­tion indus­trielle d’énergie, c’est qu’il incarne, du fait de ses impli­ca­tions sociales et maté­rielles (com­plexi­té tech­nique, déchets hau­te­ment dan­ge­reux, sen­sibles, catas­trophes poten­tielles à pré­voir et gérer, etc.), la tech­no­lo­gie auto­ri­taire par excel­lence[9].

La plu­part des par­ti­sans du nucléaire recon­naissent d’ailleurs sans ambages qu’il requiert des struc­tures orga­ni­sa­tion­nelles rigides, hié­rar­chiques, auto­ri­taires. Dans leur livre plai­doyer en faveur du nucléaire[10], Domi­nique Louis et Jean-Louis Ricaud, ingé­nieurs et diri­geants de l’entreprise Assys­tem (spé­cia­li­sée en ingé­nie­rie et ges­tion de pro­jets d’infrastructures cri­tiques et com­plexes), célèbrent l’exemple de la Chine et remarquent que les défis que pose le nucléaire « ne peuvent être rele­vés sans une gou­ver­nance inter­na­tio­nale indé­pen­dante et dotée d’autorité, pierre angu­laire de la sûre­té et de la sécu­ri­té d’un sec­teur par essence transnational ».

En encou­ra­geant l’acceptation du nucléaire, les « you­tu­beurs » nucléa­ristes encou­ragent, outre la pour­suite du ravage indus­triel du monde, l’acceptation de l’État, du capi­ta­lisme, la sou­mis­sion au sys­tème social, éco­no­mique, poli­tique et tech­no­lo­gique contem­po­rain, aux faux besoins et aux contraintes qu’il nous impose.

Sans nucléaire, sans pan­neaux solaires pho­to­vol­taïques, sans éoliennes, sans réfri­gé­ra­teurs, sans radia­teurs, sans fours et sans machines à laver — n’en déplaise à Onfray et aux ado­ra­teurs du « confort bour­geois » — l’espèce humaine a pros­pé­ré durant des cen­taines de mil­liers d’années. En revanche, en à peine un siècle de tech­no­lo­gi­sa­tion, d’industrialisation du monde, la pla­nète a été rava­gée, d’innombrables éco­sys­tèmes ont été détruits, tan­dis que la plu­part des autres sont endom­ma­gés ou pol­lués. Et la majo­ri­té des êtres humains se sont retrou­vés sous le joug d’un impi­toyable sys­tème de domi­na­tions imper­son­nelles[11] orga­ni­sé à l’échelle pla­né­taire. La ques­tion que tout cela devrait nous ame­ner à nous poser est moins : « êtes-vous pour ou contre le nucléaire ? », ou « pour ou contre les renou­ve­lables ? » — que : l’humanité et la nature sur­vi­vront-elles au déve­lop­pe­ment tech­no­lo­gique ? Quoi qu’il en soit, si vous sou­hai­tez que tout conti­nue, n’hésitez pas : aux pro­chaines mas­ca­rades élec­to­rales, votez pour un maître indus­tria­liste — qu’il soit pour une socié­té indus­trielle nucléaire ou car­bu­rant au « 100% renou­ve­lables » importe peu.

Nico­las Casaux


  1. https://journal.ccas.fr/ludovic-torbey-osons-causer-lenergie-na-jamais-ete-un-sujet-aussi-sexy/
  2. Onfray, « Catas­trophe de la pen­sée catas­tro­phiste », Le Point, 2011
  3. https://polemos-decroissance.org/le-prix-de-lelectricite-essai-de-contribution-a-lencyclopedie-des-nuisances/
  4. https://sniadecki.wordpress.com/2011/11/22/iter-01/
  5. https://journal.ccas.fr/ludovic-torbey-osons-causer-lenergie-na-jamais-ete-un-sujet-aussi-sexy/
  6. Ati Qui­gua, Arhua­cos de « Colom­bie », lors d’un évè­ne­ment onu­sien. https://atiquigua.co/united-nations-indigenous-women/
  7. https://www.youtube.com/watch?v=U4KFKWYfQa8
  8. Roger Bel­béoch, « Socié­té nucléaire », 1990.
  9. Cf. : « De la cuillère en plas­tique à la cen­trale nucléaire : le des­po­tisme tech­no-indus­triel » : https://www.partage-le.com/2020/04/25/de-la-cuillere-en-plastique-a-la-centrale-nucleaire-un-meme-despotisme-industriel-par-nicolas-casaux/
  10. Éner­gie nucléaire, le vrai risque, Domi­nique Louis, Jean-Louis Ricaud, 2020.
  11. https://www.cairn.info/revue-du-mauss-2016–2‑page-59.htm

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