Un juge néo-zélandais considère que le meurtre d’une femme handicapée par sa mère était un « meurtre par compassion »

Un juge néo-zélandais considère que le meurtre d’une femme handicapée par sa mère était un « meurtre par compassion »

Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Comstock/Picspree

Une femme néo-zélandaise qui a assassiné sa fille handicapée s’est vu épargner une peine de prison à vie par une juge qui a qualifié ce meurtre de « meurtre par compassion ».

La juge Cheryl Gwyn a condamné Cherylene Lawrence à une peine de six ans et demi pour avoir tué sa fille, Chevana Marie Fox. La sentence était très inhabituelle car la peine de prison à vie est obligatoire en Nouvelle-Zélande dans les cas de meurtre, à moins qu’un juge ne détermine que la sentence serait « manifestement injuste ».

Selon le New Zealand Herald, Lawrence a admis avoir infligé des blessures mortelles à Fox, âgée de 28 ans, qui souffrait de la maladie de Huntington juvénile, une affection qui entraîne une dégénérescence progressive des cellules nerveuses du cerveau, et des problèmes physiques, psychiatriques et cognitifs. Lawrence s’occupait de sa fille à la maison, ce qui, de son propre aveu, était très stressant pour elle. Dans un texte adressé à sa propre mère, Lawrence a écrit : « Je vais finir par tuer Chevana. J’en ai assez. »

Après s’être arrangée pour que l’aide-soignante quitte la maison afin qu’elle puisse être seule avec Fox, Lawrence a étranglé sa fille. Elle a ensuite appelé une ambulance et a admis l’avoir agressée, puis a dit à la police que Fox « souffrait », n’avait « aucune qualité de vie » et était « coincée dans des délires, des délires torturants ». Fox est décédée de ses blessures plusieurs semaines plus tard.

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