En bref – Vendredi 15 octobre de l’an de grâce 2021

En bref – Vendredi 15 octobre de l’an de grâce 2021

Droit au but, comme l’OM : Gérald Darmanin, déposeur de plaintes en série… C’est un ministre de l’Intérieur, ça ? La résistance non violente, ça a l’air nunuche comme ça, mais c’est surpuissant sur la durée, car ça renvoie la violence d’où elle vient.

« CRS, doucement, on fait ça pour vos enfants ! »

 

Mais la violence, ce n’est pas seulement les matraques ou les gazages des CRS, c’est aussi le delirium tremens oligarchique, qui désoriente totalement les Français crédules, ceux qui croient encore en l’autorité.

 

Eh ouais, les 2vax (double-vaccinés), vous vous êtes fait couillonner. Bientôt la 3e dose, puis la 4e, et encore du pass, et du pass, du pass pour aller pisser, pour respirer, pour manifester, du pass pour obtenir un pass. Un jour, le comte de Bouderbala a dit : « c’est la première banane qui est difficile, après, ça passe tout seul ». C’est le problème des vax, ils ont cédé sur leur intégrité physique, maintenant, il va falloir ramener la mayonnaise dans le tube et ça, c’est pas du tout cuit.

Non, ce qui nous embête, ce ne sont pas les adultes lâches, ou soumis, ou imbéciles, ou qui croient au mélange entre la rouerie oligarchique et la médecine allopathique servante du Big Pharma : ce sont les enfants. Praud a raison :

 

Il faut dire, il y a des parents encore plus cons que les dirigeants sont salauds.

 

Tant qu’on peut résister en écrivant, on se bat et on relaye ceux qui se battent bien, pour la vérité, pour l’honneur aussi. Ici, le bon Dr Megarbane, le vaccinateur siphonné, se fait reprendre de volée.

 

Pendant ce temps, la pénurie se précise, le carburant augmente, c’est-à-dire que le pouvoir d’achat se casse doucement la gueule, derrière le rideau spectaculaire de la fausse pandémie, que les médias compromis jusqu’au cou repeignent chaque jour, inlassablement.

 

On ne parierait pas sur un re-soulèvement des Gilets jaunes, mais tous les ingrédient d’une bonne explosion sociale sont réunis, plus que jamais. Et le gouvernement, qui croit toute contestation éteinte, augmente les doses de répression, tout en allumant des contre-feux partout. Le terrorisme est là pour allumer des feux devant l’incendie social permanent. Et Polony qui tombe de sa chaise à porteurs en découvrant que les mômes ne gobent pas les salades du Système… Ça promet, pour demain !

 

Il n’y a rien à attendre de la gauche, qui trahit le peuple depuis 40 ans, 38 pour être précis, et encore moins de la droite, qui n’est que la traduction des intérêts du Marché, des milieux d’affaires, ou de la Banque. Un peu tout ça, quoi. Ce sont eux qui dictent la politique (économique) et qui parlent de démocratie, histoire de compenser en esprit la flagrante injustice.

La démocratie existe, oui, mais pour eux seulement : c’est la leur, leur liberté d’action, leur égalité bien au-dessus des lois et leur fraternité de lobbyistes, de communautarisés, de cooptés. Pour le reste, c’est comme à Rome : sous les patriciens la plèbe, avec un peu de classe moyenne résiduelle au milieu.

 

L’extrême gauche ? Elle pense gagner des voix (de jeunes) avec le climat, un levier encore plus con que la pandémie, et mise sur le vote à 16 ans pour rafler du débile léger tendance Libé. Mais elle est morte, comme l’extrême droite, qui s’est tellement alignée sur les desiderata du pouvoir profond qu’elle a forgé elle-même la contre-candidature Zemmour, qui va la dépouiller jusqu’à l’os.

 

Le problème, quand on se rabaisse trop et trop souvent, c’est qu’on ne peut plus se relever, se tenir droit. Essayez, ça fait mal au dos. On ne donne pas de leçons à Marine qui a fait ce qu’elle a pu pour désenclaver le FN et venir au pouvoir, mais il aurait peut-être fallu miser sur une radicalisation de la situation – et on y est –, plutôt que sur une dé-radicalisation interne. Quand on voit dans le TGV le nombre de personnes qui brandissent un faux pass, on se dit qu’on peut bien trouver 50 % de Français qui sont vent debout contre la Macronie.

Il y a donc un boulevard pour Zemmour, qui lui a tous les droits. Les portes s’ouvrent, les micros se tendent, la mer Rouge s’écarte. Normal, c’est Moïse, quand même, merde !

 

Zézé a même le droit de démolir BHL, ce qui confirme le renversement de tendance, là-haut, dans les hautes sphères sionistes. On sent comme une passation de pouvoir. Tout le monde rêvant de claquer le baigneur de BHL, et c’est finalement un Zemmour qui le fait. Tout ça pour ça…

 

Que faire, avec ce Système qui a tout verrouillé (la montée d’un Staline ou d’un Hitler a été rendue pratiquement impossible aujourd’hui) et qui bousille scientifiquement la vie des Français ? Certains avancent des solutions originales :

 

Ce qui est nouveau, c’est que le Système préfère l’effondrement de la société à son propre effondrement. C’est un combat à mort contre ce cancer qui nous ronge, et on le voit, une guerre mondiale contre l’individu a été déclenchée par les forces du Mal, qui rassemblent le Big Pharma, le Big Tech, la Big Banque, et le Média unique. Sans oublier toutes les organisations qui en dépendent, services de renseignement, de répression, de surveillance…

Pendant l’effondrement social programmé, le fou de l’Élysée, ce château devenu un HP de luxe, rêve de supprimer la peine de mort, lui qui a condamné à mort des milliers d’innocents en Ehpad…

 

On a même trouvé un comique bien lourd au gouvernement :

 

On ne veut pas être pessimistes, mais tout cela va mal finir.

Pour eux.

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Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation

À propos de l'auteur Égalité et Réconciliation

« Association trans-courants gauche du travail et droite des valeurs, contre la gauche bobo-libertaire et la droite libérale. »Égalité et Réconciliation (E&R) est une association politique « trans-courants » créée en juin 2007 par Alain Soral. Son objectif est de rassembler les citoyens qui font de la Nation le cadre déterminant de l’action politique et de la politique sociale un fondement de la Fraternité, composante essentielle de l’unité nationale.Nous nous réclamons de « la gauche du travail et de la droite des valeurs » contre le système composé de la gauche bobo-libertaire et de la droite libérale.

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