Des femmes parlent de leurs traumatismes post-avortement tandis que les partisans de l’avortement en nient l’existence

Des femmes parlent de leurs traumatismes post-avortement tandis que les partisans de l’avortement en nient l’existence

Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : The VisualsYouNeed/AdobeStock

L’avortement est censé donner du pouvoir aux femmes, et pourtant, les femmes ayant subi un avortement révèlent de plus en plus souvent combien celui-ci les a affectées négativement. Après des années de déni, les médias donnent enfin la parole à ces femmes ─ mais non sans tenter de rassurer le public sur le fait que ces femmes ne regrettent pas réellement leur avortement. Un nouvel article de l’Australian Broadcasting Corporation (ABC) a dressé le portrait de certaines des femmes qui ont ressenti du chagrin après leur avortement. Pourtant, malgré le témoignage de ces femmes, c’est l’industrie de l’avortement qui prétend que le regret suivant l’avortement est rare, voire inexistant, que l’on croit plutôt.

« Je me demande si c’était mon fils »

Le premier témoignage est celui de Jessie O’Brien, qui est devenue enceinte de son deuxième enfant alors que son premier n’avait que 10 mois. « Passer d’un à deux si tôt était très intimidant. La naissance de mon premier enfant ne s’était pas très bien passée, donc cela restait dans mon esprit », a-t-elle déclaré à ABC, et elle a dit avoir décidé d’avorter. « C’est un processus assez physique ; vous êtes toujours très consciente que votre corps avorte un fœtus. C’est une période de règles sous stéroïdes, essentiellement ».

Mais aujourd’hui, O’Brien dit que même des années plus tard, elle a toujours du mal à accepter l’avortement. « Lorsque les symptômes physiques disparaissent, on se demande toujours : et si… », a-t-elle admis. « J’ai eu trois filles et je me demande toujours, au fond de moi, et si c’était mon fils… Je me demande si c’était un garçon. Mais je ne le saurai jamais. »

Le « regret… devient de plus en plus profond »

Une autre femme, Sarah, a déclaré à ABC qu’elle regrette carrément de plus en plus sa décision d’avorter au fur et à mesure que le temps passe. « [Je me suis sentie] soulagée au début, juste parce que les nausées matinales avaient disparu », a-t-elle dit. « Mais depuis, j’ai beaucoup de regrets et d’émotions. C’est une chose tellement complexe, c’est vraiment difficile à traduire en mots… c’est presque comme si plus le temps passe, plus c’est profond. »

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À propos de l'auteur Campagne Québec-Vie

Campagne Québec-Vie est une association québécoise qui travaille de concert avec tout individu ou association de bonne volonté, à l’établissement d’une société chrétienne qui protège la foi, la famille et la vie, de la conception à la mort naturelle.CQV a trois objectifs : i) Promouvoir la reconnaissance, par les représentants de tous les corps sociaux, y compris ceux de l’État, de la nécessité du christianisme, en tant que seule religion intégralement vraie, pour une réalisation pleine et entière du bien commun ; ii) Promouvoir la reconnaissance du fait que la foi chrétienne est raisonnable, et que la raison soutient la foi et la morale chrétiennes ; iii) Promouvoir le respect de la vie humaine depuis la conception jusqu’à la mort naturelle ainsi que les droits de la personne et de la famille ;CQV œuvre à instaurer une « Culture de Vie », c’est-à-dire que nous favorisons, en manifestant, en organisant des colloques, en diffusant des nouvelles par Internet et offrant de l’aide aux femmes enceintes en difficulté, le développement d’une société dont les lois et les mœurs concourent, entre autres, à la reconnaissance du droit à la vie de toute personne humaine, de la conception à la mort naturelle, ainsi qu’à la reconnaissance de la famille traditionnelle (homme, femme, et les enfants qui découlent de leur union aimante) comme lieu privilégié pour l’épanouissement de la personne humaine.

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