Égypte – La surprenante éviction du Général Saad Eddine Chazli, en pleine guerre d’Octobre 1973 (3/4)

Égypte – La surprenante éviction du Général Saad Eddine Chazli, en pleine guerre d’Octobre 1973 (3/4)

Égypte – Le legs de Nasser : Comment le chef est tombé dans le piège qui lui a été tendu (1/4)

Égypte – La séquence Sadate : le coup d’État de l’intérieur (2/4)

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par Mohamad Al Quay’i.

Ce papier est dédié à la mémoire du général Saad Eddine Chazli, chef d’État-Major égyptien durant la guerre d’octobre 1973. Artisan de la percée du canal de Suez et de la destruction de la Ligne Bar Lev, le 6 octobre 1973, lors de la « Bataille Al Badr », nom de code de l’offensive, par référence à la conquête arabe… le général Chazli a été relevé de ses fonctions en pleine bataille sur ordre du président Anouar El Sadate ; fait rarissime dans les annales militaires mondiales.

1 – L’éviction du général Chazli, un prestigieux chef militaire

Un des grands mystères de la guerre d’Octobre 1973 a été l’éviction par le président Anouar Al Sadate du général Saad Eddine Chazli, chef d’État-Major égyptien, alors que ses troupes avaient déjà franchi le canal de Suez, la barrière naturelle entre les fronts égyptiens et israéliens, et procédé à la destruction de la ligne Bar Lev, la ligne de défense israélienne le long du canal de Suez, donnant accès à l’armée égyptienne au désert au Sinaï.

Dans la foulée, le général Chazli avait ordonné à ses troupes de se diriger vers les Cols de Mitla et de Gidi, à 50 km du canal de Suez, en vue de barrer la route aux renforts israéliens vers le canal.

Sadate avait, lui, planifié une guerre à objectif politique, non une guerre de reconquête du Sinaï occupé, mais une guerre à visées politiques, à objectif limité, en vue de rompre l’immobilisme régnant sur le front égyptien à l’effet de déclencher un processus de règlement politique du contentieux entre l’Égypte et Israël.

Chazli s’est d’abord insurgé contre la décision de Sadate de nommer à la tête du Ministère de la Défense, un général atteint de cancer, considérant que son handicap était préjudiciable à la conduite des opérations ; Récidiviste, il s’était opposé également à un arrangement entre deux barons du régime, le général Ahmad Ismaîl, le ministre de la Défense en question et Ismail Fehmi, ministre des Affaires étrangères en faveur du fils de ce chef de la diplomatie égyptienne.

Dans le palmarès militaire arabe contemporain, avare en fait d’armes glorieux, le général Chazli est incontestablement un des plus prestigieux chefs militaires.

Artisan du franchissement du canal de Suez et de la destruction de la Ligne Bar Lev, Chazli a brisé le mur de la peur qu’éprouvaient les Arabes à l’égard de la puissance militaire israélienne, et du même coup brisé le « mythe de l’invincibilité des armes israéliennes ».

Face à ce double refus, Sadate relève de ses fonctions le général Chali et le nomme ambassadeur au Royaume Uni, puis au Portugal. Intraitable, incorruptible, le général s’oppose de nouveau, publiquement cette fois, aux accords de Camp David ouvrant la voie à la normalisation égypto-israélienne. Il démissionne de son poste et sollicite le droit d’asile politique auprès de l’Algérie.

Chazli sera de retour en Égypte, en 1993, soit au terme de 20 ans d’exil, bénéficiant d’une amnistie totale de la part de son frère d’armes, le président Hosni Moubarak qui fut le chef de l’aviation durant la guerre d’octobre 1973, le subordonné direct du chef d’État-Major rebelle.

Depuis son retour au Caire, Chazli a observé un mutisme rigoureux jusqu’à son décès le 10 février 2011, au début du soulèvement populaire qui devait emporter Moubarak.

2 – Les mémoires de Chazli intitulées « La Guerre d’Octobre »

Les révélations contenues dans ses mémoires intitulées « La Guerre d’octobre » constituent le meilleur témoignage de la corruption de la nomenklatura sadatienne.

A – La promotion au mérite ou le cas du fils d’Ismail Fehmi, ministre égyptien des Affaires étrangères

Chazli était favorable à la promotion au mérite. Il a ainsi refusé la mutation du fils d’Ismail Fehmi, ministre des Affaires étrangères, vers les services de renseignements en ce qu’elle constituait une opération déguisée visant à son exfiltration des unités combattantes.

À l’appui de sa demande, le requérant a insisté sur le fait que le bénéficiaire n’était autre que le propre fils du ministre des Affaires étrangères : « Même si la demande provenait de Sadate lui même, je la refuserai. Je n’ai jamais toléré le moindre passe-droit de la part des membres de ma propre famille. La compétence doit primer », a-t-il-martelé.

« J’ai soulevé le problème auprès de mon supérieur hiérarchique, le général Ahmad Ismail, qui était parfaitement au courant de la demande de mutation. Il donna son accord sans m’en aviser. Les SR égyptiens ont alors récupéré le fils d’Ismail Fahmy qui plaça alors son rejeton à New York, à des milliers de km du front militaire, à un poste autrement plus rémunérateur et confortable ».

B – L’arrangement entre Ismail Fehni et le général Ahmad Ismail

L’arrangement entre Ismail Fehmi et le général Ahmad Ismail n’était pas à sens unique. Il sous-tendait une contrepartie. Par une sorte d’échange de bons procédés, le fils du général Ahmad Ismail s’est ainsi retrouvé membre de la délégation officiant à la mission diplomatique égyptienne aux Nations unies à New York.

Ainsi pendant que les soldats se lançaient à l’assaut de la Ligne Bar Lev, sur le canal de Suez, au péril de leur vie, les fils des nantis du régime sadatien se planquaient à l’abri, à des milliers de km du front, dans la Dolce Vita new yorkaise.

3 – La manchette d’Al Ahram

Al Ahram, l’officieux quotidien égyptien, annonce en manchettes le 11 Décembre 1973 le titre suivant : « Les forces égyptiennes déployées sur le Sud Ouest du Front progressent de dix kilomètres », citant comme source de cette information les Forces d’Urgence des Nations unies.

Il s’agissait en fait d’une intoxication. Les soupçons se sont portés sur deux personnes : Mohamad Hassanein Heykal, le directeur de la publication et proche collaborateur de Nasser, et le général Ahmad Ismail, le commandant en chef des armées. Le Ministère de l’Information a ouvert une enquête pour connaître la source de cette information et l’auteur de cette intoxication.

Le lendemain, faisant amende honorable, Al Ahram, publiait un rectificatif en présentant ses excuses à ses lecteurs pour cette erreur.

Le bras de fer entre le pouvoir égyptien et Chazli avait atteint son paroxysme au point que le pouvoir a jugé bon de purger ce différend en se débarrassant du chef d’État-Major égyptien. En douceur.

Sadate ordonna de verser Chadli au corps diplomatique du ministère des Affaires étrangères avec rang d’ambassadeur.

Chadli : « J’ai refusé, faisant valoir au ministre des Affaires étrangères que si Sadate envisage cette affectation comme un service qu’il me rend, je suis en droit d’accepter ou de refuser ce service. Mais, si, au contraire, il considère cette mutation comme une sanction, je préfère dans ce cas être traduit en justice ».

Le ministre : « Les propos que tu tiens sont graves. Dois-je en informer le président ? »

Chazli : « Naturellement, le téléphone est à portée de ta main et tu peux d’ailleurs l’informer sur le champ ».

Le ministre tenta alors de me convaincre, d’une manière polie, d’accepter le poste. J’ai refusé. Hosni Moubarak, à l’époque chef de l’aviation, a entrepris des démarches similaires. Mais là aussi, j’ai refusé.

4 – Sadate, coupable de haute trahison envers la Patrie

Chazli a ouvertement accusé Sadate du crime de « haute trahison envers la Patrie ».

« Le fait d’avoir nommé le général Ahmad Ismail, Commandant en chef des forces armées égyptiennes, suffisait à inculper Sadate de Haute Trahison, car le président savait pertinemment que le général Ismaîl était atteint de cancer et l’a néanmoins confirmé à ce poste de grande responsabilité en dépit du fait que cette grave pathologie pouvait handicaper le commandement des opérations sur le terrain », écrira Chazli dans ses mémoires.

Dans son ouvrage, Chazli recommande d’ailleurs de supprimer le poste de commandant en chef, estimant qu’un tel poste n’existe que dans les « pays arriérés », marquant sa préférence pour le poste de chef d’État-Major inter-armes.

5 – Le choix de l’Algérie

Note de la Rédaction

L’Algérie a participé à la Guerre d’Octobre 1973, en dépêchant un important contingent qui s’est déployé dans le secteur du « déversoir » sur le front du canal de Suez, sous l’autorité du chef d’État-Major égyptien, le général Saad Eddine Chazli. Parallèlement, le président Houari Boumédiène s’était rendu secrètement à Moscou pour le ravitaillement en missiles des armées égyptienne et syrienne, afin de faire pièce au pont aérien militaire direct entre les États Unis et Israël.

L’Algérie a ainsi débloqué un milliards de dollars pour la fourniture de missiles aux armées égyptienne et syrienne et pris en charge les dépenses en carburant des chars et de l’aviation sur les deux fronts du Sinaï (Égypte) et du Golan (Syrie).

Pour un général au nationalisme sourcilleux, le choix de l’Algérie s’imposait naturellement, d’autant que ce pays et son président Houari Boumedienne disposaient d’un prestige considérable dans le quart monde et sur la scène diplomatique internationale.

Le récit de M. Ibrahim Yousri, ambassadeur d’Égypte en Algérie :

« Convié à une réception de l’ambassadeur du Koweît à Alger, j’ai été grandement surpris de relever parmi les convives le général Chazli. M’adressant à l’ancien chef d’État-Major égyptien, je lui ai adressé une invitation permanente à la chancellerie dont les portes lui seront toujours ouvertes en permanence ».

Il m’a remercié « abasourdi par mes propos », poursuit M. Yousri.

Peu de temps après, Chazli se rend à l’Ambassade égyptienne à Alger pour informer l’ambassadeur de son intention de retourner dans son pays natal. « Je prends de l’âge et je souhaite mourir dans mon pays », a-t-il avancé en guise d’explications.

« L’homme était déterminé de retourner en Égypte, malgré la demande pressante du Caire de le maintenir en Algérie », ajoute l’ambassadeur.

Ibrahim Yousri conclut en ces termes son récit :

« Le général Chazli est un grand homme, tenu en haute estime par ses pairs. Son neveu Ahmad Chazli est le juge qui a rendu le verdict confirmant le caractère égyptien des deux ilôts de Tiran et Sanafir, cédés à l’Arabie Saoudite par le Maréchal Abdel Fattah Al Sissi ».

6 – Les vrais raisons du départ du général Chazli d’Algérie

L’ambassadeur égyptien, en bon diplomate, semble avoir donné une version édulcorée – une version diplomatique – des raisons du départ d’Algérie du général égyptien.

Un journaliste et écrivain algérien, Mohamad Yaacoubi, se référant aux mémoires du « Héros de la Guerre d’Octobre », explicite les vrais raisons qui ont conduit le général Saad Eddine Chazli à quitter son lieu d’exil pour retourner en Égypte.

La version du journaliste algérien contenue dans une recension des mémoires de l’officier supérieur égyptien, parue sur le site 5 Noujoum (Cinq étoiles). 5 Noujoum est un site libanais dirigé par Sami Kleib, ancien directeur du service arabe de RFI (Radio France Internationale), et ancien journaliste dissident de la chaine qatariote Al Jazeera.

Ci joint le récit du journaliste algérien

« Le général Saad Eddine Chazli a vécu avec ses enfants 14 ans en Algérie, de 1978 à 1992. Il résidait dans une somptueuse villa dans le quartier Al Biar, commune de la Wilaya d’Alger, mise à sa disposition par le président Houari Boumédiène, fin 1978, lorsque le destructeur de la Ligne Bar Lev, (les fortifications militaires israéliennes le long du canal de Suez) a quitté l’Égypte pour échapper à la justice d’Anouar El Sadate en raison de son hostilité aux accords égypto-israéliens de paix, mettant fin à l’état de belligérance entre le plus grand État arabe et l’État hébreu ».

« Début 1993, Chazli prend contact avec son ami, Lakhdar Bouwarkaha, un des grands Moudjahidines de la Guerre de Libération nationale algérienne, lui demandant de venir de toute urgence le rencontrer à son domicile ».

« À son arrivée, Lakhdar voit le général égyptien debout au beau milieu du salon, au milieu d’une pile d’ouvrages, de meubles et d’ustensiles de cuisine, comme si l’hôte s’apprêtait à quitter les lieux ».

Intrigué par ce spectacle, Lakhdar s’en enquiert auprès de son interlocuteur.

Réponse de Chazli :

« Je te saurai gré de les distribuer aux bibliothèques publiques afin que la jeunesse en tire profit. Des ouvrages que j’ai rédigés en personne, ici, dans cette résidence, notamment mes mémoires concernant « La Guerre d’Octobre 1973 »,  «La 8eme croisade occidentale » ou encore « L’option militaire arabe », enfin « Quatre ans dans le corps diplomatique égyptien », récit de ma vie d’ambassadeur au Royaume Uni et au Portugal (…) Ma vie en Algérie touche à sa fin. Ce pays bien aimé qui m’a offert l’asile politique lorsque mes compatriotes m’ont forcé à l’exil ».

Lakhdar, insistant, cherche à en savoir plus.

Réponse de Chazli :

« Depuis la démission de Chadli Bendjedid, je fais l’objet de tracasseries de la part de milieux non identifiés. Bon nombre de responsables m’ont fait parvenir des messages, via d’intermédiaires, me demandant de dégager les lieux.

Ils m’ont savoir qu’ils étaient disposés à mettre à ma disposition un appartement de rechange en remplacement de la villa. Selon ces émissaires, un officier supérieur algérien en charge de la sécurité nationale convoitait ma résidence, spécifiant la rue et le numéro de la rue ou se situait la villa ».

Note de la rédaction de https://www.madaniya.info/

Chadli Bendjedid (19292012), président de la République (1979-1992), est présenté aussi comme étant le père de l’initiative démocratique en Algérie à partir de 1989, il met fin au système du parti unique en engageant le pays dans le multipartisme, libère l’expression politique de la répression de la police politique, met fin aux mesures de restriction de quitter le territoire national. Le 4 janvier 1992, il dissout l’Assemblée populaire nationale (APN) sortante. Le 11 janvier 1992, il remet sa démission au président du Conseil constitutionnel Abdel Malek Benhabylès. Le Haut Conseil de Sécurité (HCS) annule les législatives le 12 janvier 1992. Après les événements de janvier 1992, il est assigné à résidence jusqu’en 1999.

Devant le danger latent des islamistes et la montée de l’extrémisme, les généraux janviéristes, qu’il a lui-même placés, décident d’interrompre le processus électoral qui a permis au FIS de gagner aux élections législatives. Cette opération a entraîné la société dans des affrontements qui mèneront le pays à la guerre civile qui durera dix ans. Mohamad Boudiaf, chef historique de la guerre d’indépendance, succédera à Chadli Bendjedid pour une présidence éphémère, victime d’un attentat à la bombe. Ali Kaffi (1992-1994) succédera à Mohamad Boudiaf, avant de céder la place à Liamine Zeroual).

« Ces messages répétitifs ont blessé l’amour propre du général Chazli d’autant plus vivement que les démarches émanaient de dirigeants algériens appartenant à la ‘clique janvieriste’ » (les apparatchiks artisans du coup de force ayant abouti à la démission du président Chadli Bendjedid) se situant dans la mouvance du parti colonialiste français).

Après avoir interrompu le processus électoral, cette nomenklatura a fait part à l’exilé égyptien de son intention d’abréger son séjour en Algérie, soucieuse de ne pas abriter un opposant de premier plan au régime égyptien hostile aux accords de Camp-David, fermement appuyés par l’OTAN, dont la présence en Algérie signait, dans l’ordre symbolique, l’appartenance de l’Algérie à la mouvance du combat de libération national arabe.

… « Le général Saad Eddine Chazli a finalement décidé de retourner en Égypte en dépit des poursuites judiciaires dont il faisait l’objet sous le mandat d’Hosni Moubarak, successeur du président assassiné Anouar El Sadate ».

… « Chazli a été effectivement arrêté à son arrivée à l’aéroport du Caire se heurtant à des tracasseries administratives et judiciaires avant que sa situation ne se stabilise sous la forme de son placement en résidence surveillée ».

… « Ironie du destin, Chazli décédera dans les jours qui ont suivi la destitution d’Hosni Moubarak par la hiérarchie militaire, en janvier 2011, dans la foulée du soulèvement du peuple égyptien dans la séquence dite du printemps arabe ».

Fin du récit du journaliste Yaacoubi.

La morale de l’Histoire pourrait être la suivante : La diplomatie embellit l’Histoire en en atténuant ses aspérités, mais « en même temps » dessert la vérité de l’Histoire et partant l’Histoire elle même.


source : https://www.madaniya.info

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Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

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