Le SARS-COV-2 est une bioarme, le reste est une vaste escroquerie

Le SARS-COV-2 est une bioarme, le reste est une vaste escroquerie

Les médias dits Mainstream ou dominants, remettent en avant la thèse de l’origine humaine du SARS-nCoV-2.

Érigés désormais en censeurs universels et arbitres de la pensée politiquement correcte, les géants du numérique approuvent une thèse selon laquelle ce vecteur biologique serait une bioarme. Une thèse considérée comme complotiste et rejetée durant des mois. 

Le SARS-CoV-2 est une bioarme à faible létalité mais à haut potentiel. Ce vecteur n’est qu’un parmi une panoplie comptant plus de 230 autres virus, macrovirus, microbes, germes, champignons et parasites. 

On l’a affirmé ici depuis le début sans nous soucier de la propagande ambiante. Demeurait le mystère de son origine.

L’Empire accuse nommément la Chine d’être à l’origine de cette bioarme parce qu’elle est apparue à Wuhan au quatrième trimestre 2019. Plus précisément, la Chine est accusée de négligence ayant abouti à un incident malencontreux. Une sorte de fuite accidentelle. Ce que Beijing rejette d’un revers de la main en accusant Washington d’avoir préparé ce vecteur bien avant son apparition à Wuhan dans un de ses très nombreux laboratoires de guerre biologique disséminées sur l’ensemble de la planète.

De manière plus précise, les Chinois pointent du doigt Fort Detrick, à Frederick, dans le Maryland. Cette installation fut le cœur du programme biologique militaire US de 1943 à 1969. C’est dans cette installation que fut modifié le virus d’Ebola avant son expérimentation en Afrique occidentale.

C’est un changement de discours assez important. La thèse du pangolin est enterrée. C’était une trouvaille d’une agence de communication ayant confectionné le logo de Daech® et d’autres organisations terroristes pour les besoins de l’ancienne stratégie de la tension permanente et de la guerre sans fin pour le profit. Ce paradigme étant caduc, un recyclage s’imposait. Le retour du paradigme de la Guerre froide 2.0 voulait que l’on passe d’Al-Qaïda® au pangolin.

Ce qui fut fait au milieu d’une crédulité semblable à celle des foules du Moyen-âge terrifiées par la menace d’excommunication.

Ce qui est certain est que nous avons donc eu affaire à une bioarme.  Le reste importe puisqu’il y a eu une immense manipulation mensongère autour de cet incident. Le port d’une muselière humaine fut une idée burlesque née d’une blague sur les asiatiques. Elle fut imposée comme un expédient pour un surplus d’imposition par de nombreux pays.

Le monde est une boutique de farce et attrapes…

Source: Lire l'article complet de Strategika 51

À propos de l'auteur Strategika 51

« Portail indépendant de l’information stratégique asymétrique et non linéaire. »Journal of a Maverick. A Pre-Socratic and a Non-linear Observer of the World. Carnet de bord d'un observateur de crise, pré-socratique, iconoclaste et évoluant en mode non-linéaire.Contact: strategika51link@gmail.com

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Recommended For You