Sacrifier nos enfants avec un « vaccin » expérimental ne sauvera pas nos aînés

Sacrifier nos enfants avec un « vaccin » expérimental ne sauvera pas nos aînés

de Nicole Délepine

Alors que depuis un an, nous nous efforçons de rappeler que les enfants sont « innocents du covid-19 », qu’ils ne transmettent pratiquement pas le virus, ni aux autres enfants ni aux adultes, nous découvrons avec horreur les projets de vaccination large des enfants de l’UE dans le fallacieux espoir d’interrompre la transmission virale avec des vaccins.

Ne jetons pas aux oubliettes plus de deux millénaires de progrès. Ne nous conduisons pas comme les Carthaginois du roman de Flaubert[2] en exposant des enfants innocents au Dieu vaccin Covid19 qui deviendrait alors le digne héritier du dieu Moloch.

Il est urgent d’agir, de se réveiller, de refuser de sacrifier nos enfants à nos angoisses amplifiées par la propagande terrorisante des médias aux ordres de quelques milliardaires qui tentent de transformer notre civilisation, voire de la liquider.

Les enfants ne risquent rien du coronavirus

L’étude de la littérature internationale démontre que les enfants ne sont pas menacés par cette épidémie.

Toutes les séries rapportées,[3] tous les relevés nationaux et internationaux confirment tous que le Covid-19 est rare et presque toujours bénin chez l’enfant, et qu’il risque moins du Covid-19 que de la grippe saisonnière.

Aucun mort uniquement dû au Covid-19 n’a été recensé en France depuis quinze mois sur près de douze millions d’enfants âgés de moins de quinze ans (les trois morts testés PCR positifs étaient de grands immunodéprimés) alors que la grippe a fait en moyenne 8 victimes annuelles dans ce groupe d’âge.

L’OMS confirme que les enfants ne risquent pratiquement rien.

Chez les enfants, ce risque infime fait qu’aucun bénéfice individuel ne peut être espéré de la vaccination, alors que des complications post-vaccinales parfois graves, allant jusqu’à la mort, sont rapportées dans les médias.

Les enfants ne transmettent pas le virus

Les médias et le gouvernement tentent de nous effrayer avec des enfants dépistés positifs, mais ne précisent jamais que les asymptomatiques dépistés « positifs » ne sont pas des malades, n’excrètent pas le virus et ne peuvent donc pas contaminer leur entourage.

Si beaucoup d’émissions TV ou radio nous présentent « Mme Duchnok dont le fils aurait contaminé le professeur », aucune étude scientifique sérieuse ne l’a démontré. Parmi les 11 703 études internationales recensées sur la base de données PubMed le 25 avril 2021 sous les termes « Children Covid19 » dont 1849 avec « Children Covid19 transmission », on n’en trouve aucune qui rapporte avec certitude la contamination d’un autre enfant ou même d’un adulte en éliminant toutes les autres sources possibles.

Plus de 20 études épidémiologiques dans une dizaine de pays ont recherché opiniâtrement des contaminations à partir d’enfants de moins de 15 ans : aucune n’a pu mettre en évidence un seul exemple réellement probant.

L’étude de l’INSERM[4] est très démonstrative. L’enfant des Contamines a été en contact, alors qu’il était malade, avec 172 personnes, dont 112 élèves et professeurs dans trois écoles et un ski-club. Il n’a contaminé personne, même pas les deux autres enfants de sa fratrie. Et l’infection apportée de Singapour par un adulte est restée cantonnée aux occupants du chalet.

L’étude de l’institut Pasteur sur les écoles primaires de Crépy-en-Valois[5] a porté sur 1 340 personnes, dont 139 infectées (81 adultes et 58 enfants). Parmi 510 élèves de six écoles primaires, ils ont identifié trois enfants de trois établissements différents qui étaient infectés au moment où les écoles étaient encore ouvertes. Aucun de ces trois enfants n’a contaminé quiconque, qu’il s’agisse d’autres élèves ou d’adultes.

L’étude Coville[6] du groupe Activ (Association clinique et thérapeutique infantile du Val-de-Marne) dirigé par le professeur Robert Cohen, vice-président de la Société française de pédiatrie, a porté sur 600 enfants de la naissance à l’âge de 15 ans et permet de conclure que :

« sans histoire de Covid parental, l’enfant n’a rien. »

Aux Pays-Bas, les enfants âgés de 0 à 17 ans ne représentent que 1,3 % de tous les patients déclarés avec Covid-19, bien qu’ils représentent 20,7 % de la population. Seulement 0,6 % des hospitalisations signalées concernaient des enfants de moins de 18 ans et il n’y a pas de cas d’enfants décédés du Covid-19. Une étude des ménages aux Pays-Bas a rapporté des données sur 116 enfants de 1 à 16 ans[7] et les résultats préliminaires ont montré que rien n’indique que les enfants de moins de 12 ans aient été les premiers infectés de la famille.

En Irlande[8], avant la fermeture des écoles aucun cas de contamination scolaire n’a été détecté parmi les 924 enfants et 101 adultes au contact de six infectés (trois enfants, trois adultes).

En Australie,[9] 9 élèves et 9 membres du personnel infectés par le SRAS-CoV-2 dans 15 écoles ont eu des contacts étroits avec un total de 735 élèves et 128 membres du personnel. Seules 2 infections secondaires ont été identifiées, aucune chez le personnel adulte. 1 élève du primaire a été potentiellement infecté par un membre du personnel.

En Suisse[10]: sur un total de 4 310 patients atteints du SRAS-CoV-2, 40 étaient âgés de moins de 16 ans (0,9 %). Parmi les 111 contacts familiaux positifs des enfants étudiés, les mères prédominaient (n = 39), suivies des pères (n = 32), des frères et sœurs pédiatriques (n = 23), des frères et sœurs adultes (n = 8) et des grands-parents (n = 7).

En Finlande, un enfant de 12 ans qui allait à l’école durant sa maladie a été en contact avec 121 personnes et n’en a contaminé aucune.

En Grèce,[11] l’analyse épidémiologique de 23 clusters touchant 109 personnes (66 adultes et 43 enfants) n’a retrouvé aucun cas de transmission à partir d’un enfant.

À Singapour,[12] deux écoles primaires et une école secondaire ont constaté des covid-19 infantiles. Aucun des 34 contacts identifiés des écoles primaires ne s’est révélé positif. Parmi les 77 contacts de l’école secondaire, 8 ont développé des symptômes grippaux, mais aucun d’entre eux n’a été testé positif.

Sur les plus de 11 180 articles ayant pour sujet l’enfant et le Covid-19 répertoriés par PubMed le 9/4/2021 et les 1794 spécifiquement dédiés à la transmission éventuelle par les enfants, aucun n’apporte la preuve d’une transmission d’un enfant à un autre enfant ou à un adulte dans le monde réel.[13]

Les seuls articles qui évoquent cette possibilité se basent sur la charge virale ou sur des modélisations aux hypothèses fausses.

Certes des enfants scolarisés peuvent être malades ou testés positifs, mais chez les asymptomatiques, il s’agit le plus souvent de faux positifs (plus de 90 %), ou d’infections anciennes qu’ils ont contractées à domicile et dont ils sont guéris.

La fréquence de ces faux positifs chez les asymptomatiques est considérable : 97 % des cas lorsque le test PCR est réalisé avec un nombre de cycles d’amplification trop élevé). L’OMS a récemment recommandé de toujours considérer l’état clinique avant d’interpréter un test qu’elle ne juge pas utile pour un dépistage massif.

La parfaite inutilité des dépistages systématiques a été démontrée par les plus massifs d’entre eux, celui de Wuhan portant sur près de 10 millions de Chinois : aucun des asymptomatiques PCR positifs ne s’est révélé excréteur de virus, n’est devenu malade ni n’a contaminé quiconque.

Les transmissions scolaires sont possibles, mais toutes celles qui ont fait l’objet d’une enquête épidémiologique sérieuse montrent qu’elles sont liées au personnel adulte. Comme les enfants sont innocents de la transmission de la maladie, leur vaccination, même si elle était efficace et sans danger ne servirait à rien pour protéger les autres.

Allons-nous répéter les expériences nazies des vaccins ?

L’Association Médicale Mondiale (AMM) a élaboré la Déclaration d’Helsinki comme un énoncé de principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains.

Le Serment de Genève de l’Association médicale mondiale lie le médecin dans les termes suivants : « La santé de mon patient sera mon premier souci »

et le Code international d’éthique médicale énonce que « le médecin devra agir uniquement dans l’intérêt de son patient lorsqu’il lui procure des soins qui peuvent avoir pour conséquence un affaiblissement de sa condition physique ou mentale ». Dans la recherche médicale sur les sujets humains, les intérêts de la science et de la société ne doivent jamais prévaloir sur le bien-être du sujet.

Proposer ou prôner un vaccin expérimental à des enfants pour protéger autrui viole donc aussi les principes éthiques de la médecine.

Moderna et Pfizer ont annoncé récemment qu’ils commençaient des essais de leurs « vaccins » anticovid (de fait injections d’ARNm COVID) sur des enfants âgés de 6 mois à 11 ans. Plusieurs essais sont déjà visibles sur la base de données internationale clinicaltrials.gov disponible pour tous.

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Moderna a actuellement un essai en cours avec des enfants âgés de 12 à 17 ans avec environ 3000 participants.
Sacrifier nos enfants avec un « vaccin » expérimental ne sauvera pas nos aînés

Ces essais thérapeutiques sans intérêt médical ne sont pas sans risque : une jeune fille de 12 ans nommée « Maddie » en est déjà la victime, paraplégique.[14]

Si vous lisez en détail le descriptif de l’essai thérapeutique (tapez Covid19, Moderna ou Pfizer par exemple et children), vous voyez qu’est exigé le « consentement éclairé » des parents. Comment ce consentement peut-il être véritablement éclairé alors que cette maladie ne touche pas les enfants et qu’ils ne la transmettent pas aux adultes ? Même si tel était le cas, il ne serait pas éthique de se servir des enfants pour protéger d’autres humains et contraire au code de Nuremberg qui spécifie clairement que l’avantage supposé doit d’abord être direct. Quel bénéfice-risque quand la maladie est absente dans cette tranche d’âge ?

Le code de Nuremberg suivi des conventions d’Helsinki et d’Oviedo est formel. Ne pas les respecter nous ramène au temps des nazis. Sacrifier des enfants à la recherche est inacceptable. Mais à quelle époque cela nous ramène-t-il ? Comment pouvons-nous en arriver là ? Le sacrifice de son enfant à des fins de pratiques occultes a existé tout au long de l’histoire humaine. En est-on revenu à ces coutumes au moment où l’on s’apprête à conquérir Mars ? Ou bien les élites ont-elles comme certains le prétendent usé de pratiques infâmes qu’elles chercheraient à laver ?

La science corrompue suit une dérive sectaire

Les humains vivant en 2020 ont-ils été tellement paniqués par cette mascarade du coronacircus qu’ils ont besoin, comme de lointains ancêtres, de sacrifier aux puissances occultes qu’ils imaginent leur avoir infligé cette pandémie ?

« Les hommes ont toujours cherché à s’attirer les bonnes grâces de la divinité en particulier par la pratique des sacrifices. Sacrifier, c’est “faire sacrer” : une offrande passe dans le domaine divin et, en retour, le prêtre transmet des dons du ciel, tels que bénédictions, instructions, pardon ».

[15]

« Sacrifices humains ? Le sacrifice humain est considéré comme une abomination en Israël et Juda… où cette pratique a néanmoins existé ! Sous l’influence des peuples voisins ? À Gezer (à mi-chemin entre Jérusalem et la Méditerranée, au N-O), près d’un lieu de culte cananéen, on a retrouvé des squelettes d’enfants. Au IXe siècle av. J.-C., un prince de Jéricho sacrifie son fils aîné lors de la reconstruction de la ville (1 Rois 16,34). À Jérusalem, au VIIIe siècle, les rois Achaz et Manassé commettent des actes semblables (2 Rois 16,3 et 21,16). Au VIIe siècle, le prophète Jérémie témoigne : “Les Judéens érigent le tumulus de Tafeth pour que leurs fils et leurs filles y soient consumés par le feu” (7,31). En cas de détresse, offrir ce que l’on a de plus cher demeure donc une tentation constante et cela, jusqu’au moment de l’Exil. Après l’Exil, quand le livre de l’Exode est mis en forme, il sera affirmé que tout premier-né “appartient” au Seigneur, mais qu’il faut le “racheter” par un animal (Ex 13,2.13 et 34,19-20) : le Seigneur est le Dieu de la vie »., © SBEV. Maurice Autané.

Une telle croyance est basée sur la peur, et ceux qui vendent cette peur agissent pour les intérêts de ceux qui vendent les « médicaments » pour nous protéger soi-disant de la chose redoutée. Tout au long d’une grande partie de l’histoire, la « santé » a été considérée principalement comme une question spirituelle, et si l’on était « malade », on rendait visite à un « prêtre » en son temple pour trouver comment apaiser les esprits, ou les dieux par une offrande, un ex-voto. »

On peut se demander si la « science » absolutiste qui a oublié le doute fécond et la discussion ouverte indispensable aux progrès n’a pas remplacé la religion de plus en plus absente de notre civilisation occidentale. La fameuse prophétie de Malraux (ou pas) sur « le XXIe siècle qui sera religieux ou spirituel ou ne sera pas » s’illustre au mieux dans nos nouvelles pratiques quasi barbares.

Les nouveaux ayatollahs des plateaux télé qui prétendent tout savoir, tout prévoir et veulent tout imposer relèvent plus de la secte que de la vraie science noyée par la corruption, tricheries, et manipulations élaborées. Ils sont même apparemment prêts à imposer des pratiques ancestrales et cruelles comme le SACRIFICE de nos enfants à travers une expérimentation mondiale de produits susceptibles de modifier le patrimoine génétique de l’humanité s’ils sont injectés à suffisamment de cobayes. Tragédie moderne.

« Les gens font confiance à ces autorités pseudo médicales ou pseudoscientifiques de la même manière que les croyants font confiance aux prêtres, pasteurs, imams ou autres autorités religieuses. Ces parents ignorants qui inscrivent leurs enfants à des essais expérimentaux covid-19 “vaccin” suivent le même chemin que les anciens qui ont écouté les autorités responsables de leur époque, et ont sacrifié leurs enfants aux prêtres pratiquant la sorcellerie ou la magie, leur faisant confiance et croyant qu’ils faisaient réellement quelque chose de bien pour eux-mêmes et leurs familles. »

Comment protéger vraiment nos vieillards ?

Les pays européens qui ont suivi les consignes de Ferguson et de l’OMS (confinement généralisé et absence de traitement précoce) souffrent des mortalités covid19 les plus élevées par million d’habitants (au 25/4/21 : 2070/M pour la Belgique, 1940/M en Italie, 1877/M au Royaume-Uni, 1563 en France).

Nos gouvernants ont parié que la fin de crise serait obtenue par des traitements nouveaux ou des vaccins, mais le Remdesevir s’est révélé un traitement hors de prix toxique et incapable de diminuer la mortalité.

Les vaccins actuels apparaissent beaucoup moins efficaces et plus toxiques que proclamés par les communiqués de victoire des laboratoires et incapables de prévenir la transmission. O Veran l’a reconnu ainsi dans un mémoire récent au Conseil d’État « les personnes vaccinées peuvent cependant demeurer porteuses du virus et ainsi contribuer à la diffusion de l’épidémie ». De plus d’après les membres du comité scientifique dont Delfraissy[16] les vaccins suscitent l’apparition de variants contre lesquels ils sont inopérants : « Des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus (de type sauvage) antérieurs, voire à un vaccin. … La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, car de nouvelles variantes émergent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme.

À ce jour l’Inde a subi le plus grand nombre mondial de contaminations (16 960 172 cas confirmés) et malgré la faiblesse de son réseau de soin elle compte proportionnellement dix fois moins de victimes que la France (148/M contre 1563/M) et la décision de son comité sanitaire de recommander des traitements précoces et même parfois préventifs (dont la chloroquine) en est certainement responsable.

Boris Johnson a enfin compris que les vaccins ne constituent pas la solution et l’importance de traiter précocement l’infection pour prévenir les aggravations[17] ; il vient de débloquer des fonds conséquents pour réaliser des essais et promet : “avant la fin de l’année, les Anglais infectés pourront être soignés à domicile avec des médicaments, pour réduire le besoin de lits d’hôpital”.

Serons-nous encore une fois les derniers à admettre l’importance des traitements précoces ?

Pour sauver nos vieux, il ne faut pas vacciner les enfants ;
il faut laisser les médecins prescrire !

 

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Sacrifier nos enfants avec un « vaccin » expérimental ne sauvera pas nos aînés

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