Réseaux sociaux – Les instruments pervers du pouvoir

Réseaux sociaux – Les instruments pervers du pouvoir

par Eric Montana.

« Si une entreprise est construite sur la tromperie des utilisateurs, sur l’exploitation des données personnelles et sur des choix qui n’en sont pas, elle ne mérite pas des éloges, elle mérite d’être réformée », a lancé, dans une allusion à peine voilée à Facebook, Tim Cook, le patron d’Apple.

Les utilisateurs des réseaux sociaux comme Facebook, YouTube et Twitter l’auront constaté : la censure s’est considérablement aggravée depuis un an, faisant passer la censure de l’ancienne Union soviétique pour un amateur.

Aux États-Unis, cette censure a visé le Président Trump, ses partisans et les adeptes de Qanon. Des centaines de milliers de leurs comptes ont été arbitrairement et abusivement fermés pour les réduire au silence. Ces réseaux sont devenus de fait des acteurs politiques puisqu’en procédant de la sorte, ils ont non seulement porté atteinte au droit à la liberté d’expression mais ont outrageusement favorisé un camp contre l’autre.

C’est peu de dire que malgré les casseroles que se trainent lui et sa famille, le camp Biden et les « démocrates » ont bénéficié d’un traitement plus que favorable, puisque Facebook et Twitter rendaient inopérants tous les liens renvoyant sur des sites d’information qui révélaient les sordides liens d’argent du fils Hunter avec l’Ukraine ou avec la Chine, ses penchants pédophiles, les images qui le démontraient, les preuves qui les étayaient.

De fait, ces réseaux sociaux se sont rendus complices d’un groupe politique qui n’a pas hésité à truquer les élections américaines et a permis à une caste de criminels de mettre la main sur le pays le plus puissant du monde, grâce à une censure massive de l’information.

Puis vient l’opération Covid dont nous savons aujourd’hui que c’est une autre opération criminelle puisque beaucoup de scientifiques, de virologues, de microbiologistes affirment qu’un virus génétiquement modifié ne peut pas être naturel et qu’il n’a pu être conçu qu’en laboratoire. Nous sommes dans le plus grand crime de l’humanité de l’Histoire et ce sont les avocats internationaux qui l’affirment !

Et pour s’en convaincre, il suffit juste de voir comment YouTube supprime systématiquement les vidéos qui évoquent la question, comment Facebook a dans un premier temps utilisé le fast-checking confié à des médias de propagande et présentés malgré ça comme « organes d’information » de référence, pour accompagner les articles publiés par des journalistes libres et indépendants, de messages de mise en garde, ayant pour but de susciter le doute dans l’esprit des lecteurs et décrédibiliser l’auteur en cataloguant les publications de « partiellellement fausses » ou « fausses ».

C’est ainsi que nombre de journalistes indépendants dont votre serviteur, ont fait l’objet d’avertissements répétés et d’exclusions pour des périodes allant d’une semaine à un mois. Même Jean Claude Bourret qui ne peut pas être soupçonné d’être subversif, avait publié des articles sur le Covid – articles qui posaient à juste titre des questions auxquelles nous souhaitons tous des réponses – a fait l’objet de censures répétées et finalement d’une longue exclusion de Facebook, décidant à bout de patience de migrer vers le réseau social russe VK, paradoxalement,  infiniment plus respectueux de la liberté d’expression.

Depuis un an les lanceurs d’alerte comme Silvano Trotta a vu son compte Facebook fermé, sa chaîne YouTube supprimée, son compte Twitter avec plus de 5 millions d’abonnés ! censuré puis fermé, notre confrère, le journaliste canadien Alexis Cossette Trudel a subi le même traitement, et tant d’autres avec eux.

Cette politique démontre que les réseaux sociaux américains ne sont pas au service de la liberté d’expression mais de la pensée unique et des mafias politiques et financières.

Des personnalités comme Robert F. Kennedy grand avocat américain et bête noire des labos pharmaceutiques, le propre neveu du Président John F. Kennedy et fils de l’ancien ministre de la Justice Bob Kennedy, frère du président assassiné et lui même assassiné, voit toutes ses vidéos supprimées par YouTube dès lors qu’il parle du Covid, de Bill Gates ou des vaccins.

Moi-même je viens d’être à nouveau exclu de Facebook pour avoir publié un article sur le scandale du vaccin AstraZeneca.

À ce stade, il ne s’agit plus de modération ou de « non respect des standards de la communauté » mais d’une volonté manifeste de cacher la vérité et d’empêcher d’autres points de vue de s’exprimer.

Facebook, YouTube et Twitter viennent de montrer leurs vrais visages. Ils sont non seulement des instruments sophistiqués d’espionnage de nos vies privées, des collecteurs abusifs et des marchands cupides de nos données, des délateurs sans scrupules collaborant avec les services de police et les forces de la répression des États, mais d’ignobles censeurs au service des puissances financières et politiques, ayant pour mission d’empêcher toute forme de pensée et de réflexion critique qui mettraient en danger leur abject Nouvel Ordre Mondial et le pouvoir des élites dont eux-mêmes font partie.

Alors oui, les réseaux sociaux américains ont été une révolution numérique et par la tromperie, par le mensonge, par la gratuité de leur utilisation, ont su ferré des milliards d’individus confiants qui voyaient là un moyen d’élargir leurs relations et d’entretenir et développer leur vie sociale. Appâtés comme des poissons, nous avons tous mordu à l’hameçon. Sous prétexte de connecter les citoyens du monde, on les a piégés et exploités comme de vulgaires pigeons. Machiavélique.

« Si une entreprise est construite sur la tromperie des utilisateurs, sur l’exploitation des données personnelles et sur des choix qui n’en sont pas, elle ne mérite pas des éloges, elle mérite d’être réformée », a lancé, dans une allusion à peine voilée à Facebook, Tim Cook, le patron d’Apple.

Aujourd’hui Facebook annonce qu’il va renforcer la censure, l’étendre aux groupes et supprimer de son réseau tous ceux qui sont critiques vis à vis des vaccins, tous ceux qui s’interrogent sur les zones sombres de ce virus, tous ceux qui cherchent à comprendre les motivations de ceux qui l’ont fabriqué, tous ceux qui dénoncent les gouvernements qui l’utilisent comme alibi pour restreindre nos libertés.

Quand on comprend la vraie mission de ces réseaux sociaux, il devient inévitable qu’il y ait une réaction. Aux États-Unis où les gens ont une longueur d’avance car ils ont subi la censure massive avant nous, des millions d’esprits éveillés ont quitté ces réseaux pour se réfugier sur GAB, sur Telegram, sur Parler, sur Odysee.

En Europe, beaucoup ont rejoint le réseau russe VK et ZoneFR le réseau francophone où la liberté d’expression est respectée et où la censure est bannie.

Nul doute que ZoneFR qui est relativement jeune va attirer de plus en plus d’internautes. D’abord parce que la population francophone représente plus de 300 millions d’êtres humains. Ensuite il est impensable que pour échapper au monopole et à l’arbitraire américain, la francophonie ne dispose pas de son propre réseau.

Mais le plus important sur ZoneFR n’est pas seulement que ce réseau dispose de son propre YouTube intégré nommé ZoneTube, d’un espace d’information libre et indépendant en accès gratuit nommé Mediazone, d’un fil d’actualité comme sur Facebook et de la possibilité d’y faire des Live en direct. À la différence des réseaux américains qui appartiennent à des sociétés privées, ZoneFR appartient grâce à une structure de coopérative, à tous ses utilisateurs, moyennant un ridicule abonnement de 2€ (deux euros !) par mois ! 2€ par mois pour mettre en ligne toutes les vidéos que l’on voudra sans crainte de voir sa chaîne censurée ou supprimée, pour pouvoir faire des Live ou des vidéoconférences avec des correspondants dans le monde entier sans être fliqués, ouvrir notre propre blog pour s’exprimer, partager nos articles à volonté, commenter l’actualité, communiquer avec d’autres « zoneurs » grâce à un Messenger interne, etc, etc.. Un réseau bien plus riche de fonctions que ne le sera jamais Facebook.

Et là, on a la garantie de ne pas être éjecté pour un motif futile, pour une publication allant à l’encontre de la pensée unique, pour une critique de la vaccination ou du pouvoir. De plus, le jour où l’on décide de quitter le réseau, nos données disparaissent avec nous parce que ZoneFR ne les garde pas pour les revendre, n’est pas une balance, un indic ou un collabo des forces de la répression !

Et à titre personnel, ayant cerné la vraie nature et la vraie mission des réseaux américains, je m’y suis réfugié depuis octobre 2020 car indépendamment du fait que je suis régulièrement censuré et exclu par Facebook, j’ai trouvé dans la Mediazone de ZoneFR, un espace de liberté qui me permet de m’exprimer. Et mes articles soumis au shadow-ban sur le réseau américain pour en limiter la visibilité et la lecture, sont lus sur le réseau francophone, par des milliers, des dizaines de milliers, des centaines de milliers d’internautes chaque jour.

Sur Mediazone j’ai plus de lecteurs que Le Monde et Libération réunis. Je tiens d’ailleurs à remercier Jean Christophe Chavanon et Walter Davin les membres fondateurs de ZoneFR pour la confiance qu’ils me témoignent et pour leur respect de la liberté d’expression.

ZoneFR regroupe les esprits libres et éveillés, les gens qui partagent un même amour pour la liberté, des êtres humains qui ont en commun des valeurs de solidarité, de fraternité, de bienveillance. Ces internautes représentent déjà l’amorce de la nouvelle société, conscients que ce Système est à l’agonie et du fait qu’il va falloir bâtir un monde nouveau. Sur ZoneFR on a l’agréable sensation de retrouver notre humanité au milieu de gens qui nous ressemblent et avec qui on a envie de vivre, de partager et de bâtir un monde meilleur.

Ces réseaux américains ont démontré leur perversité, leur cupidité, leur intolérance, leur stupide et abusive hégémonie et leur aptitude à la trahison, à la délation, à la tromperie et à la manipulation.

Nous allons donc vivre une contre-révolution numérique et il n’y a pas besoin d’être prophète pour dire que Facebook le manipulateur va se dégonfler comme une baudruche, lentement mais sûrement, que YouTube le censeur est déjà lourdement concurrencé par Odysee, Ramble et bientôt ZoneTube et que nous laisserons Twitter aux gazouilleurs de l’inutile.

source : https://mediazone.zonefr.com

Source : Lire l'article complet par Réseau International

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À propos de l'auteur Réseau International

Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

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