Génération identitaire, dans les Alpes et les Pyrénées (ou dans le métro lillois), n’a tué ou blessé personne : le groupe nationaliste a juste bloqué les arrivages de migrants convoyés par les Cédric Herrou – le chouchou de la LICRA – locaux. Cela a suffi pour se retrouver dans le viseur de l’Intérieur, qui ne défend plus les Français depuis longtemps, et qui montre les crocs uniquement contre les patriotes et les islamistes, les chrétiens et les musulmans. Comme par hasard.
Le porte-parole objectif du CRIF, de la LICRA, du Grand Orient et de la Ligue des droits de l’homme, ces entités qui constituent « la République », communique :
« J’ai effectivement été particulièrement scandalisé par le travail, si j’ose dire, de sape de la République des militants de Génération identitaire qui n’en sont pas à leur premier coup d’éclat, c’est le moins qu’on puisse dire. J’ai donc demandé aux services du ministère de l’Intérieur de réunir les éléments qui permettraient au ministre de l’Intérieur de proposer la dissolution de Génération identitaire. Je sais que le ministère y travaille. Il le fera évidemment dans le cadre des lois et des règlements de la République en proposant notamment, une fois que ces éléments seront particulièrement réunis, le contradictoire qui est dû à chaque association, et si les éléments sont – comme je l’ai fait pour les autres associations que j’ai proposées en dissolution au conseil des ministres – réunis, je n’hésiterai pas à proposer la dissolution de Génération identitaire. »
Dans une France à l’envers, où le nationalisme est un crime et où l’immigration clandestine a presque tous les droits, la décision ou l’annonce de la décision prochaine du petit ministre de l’Intérieur sarkozyste n’étonne pas. Sarkozy, il y a quinze ans, a fait croire aux électeurs de droite libérale et de droite nationale qu’il allait prendre le problème de la sécurité à bras-le-corps, et vas-y que je te mate les racailles, et vas-y que je te limite l’immigration de masse, et vas-y que je te valorise l’identité nationale.
En réalité, depuis ces discours creux, les ministres de l’Intérieur qui se sont succédé, qu’ils soient de droite ou de gauche, ont tous appliqué à la lettre les consignes de la LICRA et du CRIF : criminaliser le nationalisme français, la défense de notre territoire, la défense des Français, et valoriser l’apport extérieur de clandestins, même si, parmi eux, se cachent des malades mentaux, des terroristes, et plus généralement des individus qui n’aiment pas notre pays. Les petits soldats de Soros entrent chez nous comme dans du beurre pour déstabiliser le vivre-ensemble, modifier notre culture, détruire le mince filet social, et servir de proxies aux commanditaires du terrorisme qui bénéficie au pouvoir profond.
Serviles, les médias mainstream suivent les injonctions des forces occultes qui conseillent de salir tous les mouvements nationaux et de faire pleurer sur le sort des pauvres migrants qui viennent avec leur misère rendre notre paupérisation néolibérale acceptable.
Les opérations non violentes anti-migrants dans les Alpes ou les Pyrénées ne font que palier l’extrême permissivité de nos autorités politiques qui jouent les migrants contre les Français. Ces derniers (au sens propre et au sens figuré), déjà affaiblis par les frappes fiscales et budgétaires néolibérales, doivent en outre financer cette invasion et ses conséquences dramatiques.
« Génération identitaire a mené la semaine dernière une opération anti-migrants entre Luchon (Haute-Garonne) et l’Espagne. Mardi dernier, une trentaine de militants de GI «dans des voitures sérigraphiées ’Défend Europe’» se sont ainsi installés au Col du Portillon, certains sont «partis en randonnée» et utilisant «un drone» pour surveiller la frontière. Selon un message de Génération identitaire posté sur les réseaux sociaux, cette campagne entendait lutter contre le «risque terroriste et migratoire dans les Pyrénées». » (BFM TV)
Après cette action somme toute symbolique, la présidente socialiste de la région Occitanie, Carole Delga, a demandé à l’Intérieur la dissolution de « ce groupuscule d’extrême droite violent et dangereux », comme quoi la collusion LRPS sur ce sujet n’est pas une lubie.
La morale de cette triste histoire, c’est que les lois françaises ne valent plus rien, seuls comptent les réseaux de pouvoir occultes qui traversent le gouvernement et le changent en perroquet. La franc-maçonnerie et le lobby sioniste (à l’exception de sa composante nationale-sioniste, et encore, un Goldnadel est capable de jouer sur les deux tableaux, pro et anti-immigration) sont favorables au choc migratoire, destiné à semer la zizanie droite/gauche dans notre pays et à anéantir toute résistance nationale au mondialisme.
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