Recette pour une « pandémie » perpétuelle et référendum urgent

Recette pour une « pandémie » perpétuelle et référendum urgent

par Jean Dominique Michel.

Les autorités (dans nos différents pays) jouent d’un sacré double paradoxe, de ceux qui ne font pas du bien : d’une part, alors que la loi telle qu’elle existe leur fournit déjà tous les moyens dont elles disent avoir besoin pour gérer une endémie comme celle à laquelle nous faisons face, elles prétendent qu’un droit d’exception durable serait pourtant nécessaire.

Et alors que ces nouveaux droits d’urgence en voie d’être imposés présentent certaines caractéristiques de systèmes totalitaires, elles nous invitent à nous rassurer (et à avaler docilement la pilule) au motif que, précisément, nous ne sommes pas en dictature.

Le débat helvétique est un modèle du genre : la loi Covid prévoit ainsi expressément la possibilité d’imposer une vaccination généralisée – contraire au droit de la santé telle que la Déclaration de Nuremberg, au sortir de la guerre et des atrocités nazies, l’avait coulé dans le bronze : nul acte médical ne peut être imposé de force à quiconque contre son gré !

Or on nous explique depuis qu’il est hors de question qu’une vaccination générale soit imposée. Peut-être (et alors tant mieux) mais alors pourquoi diable inscrire cette possibilité dans la loi ?!

On connaît la pente (c’est la tactique du pied dans la porte du vendeur d’aspirateur) consistant à proposer une mesure prétendument utile. Puis, les journalistes (qui ressemblent de plus en plus dans les médias mainstream à de vulgaires VRP des pharmas) commencent à demander à leurs invités triés sur le volet s’il ne conviendrait pas quand même de rendre ces mesures obligatoires étant donné la mauvaise volonté (et donc la mauvaise influence) des mauvais esprits.

On rejoue de la peur de la mort un grand coup et hop ! le tour est joué, la population effrayée comme une harde de biches, d’hères et de faons de se précipiter dans les filets du chasseur…

Je partage donc ici le lien vers le site du référendum helvétique contre la loi Covid-19 qui foule aux pieds plusieurs garanties fondamentales de notre état de droit et de la Constitution Fédérale. Tout démocrate digne de ce nom devrait à mon sens le signer, quelle que soit sa position sur la loi en question. Parce qu’un objet de cette importance, dans une démocratie semi-directe, doit être décidé par la volonté du peuple souverain et non des parlementaires lourdement influencés par les lobbies.

En apéritif, je re-publie (avec son aimable autorisation, dont je le remercie) un petit texte fulgurant d’esprit et de pertinence du psychanalyste et philosophe Michel Rosenzweig.

Ce bel esprit fait partie des nombreux interviewés du film « Hold-Up ». Il faudrait vraiment être totalement perméable à la désinformation mise en œuvre par les médias pour voir en lui (comme dans les autres intervenants) un complotiste croyant que la terre est plate.

Son « entretien long format » publié il y a peu par les producteurs du film, vaut vraiment le détour pour quiconque cherche à mettre de la pensée complexe et de l’intelligibilité dans la compréhension de ce qui nous arrive. Les autres peuvent bien sûr continuer à biberonner TF1, BMFTV, la RTBF ou la très médiocre RTS

« Nous avons le droit d’être intelligents » clamait récemment un fameux professeur. Aujourd’hui, c’est même un devoir devant les forces délirantes  et destructrices qui mènent le bal. Merci donc à Michel Rosenzweig et aux Amis de la Constitution de partager avec nous l’antidote à cette recette perverse.

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Recette pour une pandémie perpétuelle

– Abaisser les seuils épidémiques à un niveau extrêmement bas et en faire les indicateurs privilégiés en santé publique.

– Entretenir la confusion entre les différents virus respiratoires.

– Falsifier, déformer, détourner, escamoter les données sanitaires afin d’amplifier l’aspect dangereux du virus.

– Construire, alimenter, entretenir un narratif officiel anxiogène de manière méticuleuse.

– Le diffuser et le propager tous les jours à haute dose par les média en veillant bien au vocabulaire et à la sémantique.

– Faire appel à des scientifiques qui adhèrent au narratif officiel par lien et conflits d’intérêts.

– Infantiliser et culpabiliser la population par des messages percutants.

– Discréditer systématiquement toute personne s’opposant au narratif officiel par tous les moyens utiles : attaque ad hominem et ad personam, délation, disqualification, intimidation, menaces, exclusion, excommunication, procès.

– Mettre en œuvre par la contrainte pénale les mesures sanitaires en mettant à contribution les magistrats, l’administration et la police.

– Si besoin faire appel au sens civique de la population en encourageant la surveillance, le contrôle et la délation et même la collaboration avec les forces de l’ordre.

– Édicter des décrets, des arrêtés et des circulaires pour implémenter les mesures contraignantes sans passer par la procédure démocratique parlementaire.

– Proclamer l’état d’urgence sanitaire à période renouvelable.

– Interdire les traitements qui fonctionnent et promouvoir les vaccins.

Faire mijoter à feux doux tous les jours.

Recette annuelle toutes saisons.

Les améliorations sont les bienvenues.

Bon appétit.

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Le peuple souverain s’élève contre la gestion arbitraire de la pandémie

Le 13 mars 2020, le Conseil Fédéral a déclaré l’état d’urgence lui permettant de gouverner pendant 6 mois par simple ordonnance. Au terme de ces 6 mois, lors de la session parlementaire de septembre, il demandera au parlement l’adoption d’une loi urgente (dite Covid-19) prolongeant l’état d’urgence jusqu’en décembre 2021. Il aura ainsi notamment la possibilité d’autoriser la vaccination génétique après une procédure d’approbation accélérée, voire de la déclarer obligatoire pour les populations à risque.

Sans nécessité, le Conseil Fédéral veut donc étendre ses compétences en matière de droit d’urgence en les inscrivant dans la législation.

Les droits du peuple seraient court-circuités car la loi urgente Covid-19 ne pourra être empêchée par référendum.

Mais nous pouvons faire en sorte que cette loi, si le parlement l’accepte, ne soit pas maintenue !

En bref
  • La loi Covid-19 autoriserait l’usage de vaccins génétiques dont les tests de validation peuvent être sensiblement raccourcis. Combinée à la loi sur les épidémies, elle permettrait l’utilisation de vaccins génétiques jusqu’à présent jamais testés sur l’être humain et dont les effets à long terme sont inconnus. Le tragique épisode du Thalidomide se répètera-t-il ?
  • Le Conseil Fédéral demande une prolongation du droit d’urgence alors que l’existence même de la pandémie est contestée. Pourtant, le Conseil Fédéral pourrait remplacer 80% de la loi Covid-19 par des lois urgentes soumises à l’Assemblée Fédérale et le reste par de nouvelles ordonnances, si nécessaire.
  • La loi urgente Covid-19 porte atteinte à la démocratie directe. En raison de l’urgence de cette loi, un référendum n’aurait pas d’effet suspensif. Le peuple ne pourrait se prononcer que plus tard et il serait ainsi mis devant un fait accompli, ce qui est inacceptable !

Il est temps de rappeler au Conseil Fédéral son rôle et ses responsabilités.

Notre objectif

La loi Covid-19 a été adoptée le 25 septembre 2020 par les Chambres Fédérales. Par conséquent, nous organisons une collecte rapide de signatures à l’échelle nationale avec toutes les personnes qui se sont inscrites comme sympathisants. Le délai référendaire court du 6 octobre au 14 janvier 2021. Nous souhaitons pouvoir déposer les signatures vers la fin novembre 2020 déjà. Nous vous remercions dores et déjà de nous renvoyer les feuilles, même partiellement remplies, d’ici au 25 novembre à l’adresse Amis de la Constitution, 3000 Berne.

Argumentaire

Dix raisons pour un référendum clair et rapide
  1. La loi Covid-19 est superflue. Le Conseil Fédéral pourrait très bien s’en passer. Il dispose déjà de tous les outils nécessaires pour faire face à une hypothétique résurgence de la pandémie.

Il l’écrit lui-même en page 6 du Message au Parlement : « Au cas où il surgirait alors une nouvelle situation (par ex. une deuxième vague de l’épidémie) à laquelle seules des ordonnances du Conseil Fédéral permettraient de faire face, celui-ci aurait la possibilité d’actionner de nouveau l’art. 185, al. 3, Cst. pour agir, dès lors que les conditions en seraient réunies ».

S’il a pu maîtriser la première vague avec les outils à disposition, il arriverait également à faire face à une hypothétique deuxième vague. Le Conseil Fédéral peut donc remplir sa mission sans extension du droit d’urgence.

  1. Il deviendrait possible de rendre obligatoire la vaccination avec un vaccin génétique insuffisamment testé.

Des médicaments et des vaccins pourraient être approuvés dans le cadre d’une procédure accélérée. Cela ouvrirait la porte à des vaccinations génétiques obligatoires dont des effets à long terme sont inconnus. La tragique histoire du Thalidomide pourrait se répéter pour les générations à venir.

La loi Covid-19 confère au Conseil Fédéral le pouvoir d’accorder des dérogations à l’homologation de médicaments. Les vaccins, en particulier, peuvent bénéficier de ces exceptions. Le Conseil Fédéral pourrait ainsi ordonner la vaccination obligatoire pour des « groupes de population à risque », conformément à l’article 6 de la loi sur les épidémies . Le profil des personnes « à risque » n’est pas défini, ce qui laisse une grande marge d’interprétation. Le Conseiller Fédéral Berset veut vacciner plus de la moitié de la population. Le peuple ne serait plus qu’un cobaye.

En outre, un grand investisseur dans le développement de vaccins qui, cette année, a déjà fait don de 900 000 USD à l’autorité d’homologation Swissmedic, pourrait profiter de cette règlementation.

  1. Pas d’argent du contribuable pour faire de la propagande.

La loi Covid-19 prévoit des subventions pour les médias. Les principaux bénéficiaires seraient ceux qui sèment la peur, par exemple en diffusant systématiquement le nombre de cas sans mentionner le nombre exponentiel des tests.

Le Covid-19 n’est pas responsable des difficultés des médias, or ils seraient subventionnés avec l’argent des contribuables. Les principaux bénéficiaires seraient les grandes maisons d’édition, c’est-à-dire celles qui ont aggravé les craintes face à la pandémie en fournissant des informations fragmentaires et qui ont ainsi soutenu les mesures d’urgence du Conseil Fédéral, par exemple en rapportant que le nombre de « cas » augmente sans dire que le nombre de tests augmente aussi.

  1. La « deuxième vague » est une projection erronée.

Sur la base d’hypothèses erronées, un conseiller scientifique du Conseil Fédéral a prédit jusqu’à dix fois plus de décès en été que lors de la vague du printemps.

Dans son Message, le Conseil Fédéral parle d’une « deuxième vague », qui nécessiterait de nouveau des ordonnances urgentes (p. 6373. En avril, le Professeur Fellay de l’École Polytechnique Fédérale de Lausanne et membre de la Task Force Nationale suisse COVID-19, a produit un « Rapport de scénario COVID-19 Suisse ».

Le modèle prévoyait 5 000 à 20 000 décès liés au Covid-19 pour l’été, soit entre deux fois et demie et dix fois plus de victimes que lors de la vague du printemps.

L’étude contenait de graves erreurs : elle supposait notamment que toutes les personnes infectées tomberaient malades et que la mortalité serait la même dans tous les groupes d’âge. Ces deux hypothèses étaient manifestement déjà erronées au moment de la publication de l’étude et elles faussaient complètement les pronostics.

Il est inadmissible de restreindre les droits fondamentaux sur la base d’extrapolations aussi fausses. En réalité, les mesures urgentes ne sont pas justifiées.

  1. Il n’y a pas d’épidémie nécessitant une extension du droit d’urgence.

En réalité, la pandémie est déjà terminée. Seule l’augmentation du nombre de tests et, par conséquent, de « cas » continue à donner l’illusion de son existence.

La pandémie s’était déjà largement atténuée lorsque le processus de consultation sur la loi Covid-19 a débuté le 19 juin. Avec environ 1 700 victimes liées au Covid-19, le taux de mortalité reste inférieur de 28% à celui de la forte grippe de 2015. L’illusion d’un danger est maintenue par l’augmentation du nombre de tests, d’ailleurs peu concluants, sans aucune référence au nombre d’hospitalisations ou de décès. 
En outre, les tests ne sont pas effectués selon les critères des autorités sanitaires (conditions stériles, exécution par des professionnels de la santé, respect de la chaîne du froid, contrôles croisés dans une salle de laboratoire séparée).

Il n’est pas justifié de prolonger les mesures urgentes et les restrictions des droits fondamentaux. Par conséquent, le Conseil Fédéral n’a pas besoin d’une base légale supplémentaire pour pouvoir maintenir les mesures « déjà décidées, qui sont encore ou à nouveau nécessaires pour faire face à l’épidémie de Covid-19 » (p. 13 du Message au Parlement sur la loi Covid-19).

  1. Le Conseil fédéral s’arroge des pouvoirs extraordinaires qui n’ont pas lieu d’être.

La loi Covid-19 marque une nouvelle phase dans la gestion de la crise : il s’agit de faire face par l’endettement aux dommages qu’ont causés les mesures du Conseil Fédéral. Les banques et les grandes entreprises en bénéficieraient avant tout.

Ceux qui sont à l’origine de problèmes majeurs pour la société ne doivent pas les résoudre seuls et risquer ainsi de les aggraver.

Le projet de loi concerne principalement « les mesures arrêtées pour surmonter les problèmes découlant de la mise en œuvre des mesures primaires prises en vertu de la LEp », dites « mesures secondaires », comme indiqué dans le Message en page 6371 :

Il n’y a pas d’urgence évidente pour introduire des mesures qui sont pour la plupart prévisibles.

Elles peuvent être introduites par la voie parlementaire ordinaire, par exemple sous la forme de simples arrêtés fédéraux en vertu de l’article 163 de la Constitution Fédérale. Aucune procuration spéciale n’est requise à cet effet.

Le Conseil Fédéral ne devrait pas pouvoir déterminer lui-même dans quelles situations il peut s’octroyer des pouvoirs extraordinaires. Cela est fondamentalement contraire à la séparation des pouvoirs.

  1. Les mesures contre la pandémie ne doivent pas pouvoir être prolongées et étendues sans examen.

Sans enquête parlementaire ni débat public, les mesures urgentes ne doivent pas être élevées au rang de loi.

La proportionnalité des mesures urgentes prises par le Conseil Fédéral est mise en doute par de nombreuses personnes. Malgré tout, le Conseil Fédéral et le Parlement n’ont pas encore ordonné une enquête sur l’efficacité des mesures mises en application et leurs conséquences.

Il n’est pas acceptable de convertir les ordonnances urgentes en loi fédérale sans tenir compte de cette critique et sans une évaluation parlementaire sérieuse des mesures. Rien que le fait que le confinement a été ordonné, en Suisse et ailleurs, alors que le nombre d’infections avait déjà baissé considérablement, doit être examiné.

Le taux de mortalité, qui correspond globalement à celui d’une épidémie de forte grippe (en 2015, le nombre de décès dus à la grippe était de 28% plus élevé que pour le Covid-19), ne justifie pas des mesures qui entraînent de graves perturbations économiques et sociales. Autre exemple, la Suède, qui n’a d’ailleurs pas procédé au confinement, a connu depuis 1994 deux vagues de grippe avec une mortalité plus élevée que le Covid-19, sans pour autant que l’opinion ne s’inquiète ni que des restrictions soient imposées aux voyageurs.

  1. La légitimation rétroactive des mesures est inadmissibles.

Les mesures prises dans une « situation extraordinaire » doivent rester extraordinaires.

Or, le Conseil Fédéral le dit lui-même, la loi urgente légitimerait à postériori les mesures qu’il a prises (p.6 du du Message) :

Cependant, l’article 185 de la Constitution Fédérale donne au Conseil Fédéral le pouvoir « d’édicter des ordonnances et prendre des décisions » de durée limitée pour sauvegarder la sécurité intérieure, mais pas de modifier les lois et encore moins d’abroger des parties de la Constitution. C’est cependant ce qu’il veut faire, avec l’approbation tacite de l’Assemblée Fédérale.

La loi fédérale urgente ne doit pas servir à légitimer rétroactivement des mesures extraordinaires.

  1. La gestion des crises contre l’avis du peuple ne fonctionne pas en Suisse.

Les situations difficiles ne peuvent être maîtrisées que par la coopération entre le gouvernement et le peuple.

D’une part, la gestion des crises nécessite des pouvoirs d’urgence, dont dispose déjà le Conseil Fédéral. D’autre part, elle ne peut réussir que dans le cadre d’une coopération entre le gouvernement et le peuple, surtout dans un pays comme la Suisse.

La constitution, les lois et les processus de démocratie directe fournissent les instruments et les procédures nécessaires à ces fins. La particularité de la démocratie Suisse a ainsi fait ses preuves. Elle est un modèle unique pour le reste du monde et doit être sauvegardée.

Cette coopération est fondamentalement remise en cause par la modification urgente de toute une série de lois pouvant potentiellement et à tout moment limiter les droits populaires et les activités parlementaires.

  1. La loi fédérale d’urgence est un affront au peuple souverain.

Le Conseil Fédéral tente, sans nécessité, d’accroître son pouvoir aux dépens du peuple.

Sur la base du droit d’urgence, le Conseil Fédéral a pu gouverner sans opposition pendant la crise. Sans doute a-t-il pris goût à faire ce qu’il veut sans parlement et sans peuple. Mais la crise sanitaire a été surmontée.

Demander l’adoption urgente d’une loi inutile révèle l’arrogance du Conseil Fédéral qui utilise la dynamique de la crise pour étendre son pouvoir.

Cela est contraire à l’esprit de la Confédération suisse et de sa Constitution, qui place le peuple souverain à la tête de l’État.

L’expérience montre qu’une fois promulguée, la législation urgente est difficile à supprimer. Le régime de l’état d’urgence qui avait débuté lors de la crise des années 1930 n’a été aboli qu’en 1952, après sept initiatives populaires !

Le peuple doit réagir fermement, même si ses options sont limitées par l’urgence invoquée pour cette loi.

source : https://jdmichel.blog.tdg.ch

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À propos de l'auteur Réseau International

Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

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