Alors que l’Europe est le théâtre d’une guerre sans merci, les Alliés s’inquiètent des avancées scientifiques des Allemands. Les Britanniques veulent prendre de vitesse Hitler et les physiciens du IIIe Reich. L’Angleterre étant trop proche de l’ennemi, c’est à Montréal qu’ils décident d’implanter en catimini un laboratoire de recherche nucléaire.
Gilles Sabourin, ingénieur en nucléaire, a consacré 15 ans de sa vie à mener une enquête sur l’aventure atomique Montréalaise dans les années 1943-46. Le fruit de ses recherches est le nouveau livre Montréal et la bombe (Septentrion 2020) qui se lit comme un roman.
Dans l’entrevue, il explique notamment pourquoi et comment ce laboratoire s’est trouvé à Montréal, qui étaient les principaux participants, comment des ressortissants français, italiens, britanniques et canadiens y ont convergé et quels étaient les intérêts et actions des différents pays (Royaume-Uni, France, URSS, USA).
Il décrit le parcours fascinant de plusieurs grands chercheurs, dont le physicien italien Bruno Pontecorvo qui a fini par faire défection vers l’Union soviétique en 1950.
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