Islamo-gauchisme, complicité de terrorisme : LFI et Mélenchon pris à la gorge

Islamo-gauchisme, complicité de terrorisme : LFI et Mélenchon pris à la gorge

 

Les députés et cadres de La France insoumise ne sont pas vraiment remerciés d’avoir appelé à voter contre le « fascisme » et pour la « démocratie » au deuxième tour de l’élection présidentielle 2017 : ils sont aujourd’hui à la fois complices du coup d’État néolibéral, complices douteux d’un terrorisme douteux et victimes d’un Macron – mais surtout d’un pouvoir profond – qui n’a plus besoin de cette opposition. Pour ça, il y a les écologistes, les nouveaux idiots utiles. Le gauchisme, comme toujours dans l’Histoire, sert de marchepied à la dictature.

Triste fin pour les idiots utiles du néolibéralisme

Le concept d’islamo-gauchisme sert aujourd’hui à dynamiter ce qui reste de la vraie gauche, car il y a encore quelques miettes de vraie gauche chez Mélenchon. Ceux qui soutenaient encore la Palestine, critiquaient la politique israélienne, défendaient les musulmans, dénonçaient le pouvoir du CRIF, s’opposaient à la dictature du néolibéralisme, refusaient les diktats de Bruxelles, ceux-là sont de plus en plus isolés dans le parti de Mélenchon. Au PS, c’est simple, ils ont été éradiqués depuis longtemps. On en compte deux ou trois, des survivants, dans le mouvement écologiste, qui a été totalement récupéré par le néolibéralisme puisqu’il est compatible avec la ligne profonde du pays, voir le délire du « réchauffisme » qui rassemble Macron et les écolos dans un bel élan d’union sacrée.

Mélenchon, qui a refusé la main tendue de Marine en 2017 pour battre la Banque (rêvons un peu), le paye cher aujourd’hui : sur ordre du lobby sioniste tout-puissant, et de sa partie droitiste, il est au fond du trou, accusé d’islamo-gauchisme, c’est-à-dire d’islamisme, c’est-à-dire de djihadisme, c’est-à-dire de terrorisme, c’est-à-dire d’assassinat de français innocents. Impossible de se sortir de ces amalgames simplifiés à dessein par le national-sionisme, qui commence lui à gangrener les médias mainstream. Mélenchon a beau s’agiter et argumenter, il s’enfonce dans les sables mouvants, qui ont été prévus à cet effet.

La messe de la France insoumise est dite et, à travers elle, de toute la France insoumise qui n’est pas gauchiste, le parti de Marine Le Pen ayant baissé pavillon depuis l’éviction de Philippot. Certes, les lieutenants de Mélenchon font feu de tout bois, mais dans l’atmosphère de lynchage actuelle, la raison n’est plus qu’une voix parmi tant d’autres.

Mélenchon a exhumé pour sa défense une vidéo de l’ancien juge antiterroriste Marc Trévidic qui désigne les vrais responsables du terrorisme et leurs amis, notamment français !, mais les médias mainstream ne suivent pas : trop compliqué, trop dangereux, trop profond.

 

Même l’antifascisme primaire de LFI ne les sauve pas de la noyade : Thomas Portes tente ici de faire porter le chapeau à une dentiste prétendument nazie…

 

Après avoir été attaquée dans Valeurs actuelles, la députée Obono s’est faite décapiter par Richard Malka, l’avocat de Charlie Hebdo et de bien d’autres causes moins nobles :

 

« Mais Raquel ! C’est pas possible ! On n’en peut plus de vous ! On n’en peut plus ! Mais Raquel, est-ce qu’on vous a coupé ?! Vous fatiguez tout le monde ! »

Raquel Garrido, de son côté, a bien du mal à respirer chez Cyril Hanouna, qui a du mal, en tant qu’animateur socialo-sioniste, à tenir son aile gauchiste.
Un à un, selon la tradition mafieuse lors d’un changement de capo, tous les lieutenants de Mélenchon se font dessouder dans un bel ensemble.

La fascisation par l’islamisme de La France insoumise est en marche, et cela arrange les deux pouvoirs, le visible et l’invisible.

 

Sputnik – en mal de crédibilité mainstream ? – a publié ce qu’il faut bien appeler un long réquisitoire contre Mélenchon et son mouvement. La couverture ne laisse aucune place au doute : l’accusé est coupable de complicité avec le tueur de Conflans et de haute trahison nationale dans la guerre déclarée contre l’islamisme !

Voici l’exécution en règle de l’islamo-gauchisme et de la gauche par la même occasion. Quand la question « qu’est-ce que l’islamo-gauchisme ? » est posée, il faut répondre : l’adversaire du national-sionisme.

– La Rédaction d’E&R –


 

Ce jeudi 22 octobre, Jean-Michel Blanquer a dénoncé les « ravages de l’islamo-gauchisme » en France. Mais qui sont les « complices intellectuels du crime » que le ministre de l’Éducation nationale pointe du doigt, près d’une semaine après l’attentat de Conflans ? Éclairage avec Najwa El Haïté, adjointe au maire d’Évry et docteure en droit public.

Emmanuel Macron s’est voulu grave et à la hauteur des enjeux, mercredi 21 octobre en conseil des ministres.

« Le combat que nous menons est sécuritaire, éducatif et culturel. Il sera long. Mais nous n’avons pas fini de terroriser l’islamisme », a-t-il lancé, avant d’enjoindre chaque membre du gouvernement à « être très actif dans son domaine. »

Jean-Michel Blanquer a, semble-t-il, accusé réception du message, ce jeudi 22 octobre sur Europe 1. Moins d’une semaine après l’attentat de Conflans-Sainte-Honorine, le ministre de l’Éducation nationale a ainsi dénoncé l’idéologie qui favorise le passage à l’acte.

« Ce qu’on appelle l’islamo-gauchisme fait des ravages. Il fait des ravages à l’université, il fait des ravages quand l’UNEF cède à ce type de choses, il fait des ravages quand dans les rangs de La France insoumise, vous avez des gens qui sont de ce courant-là et s’affichent comme tels. Ces gens-là favorisent une idéologie qui ensuite, de loin en loin, mène au pire », dénonce Jean-Michel Blanquer.

C’est la deuxième fois en quelques jours que le terme d’« islamo-gauchisme » est utilisé par un ministre. Et la deuxième fois également que La France insoumise est nommément visée. Le 6 octobre dernier, à l’Assemblée nationale, Gérald Darmanin avait ainsi vertement répondu à Alexis Corbière, député LFI de Seine–Saint-Denis, qui accusait l’exécutif de faire de l’islam une « question obsessionnelle ». « Je ne m’explique pas qu’un parti comme le vôtre, qui a dénoncé pendant longtemps l’opium du peuple, soit désormais lié avec un islamo-gauchisme qui détruit la République », avait ainsi lancé le ministre de l’Intérieur.

Qu’est-ce que l’islamo-gauchisme ?

Si certains font mine de « ne pas comprendre ce terme », comme nous le confiait le député LFI de l’Ariège Michel Larive, le terme n’est pas nouveau, loin de là. Pas plus que sa réalité politique et idéologique, d’ailleurs. Le concept est parfaitement documenté par de nombreux chercheurs, orientés aussi bien à gauche qu’à droite.

Dans une tribune publiée en novembre 2017 sur Slate, le politologue Gaël Brustier, ancien militant socialiste, soulignait ainsi que « l’islam exerce depuis longtemps une véritable fascination au sein des mouvements marxistes, d’extrême gauche ou anticolonialistes ».

Autrement dit, l’islamo-gauchisme désignerait cette attitude d’une partie de la gauche à porter un regard bienveillant et compréhensif sur la montée de l’islamisme dans les pays européens, allant jusqu’à faire des djihadistes les nouveaux « damnés de la terre » chers à l’analyse marxiste du prolétariat à la fin du XIXe siècle. Dans un entretien donné à Causeur en février 2016, le journaliste Jean Birnbaum, directeur du Monde des livres, estimait en ce sens que « la gauche marxiste ne veut voir dans les djihadistes que des déshérités. »

Interrogée par Sputnik, Najwa El Haïté, docteure en droit public et adjointe au maire d’Évry-Courcouronnes, valide cette définition, qui d’après elle sert le « discours victimaire » des islamistes.

« L’islamo-gauchisme, c’est l’alliance d’une partie de la gauche intellectuelle et politique avec l’islam radical. Pour celle-ci, le musulman est devenu le nouveau prolétaire qu’il faut défendre à tout prix. S’ensuit un discours victimaire des Français de confession musulmane qui en font une cause politique et idéologique ».

Au nom d’une nouvelle forme d’antiracisme et de volonté répétée de ne pas « stigmatiser les musulmans », la gauche de la gauche se retrouverait ainsi à justifier de nombreuses compromissions.

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À propos de l'auteur Égalité et Réconciliation

« Association trans-courants gauche du travail et droite des valeurs, contre la gauche bobo-libertaire et la droite libérale. »Égalité et Réconciliation (E&R) est une association politique « trans-courants » créée en juin 2007 par Alain Soral. Son objectif est de rassembler les citoyens qui font de la Nation le cadre déterminant de l’action politique et de la politique sociale un fondement de la Fraternité, composante essentielle de l’unité nationale.Nous nous réclamons de « la gauche du travail et de la droite des valeurs » contre le système composé de la gauche bobo-libertaire et de la droite libérale.

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