Emission souvent passionnante, mais cette fois-ci nous est livrée la version Wikipédia, la version intox du «roman national».
La 2eDB débarque début août, alors que le début du débarquement date du 6 juin. L’entrée dans Paris se fait avec l’appui de deux divisions américaines Et les forces allemandes restées dans Paris sont surtout des snipers isolés. La plus grosse concentration de la résistance avant la chute de Paris a été de 4.000 hommes et pour Paris ont parle de 30.000 hommes. Les fameux résistants de la dernière heure. La 2e DB était plus une représentation politique qu’une force de frappe militaire. De Gaulle qui n’en faisait pas partie, avait besoin d’images guerrières pour bâtir sa légende. Cela n’enlève rien aux courageux combattants de la 2è DB dont 1200/1500 sont morts pour leurs convictions. Respect à eux.
Leclerc était un mondain et un opportuniste. L’assassinat de Bad Reichenhall souligné par d’autres intervenants montre à lui seul la «grandeur» du personnage.
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Jean-François Muracciole
Leclerc amène à parler de De Gaulle. De Gaulle a tout dit et son contraire. De Gaulle c’est open bar pour tous les partis politiques pour s’en revendiquer. Chacun peut piocher une partie de discours pour apporter de l’au à son moulin. Il y a autant de monde à Colombey les deux Eglises, pour les commorations, qu’au diner du CRIF.
Même si on ne boudera pas notre plaisir, en se rappelant pour la millième fois : «La célèbre “petite phrase” du général de Gaulle « peuple d’élite, sûr de lui-même et dominateur » eut un fort retentissement au sein de la société israélienne, des Juifs de France et aussi des nombreux politiciens sympathisants de la cause de l’État hébreu.»
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