90% des tests PCR pratiqués aux États-Unis pourraient être des faux positifs

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Source : https://www.youtube.com/watch?v=uM0WZLN8AiQ

Selon un nouveau rapport qui a fait l’effet d’une bombe, jusqu’à 90 % des tests positifs au coronavirus, dans plusieurs États de notre pays, auraient dû être négatifs. Et avant que Facebook ne censure cette vidéo, ne dise qu’elle est fausse, ou n’essaie de la fact-checker, ce rapport provient du New York Times, c’est exact, le New York Times.

Selon le New york Times, je cite : “les tests standards diagnostiquent un grand nombre de personnes qui peuvent être porteuses de quantités relativement insignifiantes du virus, et qui sont peu susceptibles d’être contagieuses”, fin de citation. Permettez-moi de le répéter : la grande majorité des tests PCR positifs, dans notre pays, sont cliniquement insignifiants, parce que les personnes qui sont positives ne sont pas susceptibles d’être contagieuses. Pourquoi ? La réponse est une question de cycles d’amplification, laissez-moi vous l’expliquer parce que c’est en fait très simple : le test PCR, qui est le type de test le plus courant que vous connaissez pour le coronavirus, identifie le matériel génétique du virus sur des échantillon prélevés à des patients, puis l’amplifie, encore et encore, jusqu’à ce qu’une machine puisse détecter l’ADN du virus.

Si la machine détecte l’ADN du virus, le test est positif, mais le nombre de fois où le matériel génétique de l’échantillon a été amplifié est extrêmement important, car il est corrélé à la charge virale. Nous savons tous que si vous avez le coronavirus et que vous êtes asymptomatique, vous avez probablement une très faible charge virale dans votre organisme, et à l’inverse, si vous avez une forme sévère du virus, vous aurez sans doute une charge virale plus élevée.
Si vous amplifiez le matériel génétique de l’échantillon de prélèvement suffisamment de fois, vous détecterez l’ADN du virus même si la charge virale dans le corps de la personne est cliniquement insignifiante, même si cette personne n’a que des traces du virus dans son corps, même si elle n’est pas symptomatique elle-même ,même si elle est très peu susceptible d’être contagieuse et de transmettre le virus à d’autres personnes.

Du coup, le New York Times a examiné les données des tests effectués à New York, au Massachusetts et au Nevada, et a trouvé que, je cite : “jusqu’à 90 % des personnes testées positives étaient à peine porteuses du virus” , fin de citation, parce que les tests PCR pour le coronavirus, aux États-Unis, utilisent entre 35 et 40 cycles d’amplification pour identifier le matériel génétique du virus, et de nombreux experts s’accordent à dire que tout ce qui dépasse 30 cycles d’amplification entraînera la détection de quantités inactives, mortes ou cliniquement insignifiantes du virus, et malgré ça, l’apparition du test comme positif.

En fait, le New York Times affirme que sur les 45 000 tests de dépistage positifs effectués il y a quelques jours, la semaine dernière, je cite : “Si les taux de contagiosité dans le Massachusetts et à New York devaient s’appliquer à l’échelle nationale, alors peut-être que seulement 4 500 de ces personnes devraient être isolées et leurs contacts retracés” fin de citation”

Pourquoi est-ce important ? Parce que la politique de santé publique, le confinement, les quarantaines, les restrictions de voyage, les entreprises fermées, les gymnases fermés, les familles interdites d’organiser des funérailles, les personnes interdites d’aller à l’église, tout ça a été basé sur le nombre de cas positifs au coronavirus, dans notre pays, et pas sur le nombre de décès, pas sur la base du taux de mortalité par infection, pas sur le taux d’hospitalisation, pas sur le nombre de ventilateurs utilisés, pas sur la capacité des services de soins intensifs, non non, la politique publique en matière de coronavirus dans notre pays est basée sur le nombre de cas de coronavirus, donc sur le nombre de tests positifs, et selon le rapport du New York Times, jusqu’à 90 % des tests positifs auraient dû être négatifs.

À propos de l'auteur La Croix du Sud

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