Nicolas Poincaré, Alain Soral et le QIP, le quotient intellectuel politique

Nicolas Poincaré, Alain Soral et le QIP, le quotient intellectuel politique

Non pas brave, mais lâche petit chien du Système, le journaliste Nicolas Poincaré, passé par tous les médias mainstream imaginables, est en réalité utilisé pour défendre le Système contre les Français, l’élite contre le peuple, la répression contre la liberté. Liberté de mouvement, de pensée, de parole, qui sont aujourd’hui menacées par le pouvoir profond. Et le pouvoir profond, justement, Nicolas en parle sur RMC le 3 octobre 2019 : il est question des condamnations d’Alain Soral.

Nicolas à 2’07 : « Commençons par Alain Soral, il avait déclaré après l’entrée au Panthéon de Simone Veil et de son mari Antoine “le Panthéon est devenu une déchetterie cacher” : un an ferme. Une condamnation qui vient s’ajouter à deux autres, un an et un an et demi ferme pour des propos suintant encore sa haine des juifs. À Bobigny en mai dernier les juges avaient demandé un mandat d’arrêt, c’est-à-dire son arrestation immédiate mais le parquet s’y était opposé, arguant que le mandat d’arrêt s’applique aux délits de droit commun et pas aux délits d’opinion. Et le parquet pouvait s’appuyer bien sûr sur le Code de procédure pénale français mais aussi sur le Comité des droits de l’homme de l’ONU qui considère qu’en matière de diffamation, l’emprisonnement ne constitue jamais une peine appropriée, ce sont, dit l’ONU, ce sont les dictatures, pas les démocraties qui emprisonnent pour des opinions, même les plus contestables ou les plus dangereuses. Sans compter qu’Alain Soral, que personne ne connaît vraiment, n’attend que ça, que de faire de la prison pour pouvoir devenir un martyr, être célèbre et sortir enfin de l’ombre de son ami Dieudonné. »

Nicolas ne reste pas longtemps journaliste dans sa diatribe anti-Soral, il finit par déraper et mentir, à la fin : Soral, que tout le monde connaît, ne désire pas faire de la prison, Nicolas non plus. Personne ne désire faire de la prison. Si un jour le régime néolibéral sioniste français s’effondre, Nicolas pourra éventuellement en faire, pour collaboration. Car aujourd’hui, il est du côté de la Kommandantur.

Le 17 août 2020, le même Nicolas reçoit l’avocat Me Brusa, pour qui la politique sanitaire est clairement liberticide. Nicolas va jouer la carte du Système contre cet impudent.

Nicolas à 5’51 : « Est-ce que vous avez entendu le coup de gueule de Gilles Pialoux, le chef des maladies infectieuses [à l’hôpital Tenon, NDLR], contre ceux qui refusent le masque ? Il dit : vous savez c’est pas liberticide le masque, ce qui est liberticide, c’est de passer 26 jours dans un service de réanimation sous incubateur ? »

Pour information, Gilles Pialoux c’est un peu le plan anti-Raoult des médias mainstream. Il vient corroborer la psychose ambiante avec un peu plus de subtilité que par exemple une Karine Lacombe, trop liée au laboratoire Gilead qui commercialise un médicament contre le Covid qui est loin d’avoir fait ses preuves et qui est 200 fois plus cher que l’hydroxychloroquine du Pr Raoult.

Quand on écoute les interventions du petit Nicolas, ses questions, quand on étudie son visage, on se dit qu’on a affaire à un authentique idiot. Pourtant, Nicolas est l’arrière-petit-fils du grand mathématicien Henri Poincaré et son propre père s’est engagé en 1944 dans l’armée du général Leclerc, nous apprend Wikipédia. Clairement, Nicolas n’a ni l’intelligence de son grand aïeul ni le courage de son père. Des neurones et des couilles se sont perdus en route.

Phrasé d’attardé mental léger, regard de bovidé, joues gonflées d’orgueil, le petit Nicolas symbolise le journaliste-Système de bas étage hissé au plus haut niveau par le piston familial et carriérisme, c’est-à-dire la soumission absolue à l’ordre dominant.

Pour essayer d’apprendre quelque chose de toute cette bouillie mentale, nous avons imaginé le QIP, le quotient intellectuel politique, qui classe les journalistes (ou les politiques) par niveau d’abstraction conceptuel. Le gauchisme culturel dont les Nicolas font majoritairement preuve dans les médias ne dépasse pas les 70 de QIP, et encore, on pourrait l’évaluer à 40. C’est la bêtise granitique du journaliste qui pense avoir raison mais qui ne raisonne jamais. Le gauchisme part toujours de bons sentiments et se termine toujours en chaos pour la société et la civilisation.

Nous avons trouvé quelques illustrations concrètes. Plus bas, la gauchiste sociale va voir une Africaine pour lui demander de protéger ses enfants contre les maladies du plomb. L’autre dit « oui » à tout, tout le temps, mais on sent bien qu’elle ne saisit pas l’urgence et le volet scientifique de l’affaire. La gauchiste pense faire le bien, et elle le fait, quelque part, mais cela n’a aucun effet sur le réel, qu’on ne peut pas appréhender en ces termes.

Ici, un étudiant, frappé lui aussi de la maladie de la certitude gauchiste, se permet de donner des leçons au réel, contre le réel :

 

On peut lui accorder généreusement 20 de QIP. Rien ne fonctionne, dans son esprit encombré de bloqueurs de pensée.

Le niveau supérieur, c’est le gauchiste qui est sorti du gauchisme bas du front. François Bégaudeau sait manier le concept, on en pense ce qu’on veut, mais son discours est beaucoup plus solide, moins attaquable.

Est-ce à dire qu’à droite on a plus de QIP qu’à gauche ? Certainement, et Zemmour écrase allègrement tout ce qui se présente face à lui, c’est son sport préféré et il est payé pour ça. Écraser conceptuellement la gauche antiraciste à faible QIP, c’est formidablement jouissif. Mais c’est pour apporter une autre mauvaise parole, celle du national-sionisme. On doit tout de même admettre que les nationaux-sionistes, s’ils sont dangereux pour la France, ont un QIP nettement supérieur aux socialo-sionistes. Sauf peut-être Goldnadel.

Mais il est une espèce politique, relativement récente puisqu’elle est née en 2007, qui a les moyens de damer le pion aux NS. Hélas, ils sont interdits de médias mainstream. Dommage pour le débat, et la démocratie !

Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation

À propos de l'auteur Égalité et Réconciliation

« Association trans-courants gauche du travail et droite des valeurs, contre la gauche bobo-libertaire et la droite libérale. »Égalité et Réconciliation (E&R) est une association politique « trans-courants » créée en juin 2007 par Alain Soral. Son objectif est de rassembler les citoyens qui font de la Nation le cadre déterminant de l’action politique et de la politique sociale un fondement de la Fraternité, composante essentielle de l’unité nationale.Nous nous réclamons de « la gauche du travail et de la droite des valeurs » contre le système composé de la gauche bobo-libertaire et de la droite libérale.

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