Le port de Beyrouth a bien été frappé par une arme non conventionnelle de faible puissance et à radioactivité marginale, le Hezbollah libanais divulgue des infos précises concernant le port de Haïfa…

Le port de Beyrouth a bien été frappé par une arme non conventionnelle de faible puissance et à radioactivité marginale, le Hezbollah libanais divulgue des infos précises concernant le port de Haïfa…

Le déni aura tenu quelques jours. Après moults spéculations et une dizaine d’hypothèses, une source militaire syrienne confirme une information que pratiquement tous les gouvernements détiennent: le départ de feu suivi d’une première explosion puis d’une seconde bien plus puissante au point que l’onde de choc supersonique avait soulevé une sorte de champignon ressemblant à celui d’une arme nucléaire tactique de faible puissance, ne sont pas le résultat d’un accident mais d’un acte hostile.

Le Secrétaire général du Hezbollah libanais a évoqué pour la première fois le rôle vital du port de Haïfa dans le nord d’Israël et par dessus tous les milliers de tonnes de matières dangereuses qui y sont entreposées. Textuellemet, Hassan Nasrallah a ironisé que son mouvement connaissait mieux le port de Haïfa que celui de Beyrouth. Cette déclaration publique a déclenché une alerte nucléaire en Israël.

Le port de Beyrouth a connu un départ de feu totalement inexpliqué tout près d’un entrepôt d’une grande quantité de nitrates d »ammonium saisie par les autorités libanaises il y a des années. Ce départ de feu fut exploité par les Israéliens ou leurs alliés pour y envoyer un premier missile de croisière. Le jour de cette explosions, il y avait 22 aéronefs de combat israéliens au-dessus du Liban et un nombre indéterminé de drones de reconnaissance et d’attaque. La seconde frappe fut la plus puissante. Elle a été occasionnée par une charge non conventionnelle de faible puissance (de 0.5 à 1.4 kilotonnes) et à radioactivité marginale.

Le Hezbollah libanais a ajusté sa stratégie en conséquence. Demeure le cirque des pays qui font semblant de vouloir aider le Liban alors qu’il a été mis à l’index et sous embargo durant les trois dernières années. Le Président libanais Michel Aoun refusa en conséquence toute demande d’enquête internationale au motif que celle-ci fera tout pour écarter tous les soupçons sur Israël.

La géopolitique n’est plus un art rationnel en 2020.

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