Malheureusement le syndrome du troupeau n’est pas que français, il est bel et bien humain. Rousseau et d’autres idéalistes se foutent bien le doigt dans l’œil en croyant que l’homme est naturellement «bon», ou peut «naturellement» s’auto-gouverner. Sans autorité spirituelle légitime, l’homme est un loup pour l’homme, quand il s’agit de ses collègues du troupeau, et un mouton pour ses maîtres…
Alors tant qu’à être un troupeau, comme le démontre Guénon, autant que ce soit sous une autorité spirituelle, qui rend des comptes à plus haut qu’elle-même : le Roy de droit divin en France en est un bel exemple.
Parce que quand le «berger» du troupeau n’est guidé que par son avidité de pouvoir, de richesse et de plaisir, quand il n’a de comptes à rendre qu’à des «maîtres» de sectes athées, maçonniques et sionistes, alors là, le troupeau est bien mal en point…
Et, comme un seul homme, il obtempère :
«Mettez des masques !» «Vaccinez vous !» «Mettez un genou à terre quand on vous dira pour qui !» «Aimez l’immigration !» «Détestez Trump !» «Soutenez LGBT !» «Haïssez la religion !»
Nous ne serons toujours qu’une minorité à résister à ce genre d’injonctions, qu’une minorité à se poser des questions sur l’autorité des gouvernants et de leurs media. Enlevez-vous de la tête l’idée de croire qu’un jour la majorité se réveillera au point de s’élever contre les ordres les plus absurdes ou abjects venus «d’en haut»…
Les renversements de pouvoir, Révolution Française en tête, ne se font qu’à partir d’une poignée d’enragés qui parviennent, par la violence, à forcer le passage vers le pouvoir. Le problème est que, comme nous l’ont montré toutes les révolutions, le nouveau pouvoir, s’il n’est pas légitimé par plus haut que lui-même, une fois installé se comportera lui aussi comme un berger pervers, avec des variantes dans ses façons et ses degrés de perversion…
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