De la lutte des classes à la guerre raciale, la France atteinte du syndrome de Stockholm

De la lutte des classes à la guerre raciale, la France atteinte du syndrome de Stockholm

L’internationale de la subversion mondialiste et transhumaniste est à l’œuvre. Pour ce faire elle s’appuie sur toutes les pègres transgressives.

Notre malheureux pays plaqué au sol, à demi asphyxié, le genou de l’État lui écrasant la nuque, s’ébroue et se relève, les yeux bordés de reconnaissance à l’égard de celui qui enfin le soulage…Mister Macron himself ! Et puis, nous voici rassurés, la statue de Colbert ne sera pas déboulonnée avant d’être jetée à la Seine, en tout cas pas cette fois… mais peut-être la prochaine ?

N’est-ce pas l’ancien et particulièrement terne Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, président de la Fondation pour la mémoire de l’esclavage, qui prétend débaptiser la salle Colbert de l’Assemblée nationale ? Plus indigéniste que ce porte-parole officieux de la classe dirigeante hexagonale, on meurt. Cela surtout en dit long sur les dispositions d’esprit des soi-disant élites à l’égard de notre héritage politique… Alors faut-il vraiment croire le président Macron lorsqu’il nous passe de la pommade et la main sur le bas des reins ? Avec des individus de cet acabit, il faut toujours inverser la proposition, comprendre le contraire de ce qu’ils disent pour nous endormir… Car, tel le syndrome de Stockholm dans toute sa splendeur, pathologie mentale circonstancielle, le confiné voue un amour irrépressible à M. Macron, son geôlier d’hier, d’aujourd’hui et peut-être encore de demain, dans une France otage de la mondialisation.

Ainsi va le monde tandis que les « Manifestations contre la violence policière, la violence sociale et la violence raciale » se succèdent et se ressemblent sur fond de véhicules incendiés et de vitrine brisées… Avec pour dénominateur commun, la haine des forces de l’ordre (qui ne sont pas toujours blanc-bleu, en témoigne la brutale répression des défilés de Gilets jaunes), et à travers elles, la haine de l’ordre tout court, de la France et des Français. Cependant, laissons la République de côté puisque les émeutiers en sont les enfants chéris, promus par la grâce de la discrimination positive, à tous les échelons, grands et petits, de l’appareil d’État. Nous en sentons déjà les effets : le céfran n’a qu’à filer doux, écraser, raser les murs… surtout dans les cours de justice où les uns bénéficient de l’indulgence plénière (Traoré, ce saint innocent, traînait comme autant de titres de gloire une quinzaine de chefs d’inculpation) et où les autres – le quidam lambda – s’exposent à une stricte sévérité. Il est vrai que les rigueurs de la loi ne s’appliquent – presque exclusivement – qu’à ceux qui la respectent !

Assa Traoré – que l’ancien garde des Sceaux, Christiane Taubira, vient délicieusement de désigner comme une vraie « chance pour la France » – ci-devant présidente du Comité « Justice pour Adama », est la sœur d’un « jeune homme » – dixit la presse – « assassiné », c’est-à-dire tué avec préméditation, en juillet 2016 par la gendarmerie de Persan dans le Val d’Oise. Première remarque, le gentil jeune homme en question, Adama Traoré, était un multirécidiviste (viol, vol, violence, narcotrafic) fuyant les représentants de l’ordre qui tentaient de l’interpeller. On pourrait dire dans ces circonstances, que sa mort a été accidentelle, en l’occurrence un accident de parcours participant des risques du métier auxquels s’expose tout individu au comportement aventureux. La délinquance n’est-elle un sport un peu extrême ?

Mais en France nos délinquants sont des petits bourgeois dégoulinants de droits qui à ce titre n’entendent courir aucun danger dans l’exercice de leur coupable industrie. Il est vrai qu’en raison d’une grille de lecture néo-marxiste, les criminels sont par essence des « victimes » : celles de la police raciste et fasciste (idem lorsque les policiers sont eux-mêmes gens de couleur) ; de la société, la lutte des classes se croisant alors avec la guerre des races (qui n’existent pas, le mot ayant été retiré de la Constitution par la Chambre le 12 juillet 2018), et accessoirement se combinant harmonieusement avec la sourde lutte de longue haleine opposant l’altérité (sexe fort contre sexe dit faible) et le large spectre chromatique de la diversité transsexuelle.

« Je serais prêt à mettre un genou à terre » dixit le ministre Castaner

Interrogé le 9 juin à propos des manifestations organisées contre le « racisme » à travers le monde, le ministre de l’Intérieur se déclarait prêt à humilier la France, genou en terre en signe de contrition à l’égard des racailles malmenées ! Quand il était question, l’an passé d’yeux crevés et de mains arrachées par certains chiens de garde du régime, M. Castaner était moins repentant et beaucoup plus arrogant. Pour sa part, notre brillante ministre de la Justice à la crinière de feu, dame Belloubet, après s’être évertuée à supprimer le crime en vidant les prisons (dix à treize mille voyous élargis ou exonérés de peine à l’occasion de la crise sanitaire, les distances sociales s’imposant aussi en milieu carcéral), avait cru bon d’inviter place Vendôme ladite Assa Traoré pour tailler avec elle un petit bout de bavette. Que nenni, l’ardente jouvencelle déclina avec dédain l’offre de venir s’essuyer les pieds sur le paillasson institutionnel… L’Élysée sinon rien !

Parce que certes, là où l’émotion passe, le droit trépasse et avec lui, toutes les règles et les normes juridiques. Le ministre de l’Intérieur, le sieur Castaner, nous avait prévenu : « L’émotion mondiale dépasse au fond les règles juridiques qui s’appliquent ». Une nouvelle fleur rare de rhétorique sortie de la même fosse à purin que les opinions qui n’en sont pas pour la bonne raison qu’elles seraient des délits ! On attend que les grands dissidents de la pensée, les Onfray, les Zemmour & Cie se penchassent sur ces anomalies enkystées dans notre droit et profitent des circonstances présentes pour dénoncer l’instauration subreptice de crimes orwelliens contre la pensée et l’imparable diktat de l’émotion. Bref, le progrès (soit le processus) de décomposition ne fait jamais de pause dans sa rage à démolir pierre à pierre l’édifice civilisationnel. Après tout ce fut moins une que Notre-Dame de Paris, mutilée et outragée, ne devînt en 1793 une carrière à ciel ouvert…

Alors, quand de votre côté vous serez pris d’une frénésie d’incendie ou de pillage, n’oubliez pas de préciser avoir agi sous le coup de l’émotion. Comme d’autres – également victimes – trouvent une excuse valable à leurs forfaits (ou bien comme circonstance atténuante à leur irresponsabilité) en excipant de leur éthylisme ou de leur toxicomanie ! Sinon le combat préventif de l’émotion se déploie généralement contre tout ce qui la suscite de façon odieuse et intempestive : aux États-Unis des services de police s’autodissolvent, leurs chefs démissionnent en rafale (comme le 13 juin à Atlanta, suite au décès d’une nouvelle victime afro-américaine de la violence policière), l’autorité légale fait son grand mea culpa… En France, régulièrement si ce n’est systématiquement, sont interdits les rassemblements dont la seule tenue pourrait heurter telle idolâtrie mémorielle ou tel communautarisme à fleur de peau : on a vu en mars 2019 Les suppliantes d’Eschyle interdites à la Sorbonne par de supposés antiracistes, au même titre que furent annulés et préfectoralement interdits les spectacles de tel humoriste (dont il convient de taire le nom tant il est honni par tout ce que la France macronienne compte de bienpensance). Paradoxalement ce sont ceux qui menacent de troubler l’ordre public qui ont gain de cause et, par un renversement spectaculaire mais désormais habituel, ce sont les fauteurs de troubles qui en imposant leurs haines et leurs ostracismes transforment leurs victimes en coupables.

En un mot, l’émotion (le droit absolu à s’émouvoir et à ne surtout pas supporter l’altérité ou la différence) prime et devient un argument définitif pour donner droit à toutes les revendications exorbitantes du droit commun qu’exprime telle communauté ou telle minorité médiatiquement surpuissante. Et l’on en vient à nous seriner qu’il n’y a pas de conspiration. Mais que diable, les médias conspirent comme ils respirent… pour nous abrutir et donner du monde une lecture biaisée, falsifiée, déformée ! Assa Traoré n’est-elle pas sublimée, héroïsée au point d’être présentée comme une « Antigone racisée »… rien de moins ! En un mot, la seule et unique vocation des médias : changer la perception de la réalité, changer les schèmes de lecture, inoculer de corrosifs idéovirus, modifier la représentation des choses… Faire du pathologique la normalité exclusive, décréter belles toutes les hideurs, et erreurs toutes les vérités les plus manifestes. Et le pire est que ça marche ! Damer le terrain psychique jusqu’à ce qu’une majorité soit devenue psychologiquement imperméable à la matérialité des faits… M. Macron n’est-il pas crédité – à l’encontre du sens commun le plus élémentaire – d’une majorité d’opinions favorables quant à sa gestion de la crise sanitaire ? Et pourtant !

Ce qui est ainsi interdit au citoyen de base, le droit de librement vaquer à ses occupations et à se rassembler le cas échéant, est licite pour la canaille. Et que l’on ne vienne pas nous dire que les vingt mille individus concentrés à la porte de Clichy sous la tour du palais de Justice, ont été une surprise pour les services de la Sécurité intérieure étant donné qu’assurément il faut plusieurs mois de préparation pour réussir une « coup » pareil. Alors de quelles complicités intérieures ses organisateurs ont-ils bénéficié ? Connivence du silence et du laisser faire ?

Les Traoré, une famille enracinée dans la délinquance

Revenons un peu, à la famille de délinquants agitateurs que sont les Traoré : dix-sept enfants, nés de quatre mères différentes. Adama le « jeune disparu » comptait à son actif dix-sept procédures pour viol, vols, trafic de stupéfiants. Yacouba Traoré : trois ans fermes pour l’incendie d’un autobus et violences physiques, dix-huit mois fermes pour avoir passé à tabac un témoin ayant porté plainte contre Adama ; Samba Traoré : quatre ans fermes pour violences avec arme ; Serene Traoré : quatre mois ferme pour outrage, intimidations, menaces et insultes sur personne dépositaire de l’autorité publique ; Bagui Traoré : trente mois fermes pour extorsion sur personnes vulnérables, tentative d’assassinat sur personne dépositaire de l’autorité publique ; Youssouf Traoré : six mois fermes pour trafic de drogue. Assa la sainte, seulement quatre petites plaintes pour diffamation et appel à des manifestations interdites… !

Maintenant, les Traoré sont des Maliens. Sans doute nantis de la double nationalité comme nombre des 50 000 autres natifs du Mali présents sur le sol national. Mais que font tous ces gens pendant que notre armée sue sang et eau chez eux pour freiner l’expansion d’al-Qaïda et de l’État islamique ? Pourquoi ne sont-ils pas renvoyés d’où ils viennent et placés sous leur drapeau pour combattre les djihadistes ? Sommes-nous chargés de maintenir gratis pro Deo l’ordre et la paix chez eux pendant qu’ici ils nous insultent et vilipendent nos forces de police ? Sont-ce également les criminels et les délinquants qui sont appelés à donner la mesure du droit et de la morale ? Allez ouste, du balai rentrez chez vous si ce pays ne vous convient pas. Si notre racisme est « systémique », c’est-à-dire que l’on ne vous en donne jamais assez, que nos tribunaux ne sont pas assez indulgents à votre égard, dégagez !

Ah c’est vrai j’oubliais : vous n’êtes pas naturellement délinquants, vous êtes naturellement bons et nobles, c’est notre indécrottable racisme qui vous pousse au crime. C’est bien parce que vous en êtes victimes, parce que la société blanche, celle des vieux babtous [toubas en verlan] vous poussent à la faute et si vous violez, c’est parce que les jupes des filles sont trop courtes… Non ? Mais puisque la France vous est si odieuse qu’y faites-vous encore ? Décampez retournez dans vos douars et cessez de percevoir les grasses allocations dont la vache à lait républicaine vous abreuve jusqu’à plus soif.

Au demeurant le « comité » Traoré n’a décidément plus peur de rien (encore une fois, il s’agirait de connaître de quels soutiens, encouragements et financements il dispose) et pousse l’outrecuidance et le vice – vertu cardinale dans nos banlieues – jusqu’à exiger que tous « les gendarmes et policiers [suivant l’intention affichée du « premier flic » de France – voir supra] mettent un genou à terre, le poing levé » ! Pour un peu, ils nous jetteraient à la mer. Nous avons été chassés d’Algérie, les paysans afrikaners fuient quand ils le peuvent et ne restent sur les terres qu’ils ont fécondées durant quatre siècles, qu’au risque d’être massacrés par les fanatiques racio-marxistes qui se sont emparés du pouvoir à Pretoria suite à l’écrasante défaite mentale et morale des Blancs… Néanmoins plus le balancier va loin et plus le choc en retour risque d’être fracassant ! Mais pourquoi se gêner ? La France n’est-elle pas déjà à terre, en proie à une crise d’épilepsie ethomasochiste ? Cette psychopathologie nous la voyions venir depuis longtemps, les symptômes alarmants se multiplient, que déjà Jean Raspail dénonçait avec talent il y a un demi-siècle, en 1973 ; depuis les choses ont pris un tour définitivement tragique… On a vu – tout un symbole – le Pape baisant les pieds de délinquants – Christ avait, Lui, lavé les pieds de ses disciples au soir de la Cène, rien de comparable – annonçant que les policiers allant baiser les godasses de très satisfaits membres de la communauté noire américaine… L’honnête Google a déjà fait disparaître les images de ces scènes désolantes !

Le cas George Floyd

Les États-Unis viennent de passer presque sans transition du confinement sanitaire à un fuligineux mouvement de contestation des violences policières montées en épingle pour la bonne cause [voir infra] et dirigées contre les american negroes (noirs américains, le terme péjoratif étant niggers) après la mort le 25 mai 2020 à Minneapolis de George Floyd sous le genou d’un policier blanc, réaction qui tend, dans le contexte des élections présidentielles à venir cet automne (le 3 novembre), à remettre en cause tout ou partie du système institutionnel américain afin de corriger (!) les inégalités structurelles supposées qu’il comporterait… « L’émotion qui a envahi l’Amérique en pleine période électorale ressort d’un mélange pathologique d’Histoire mal digérée et de christianisme masochiste » [ChristianVanneste14juin20]. Et c’est bien de cela qu’il s’agit et plus encore, si l’on creuse un peu et que l’on recherche les forces à l’œuvre au sein du mouvement « Black Lives Matter » (la vie des noirs compte).

Soyons en effet assurés que les événement qui embrasent le monde occidental ne sont pas le produit d’un pur hasard ni une simple réaction à la grande peur du Covid. Car la gauche américaine, en l’espèce le camp démocrate et quelques transfuges républicains, font tout leur possible – eux aussi – pour mettre le pays à genoux et en faire porter la responsabilité au président Trump. Ainsi Muriel Elizabeth Bowser, maire démocrate de Washington DC, met un peu d’huile sur le feu en s’opposant à l’intervention de la Garde nationale pour combattre et contenir les émeutiers, laissant de cette façon s’étendre l’incendie de la contestation. Bel exemple de l’insane gauchissement des esprits (véritable cancer de l’âme rongeant les sociétés développées), des institutions et d’une partie significative l’establishment politique américain. Et ce, afin d’arracher l’Amérique des mains d’un homme annonçant vouloir juguler l’État profond. Dans ce but, tous les moyens sont bons (thèse que développe en substance le Washington Times, organe ultra-conservateur fondé par l’oligarchie sud-coréenne), entre autres prêcher l’émeute en attisant le ressentiment racial des noirs qui pourtant n’ont jamais connu – avant la présidence Trump – un taux de chômage aussi bas. Rien de surprenant à cela : une vieille tradition depuis que Jacob Schiff finança en 1917 la révolution bolchévique par le truchement de Trotski (quoi qu’en dise aujourd’hui l’organe révisionniste de désinformation en ligne, Wikipédia).

Passons brièvement en revue le passé criminel du bon Georges Floyd… Celui-ci, la victime présumée d’un bad cop (méchant flic) raciste blanc, et son meurtrier, étaient tous deux videurs de boîte de nuit… dans le même établissement. Sur ce glauque aspects des choses la presse ne s’étend guère. Et pour cause ! Floyd est, à l’instar d’un Traoré, un délinquant multirécidiviste… Court extrait du brillant palmarès de ce nouveau martyr de l’injustice raciale : 1997 drogue ; 1998 vol et drogue ; 1999 effraction ; 2002 violences et détention de cocaïne 30 jours de prison + 240 jours de prison ; 2003 effraction ; 2004 vol ; 2005 narcotiques encore 300 jours de prison ; 2007 vol à main armée, effraction, agression… et aussi, doux euphémisme, « star de cinéma pour adultes », autrement dit acteur porno de bas étage.

Or çà, voilà-t’y pas que la Toile bruisse de rumeurs suivant lesquels Floyd aurait eu des relations très amicales avec la petite amie de Derek Chauvin, le bien nommé. Alors ? Un règlement de comptes entre voyous ? Pourquoi pas, mais aussitôt formidablement exploité par toutes les forces malveillantes qui ont opéré leur convergence pour faire tomber le président Trump… et plus si affinités ! Derrière la radicalisation de la contestation soi-disant anti-racialiste – qui aura déjà coûté quelque dix milliards de dollars en dégâts aux villes américaines, ceci en dépit de l’inculpation de Chauvin arrêté à Minneapolis pour meurtre au 3e degré et homicide involontaire – l’on voit bien que les forces mondialistes de Manhattan et transhumanistes de la Silicon Valley ont uni leurs forces pour remettre les États-Unis sur le droit chemin de la mondialisation LGBTQ+ aux vives couleurs de l’arc-en-ciel.

On a les héros que l’on se choisit ! Drogué, videur de boîte de nuit et acteur porno, un vrai prince charmant.
Meghan Markle, épouse métisse du prince Harry et duchesse de Sussex, pleurniche sur le destin tragique du dévoyé George Floyd… Grâce au Ciel, nos aristocrates eurent davantage de dignité face au couteau de la Veuve.

Black Lives Matter et Democracy Alliance, bras armés de la subversion

Cette dernière organisation a été fondée en 2005 par Rob Stein ancien chef de cabinet du bureau de l’administration Clinton/Gore de 1992 à 1993. Elle est soutenue par une brochette de philanthropes de la plus belle eau, George Soros, Peter B. Lewis, Tim Gill, Tom Steye… Democracy Alliance présente sur son catalogue une gamme étendue d’idéovirus progressistes dans les domaines politique et éthique, apportant son soutien actif à d’innombrables ONG parmi lesquelles… Black Lives Matter, créée en 2013. Parmi les nombreux donateurs, on relève le nom de Jonathan Soros – tel père tel fils –, œuvrant en prolongement de l’Open Society Foundations de son père George, et promotrice d’un corpus de valeurs méta-libérales relatives à la politique, les mœurs, les droits des minorités raciales ou sexuelle au sein d’un monde sans frontières.…

Le Washington Times rapportait en janvier 2015 que George Soros avait versé 33 millions de dollars à plusieurs groupes militants noirs après le meurtre d’un membre de leur communauté par un policier blanc à Ferguson dans le Missouri. Comme le rapporte ce quotidien très politiquement correct (qui constitua le bréviaire de George W. Bush) : « Les organisations parrainées par Soros ont aidé à mobiliser les protestataires de la ville de Ferguson, en créant des coalitions de base sur le terrain, soutenues par une campagne nationale en ligne et dans les media sociaux. Le hashtag #BlackLivesMatter a été pour sa part développé́ dans le contexte du meurtre de Trayvon Martin en février 2012 par les militantes féministes Kassandra Frederique et Opal Tometi. Frederique est également la responsable politique de la Drug Policy Alliance, une organisation fondée par George Soros lui-même, et en reçoit quatre millions de dollars de subsides annuels. Opal Tometi pour sa part dirige la Black Alliance for Just Immigration, un groupe que George Soros en 2011 a abondé à hauteur de 100 000 dollars

Enfin l’une des organisations de Soros, la fondation Gamaliel (du nom du célèbre talmudiste Gamaliel l’Ancien, actif au cours du Ier siècle après J.-C.) a financé les manifestations à Ferguson à travers un réseau d’organisations de terrain, interreligieuses et interraciales, zadistes avant la lettre. Barack Obama a commencé́ sa carrière en tant qu’organisateur communautaire dans une filiale de Gamaliel à Chicago suivant les préceptes du théoricien zadiste Saul Alinski, grand praticien de l’action subversive à partir des bases locales… ceci à l’instar de ce que fut l’homme de terrain Lénine par rapport à l’intellocrate Karl Marx. Enfin, un autre des fils de Soros, Alex, est le généreux soutien financier d’une association promouvant la justice sociale, les droits pour la cause LGBTQ+ ou la lutte contre les discriminations raciales : Bend the Arc. On note également dans la liste des donateurs un certain Paul Egerman qui est aussi le trésorier de Democracy Alliance. De son côté la fondation Ford, l’une des fondations privées parmi les plus actives du monde occidental, annonçait en 2016, quelques mois après la tuerie de Dallas et les grandes manifestations de juillet, l’octroi de cent millions de dollars sur six ans à plusieurs associations du mouvement Black Lives Matter. La messe est dite et nous pouvons maintenant recommander l’âme du misérable George Floyd au diable et à ses associés de l’État profond.

Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation

À propos de l'auteur Égalité et Réconciliation

« Association trans-courants gauche du travail et droite des valeurs, contre la gauche bobo-libertaire et la droite libérale. »Égalité et Réconciliation (E&R) est une association politique « trans-courants » créée en juin 2007 par Alain Soral. Son objectif est de rassembler les citoyens qui font de la Nation le cadre déterminant de l’action politique et de la politique sociale un fondement de la Fraternité, composante essentielle de l’unité nationale.Nous nous réclamons de « la gauche du travail et de la droite des valeurs » contre le système composé de la gauche bobo-libertaire et de la droite libérale.

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