Les étudiants en sociologie des campus universitaires, le vrai nid à vipère de recrutement de la phalange antifa, sont les alliés objectifs des racailles dealer de drogue (le fric des bourgeois finançant, via le commerce de drogue + ou – douces, le train de vie et l’armement de pans entiers du crime organisé noir et latino aux USA). Plutôt que de s’attaquer à une branche du problème (les organisations des agitateurs d’extrême-gauche qui enveniment systématiquement les relations blancs-noirs aux USA), il ferait mieux de carrément faire baisser drastiquement le prix d’entrée à l’université et de permettre à toutes les classes les plus populaires et les plus défavorisées d’Amérique (rednecks, noirs (auto-)getthoïsés, immigrés, etc.) d’y aller par paquet de 1000 … Afin, justement, de faire crever de l’intérieur l’entre-soit au sein du système unviersitaire US, dominé par les bobos blancs des côtes Est et Ouest. Quand tu auras plus de fils de flics, d’ouvriers noirs très chrétiens, ou d’agriculteurs pauvres du mid-west ou du sud profond dans les classes : les cours redeviendront sérieux et on fera 2 tons en-dessous pour les études de genre, le racisme systémique, et toutes les conneries qui sortent de milieu éducatif US.
On a tort de croire que ce serait uniquement les satanistes d’Hollywood qui planifieraient tout de l’idéologie progressiste made in US. On sous-estime beaucoup trop l’importance et le poids du lobby éducatif libéral (au sens américain du terme) dans «l’évolution» du mode de pensée en occident depuis ces 40 à 50 dernières années.
Les antifa reviendront sous une autre forme, il faut surtout détruire le mal à la racine, soit en mettant fin au système universitaire qui ne produit plus rien de bon (et on y viendra nous aussi, en France (en tout cas pour ce qui est des sciences humaines et sociales)) soit au contraire, en étant plus gauchiste que lui et en lui imposant l’égalitarisme dont il dit être porteur.
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